Équations de Friedmann

d’intérêt, entre détenir de la monnaie de spéculation ou d’effectuer des placements financiers. 3- Dans ce débat entre classiques et keynésiens sur la demande de monnaie, Friedman occupe une place paradoxale en reprenant l’idée d’arbitrage entre actifs chère à Keynes tout en renouant avec la théorie quantitative : Pour Friedman, la demande de monnaie dépend de 3 variables : le revenu permanent19 : la demande de monnaie est une fonction croissante du revenu permanent le taux d’intérêt (même raisonnement

TD. La courbe de Beveridge : on a v, le nombre d’emploi vacant et on a u, le taux de chômage V U Si ma courbe est très éloignée des axes, on peut avoir un bon nombre d’emplois vacant mais aussi du chômage (mauvaise équation entre l’offre et la demande de travail) Si ma courbe est proche des axes, le nombre d’emploi vacant est élevée mais au contraire, le chômage, lui diminue. 3- Les effets de l’assurance chômage Les allocations chômage poussent les gens à ne pas

dotation initial soit une dotation de capital . Définition : 3types de modélisation : ensemble de théorie expliquent le fonctionnement de l’économie dans sa globalité. Modèle ou on va parler de maquette. Modèle hybride et éthylomètrique ou les équations mathématiques viennent justifier la théorie. Walras père des néoclassiques va mettre en place un modèle équilibre général sous forme de marché dans laquelle sera appliqué du comportement rationnel des individus. L’analyse des néoclassiques

décroissante du taux intérêt I=I( r) I=F(r) I’(r)=dI/dR<0 Taux marginal d’investissement : fonction d’investissement : I=-br+I0 B>0 -b=Di/ Dr <0 Paragraphe 3 : les équations de IS Y=C+I C= cY + C0 Y= cY + C0 –br + I0 Y-cY= -br + I0 + C0 Y(1-c)= -br + I0 + C0 Y= (1/1-c) (-br+ IO + C0) Y= k(-br+I0+ Y= -kbr + K(I0 + C0) équation de IS Quand intérêt augmentent Y baisse IS est décroissante C=cY + C0= 0,8Y+ 100 I=-br+I0 = -2500 r + 300 Paragraphe 4 le déplacement de la courbe IS, on part d’une

créent une discrimination en provoquant l’exclusion des travailleurs ayant une productivité inférieure au salaire qu’ils recevraient. Friedman considère que le chômage est surtout dû aux indemnités de chômage, qui perturbent le calcul rationnel des individus et les incitent à préférer les loisirs au travail. 3. L’Etat serait le responsable de l’inflation Selon Friedman, l’inflation est toujours due à une augmentation trop forte de la quantité de monnaie par rapport à la production. La faute en incombe

de sa famille. Il eut d’abord une formation en Histoire à l’université de Chicago, avant qu’il ne s’aperçoive que sont les forces économiques qui ont le plus d’ampleur. Il eut comme professeur de théorie des prix en première année de son doctorat, Friedman, qui était orienté vers les études d’économie appliquée, et qui sur cette base suscité les débats en classe, par l’énonciation de simples citations de journal, pour donc voir leurs vérifications. Lucas a tout aussi été considérablement influencé

Omar Belkheiri 2006-2007 Monnaie et Création monétaire (Approches théoriques de la monnaie) Monnaie comme instrument de transaction Monnaie et gestion de portefeuille Monnaie et gestion de patrimoine 1. Équation des échanges 2. Équation de Cambridge 3. Effet d’encaisses réelles Équation des échanges (I. Fisher) Synthèse : - Nombre de transactions => - Prix / transaction => - Volume des transactions : P x Q = 50 x 3 = 150 dh - Monnaie / Départ => Q=3 P = 50dh PQ=150dh M = 50dh T1 T2 T1

budgétaire…………………………………… D.2) Cas de la politique monétaire……………………………………. II) Le programme néo – classique : la remise en cause de la politique Economique…….. II.1) La courbe de Philipps………………………………………………………………. II.2) La réinterprétation de Friedman : la courbe de Philipps augmentée………….. II.3) Les anticipations rationnelles et l’inutilité des politiques économiques……….. II.3.1) Définition et propriétés des anticipations rationnelles……………….. L’absence de biais des

théorie de la demande de monnaie. Cela se définit comme M = k*P*Y, où M est la demande de monnaie, Y est le total des ressources, P est le niveau des prix et k est le multiplicateur. Ici k est égal à 1 sur la vitesse de circulation de la monnaie. Cette équation va nous aider à déterminer la demande réelle de monnaie une fonction à élasticité-prix, ce qui nous donne : M/P=k*Y (c'est à dire que la demande de monnaie est proportionnelle au prix). Nous allons maintenant voir trois motifs qui font qu'un individu

intermédiaire des échanges. « On achète des produits avec des produits et des services et le numéraire n'est que l'argent au moyen duquel l'échange s'effectue » (Ricardo). L'approche transactionnelle de la monnaie est explicité au travers de la célèbre équation de Cambridge : Md = k.PY ( avec Md : demande de monnaie ; k : l'inverse de la vitesse de circulation de la monnaie ; P : le niveau général des prix ; Y : le revenu réel). Ainsi il apparaît que la demande de monnaie dépend de trois facteurs : - elle