Équations de Friedmann

(augmente). Corrolaire : Effet sur l’inflation •  hypothèse de base: la quantité de monnaie présente dans l’économie est étroitement liée au nombre d’unités monétaires échangées dans le cadre des transactions 12 www.fsjes-agadir.info Equation quantitative de la monnaie monnaie x vitesse de circulation ≡ prix x transactions MV≡PT •  le membre de droite de cette identité décrit les transactions où T représente le nombre total de transactions sur une période donnée et P est le prix

monnaie).En plus de la valeur, la monnaie renferme du pouvoir. Pouvoir d'agir sur le comportement des autres grâce à la monnaie. 2-3 Monnaie et théorie économique Il existe une relation entre la masse monétaire et les richesses réelles produites (équation de Fisher): Masse monétaire x Vitesse de circulation de la monnaie = Prix x Volume des transactions. La théorie quantitative de la monnaie repose sur le principe que l'augmentation de la masse monétaire se traduit par une augmentation des prix

Le débat sur les risques de déflation 2- Les pressions déflationnistes 3- L’existence de pressions inflationnistes Conclusion : Inflation, le retour ? Bibliographie : (1) Pierre BEZBAKH (2) Yves CROZET (3) Jean-François GOUX (4) Milton FRIEDMAN (5) Gregory MANKIW (6) Pascal SALIN Inflation et désinflation, La découverte, coll. Repères, 1995. Inflation et déflation, Nathan, coll. Circa, 1994. Inflation, désinflation, déflation, Dunod, coll. Topos, 1998. La monnaie et ses pièges,

demandeurs de travail trouvent des travailleurs correspondant aux emplois proposés. Il est donc du à des imperfections de l’information sur le marché du travail. On emploi le terme naturel en référence à la théorie du taux de chômage naturel de Milton Friedman, qui a formalisé la notion de chômage frictionnel.  Chômage keynésien : chômage du à une insuffisance de la demande effective. Chômage structurel : chômage lié aux structures de l’économie ou au fonctionnement du marché du travail. Il ne peut

résulterait d’une émission de monnaie trop importante. Pour Milton Friedman, chef de file de l’Ecole monétariste et Prix Nobel d’Economie en 1972, « la cause de l’inflation est partout est toujours la même : un accroissement anormalement rapide de la quantité de monnaie par rapport au volume de production ». La justification de cette idée repose sur l’existence d’une relation économique, appelée « Théorie Quantitative de la Monnaie » ou équation d’Irving Fisher. Cette dernière s’exprime ainsi : M.V = P.Y

valeur. Irving Fischer (20ème) MV = PY (V = vitesse de circulation de la monnaie / M = monnaie / P = prix (3) et Y = production (1000)). Si la masse monétaire augmente de 100% : les prix vont devoir également augmenter de 100%. Equation de Cambridge (théorie de demande de monnaie) : MV=PY ssi M = 1/V x P x Y. J’ai produit 1000 paniers. Je sais que la vitesse de circulation de la monnaie est de 2. L’offre de la monnaie que donne l’E est 1500. Le prix d’équilibre doit être

monétaire ? C’est à ce niveau où apparaît la théorie quantitative de la monnaie qui répond à cette interrogation. Cette théorie met en relation la quantité de monnaie en circulation et le niveau des prix. Cette relation s’exprime par la célèbre équation de I. FISHER : M V = PT * M : c’est la masse monétaire qui représente la quantité de monnaie en circulation dans une économie pendant une période donnée. Cette quantité ne dépend pas dans cette théorie des besoins de l’économie, mais elle

corporate sectors such as corporate net worth, stock market prices, risk premia, and banks’ lending capacity, as well as macroeconomic variables such as interest rates, industrial production, real GDP, and output gap. For example, Bernanke, Lown, and Friedman (1991) conclude, using both state-level data and data on individual banks, that bank equity capital limited banks’ credit supply, supporting the credit crunch episode in the US. They also find that the slowdown in credit demand also contributed to

l'utilité marginale proposée par cette école reste à la base de tous nos actes économiques. _ L'Ecole de Lausanne (dite "Ecole Mathématique") Léon Wabras (1834-1910) Vilfredo Pareto (1848-1923) Cette école c'est efforcée de mettre en équation les variables qui régissent l'économie. Elle a décrit l'interdépendance des marchés des produits et des marchés des facteurs de production dans un système de concurrence pure et parfaite et dans un état d'équilibre. _ L'Ecole de Cambridge

rationalité des individus La juxtaposition des hypothèses et des lois permet de construire des modèles économiques qui représentent un fonctionnement théorique de l'économie. Exemple : les modèles économétrique de la comptabilité national. Des équations mathématiques permettent de lier les variables économiques. Avec un changement, on peut connaître l'impact sur les autres secteurs. En fait le raisonnement économique peut-être inductif ou déductif. L'observation des faits permet de trouver des