Équations de Friedmann

reste constant tandis que les démonstrations ont évolué. Progressivement, le quantitativisme qui étudiait la relation entre les prix et la production (D. Ricardo, I. Fisher), laisse la place à la formulation monétariste de la demande de monnaie (M. Friedman). L’offre de monnaie est représentée par la quantité de monnaie émise par les agents bancaires (centraux et commerciaux); elle est généralement considérée comme exogène. La demande de monnaie s'appuie sur les motifs qui expliquent pourquoi les agents

approche a été formalisée par Irving Fisher sous la forme de la théorie quantitative de la monnaie (TQM). Mv = P T M : Masse monétaire, V : vitesse de circulation de la monnaie P : Niveau général des prix, T : transactions économiques (production) Cette équation souligne que toute augmentation de la masse monétaire qui ne serait pas issue d’une hausse des transactions économiques, se traduirait essentiellement par de l’inflation. Réciproquement, il est possible de lutter contre l’inflation en restreignant

mécanisme. Milton Friedman remet en cause cette théorie qui selon lui néglige le rôle des facteurs financiers. L’effondrement de l’activité met en péril les bilans bancaires ce qui inquiète les déposants. Ces derniers, méfiants, retirent leur argent des banques et provoquent leurs faillites. Les crises bancaires entraînent ensuite la faillite des entreprises ne pouvant se refinancer. Le problème est que les autorités n’ont pas réagit, c’est la cause du désastre selon Friedman. Il faudra attendre

gouvernement. Pigou nous donne la vision éxogène moderne, elle n'est pas naturelle (production de minéraie) mais elle est contrôlée. L'offre est dicté sur des considérations sur la valeur de la monnai et son taux de change. 3) L'école monétaristes Friedman se définisait comme un néo-quantitativiste. Il y a indépendance de l'offre de monnaie, cela va de soi pour lui. Dans ses travaux, on trouve peu de choses la-dessus, il n'y a pas de question à se poser. Il y a une offre de monnaie exogène, dirigée

crédible qu’une politique discrétionnaire. Un courant de la littérature académique s’est attaché à identifier des règles opérationnelles de politique monétaire susceptibles de limiter au maximum, voire d’éliminer, le recours à la « discrétion ». Ainsi Friedman a préconisé l’utilisation d’une règle automatique (ou « non activiste »), c’est-à-dire indépendante de l’état de l’économie, selon laquelle la banque centrale devrait viser un taux de croissance constant de la masse monétaire. L’application aveugle

:  1   . M = KR  P M : masse monétaire P : niveau des prix ; 1/P : pouvoir d’achat de la monnaie K : vitesse de transformation de la monnaie en revenu R : montant des revenus dans l’unité de temps La question, évidemment, que soulèvent ces équations est celle de leur « tautologisme » : dès lors que chaque transaction est un échange d’un bien contre de la monnaie, n’est-ce pas écrire différemment la même chose que de poser l’égalité entre le prix des choses qui s’échangent et la valeur monétaire

Lorsqu’on augmente la quantité de monnaie scripturale, cela augmente de manière générale le niveau des prix. Marshall: 1842-24: c’est un des derniers économistes néoclassiques. M*V=PY è M c’est-à-dire notre quantité de monnaie est égale à k(P*Y) è équation de Cambridge. Le volume des encaisses que les agents économistes doivent disposer est une certaine fraction de P*Y .Notre certaine fraction est k. Notre K c’est 1/V. La demande de monnaie résulte d’un certain nombre de comportements par rapport

Courbe de Phillips de court terme Arbitrage à court terme entre inflation et chômage Pour comprendre l’arbitrage à court terme entre inflation et chômage, il faut revenir sur la détermination de l’équilibre sur le marché du travail (équation du modèle WS-PS). On aboutit à une relation entre prix, prix anticipés et chômage : [pic] Les prix anticipés affectent positivement le salaire des travailleurs. • Par la relation WS, si les prix anticipés sont élevés, ils demanderont une

of individuals to control and regulate their affective states (e.g., Carver and Scheier 1998; Erber and Erber 1994, 2001; Gohm and Clore 2000, 2002; Ingram 1990) as well as to regulatory focus effects on cognition and behavior (Higgins, Shah, and Friedman 1997), but has not yet connected these two important aspects of human behavior. Even less attention has been devoted to these regulatory systems in marketing (e.g., Aaker and Lee 2001; Andrade 2005; Cohen and Andrade 2004; Kidwell, Hardesty, and

égyptienne). Ils connaissaient les quatre opérations, étaient familiers du calcul fractionnaire (basé uniquement sur les inverses d'entiers naturels) et étaient capables de résoudre des équations du premier degré par la méthode de la fausse position. Ils utilisaient une approximation fractionnaire de π[9] . Les équations ne sont pas écrites, mais elles sous-tendent les explications données. Chine La source principale la plus ancienne de nos connaissances sur les mathématiques chinoises provient du