Équations de Friedmann

intérieur brut . Soit, en notant l’indice de prix agrégé du PIB et la vitesse de circulation de la monnaie, dite ici vitesse-revenu (c’est le nombre de fois où un actif monétaire change de mains au gré de la distribution du revenu) : Néanmoins cette équation redonne exactement les mêmes résultats que la Théorie quantitative de la monnaie. L'école keynésienne La théorie keynésienne résulte d'une longue critique de la théorie classique par son père Keynes et ses proches, les post-cambridgiens. Deux

réelles Une politique est efficace dès qu’elle permet d’augmenter la production. Marché de la monnaie Qd la monnaie est neutre, il y a dichotomie. L’offre de monnaie est exogène : Ms= Mo La demande de monnaie : Md = kPYd O<K<1  équation de Cambridge La demande de monnaie est une partie de la valeur des transactions effectuées. Théorie quantitative de la monnaie (TQM) Irving Fischer 1911. M.V = P.Y 1500 euros M = 500 euros et v = vitesse de circulation de la monnaie 3

fonction de consommation et l’hypothèse du revenu permanent la notion de revenu permanent selon Friedman définition le revenu permanent est défini comme le revenu dont l’agent peut disposer à chaque période de sa vie sans entamer son patrimoine. exemple la fonction de consommation le revenu courant peut être inférieur au revenu permanent le revenu courant peut être supérieur au revenu permanent selon Friedman, la consommation n’est pas fonction du revenu courant, mais permanent CHAPITRE 1. LES ACTEURS

Jean Bodin a été formalisée par Irving FISHER à travers l’équation : MV = PT (V et T sont constants, V dépend des habitudes et les coûts des agents, T dépend de facteurs réels. Si bien que M est l’origine de la hausse de P). On voit à travers cette équation que la hausse de la masse monétaire n’influe que sur la hausse des prix et pas sur l’économie réelle. PIGOU a explicité la relation de FISHER par la théorie « des encaisses réelles » : les individus veulent maintenir constante la valeur réelle des

production (K, L) à la croissance (cf. plus bas).  C* Les années 1970-80 : la contre-révolution monétariste L’analyse keynésienne s’est avérée incapable d’expliquer la coexistence de l’inflation galopante et d’une récession. C’est alors que Friedman et les monétaristes, libéraux, contre-attaquent. 1) Les outils de la contre-révolution monétariste Partant d’une critique des concepts de base keynésiens pour expliquer les dysfonctionnements économiques, les monétaristes affirment qu’une politique

des biens sur le marché. L’équation de quantitative de la monnaie développée par IRVING FISHER est la suivante : M = quantité de monnaie en circulation V = vitesse de transaction P = niveau des prix T = volume des transactions Selon cette équation, lorsque V et T sont constants, une variation de la masse monétaire en circulation (M) est égale à une variation proportionnelle du niveau général des prix (P) de sorte que, l’offre de monnaie MV (ou la demande de bien en terme monétaire) et la

monétaires discrétionnaires engendrent des biais inflationnistes liés aux problèmes d’incohérence temporelle. Dés lors, plusieurs études ont montré la supériorité des politiques de règles, qui elle même, on évolué du ciblage des agrégats monétaires (Friedman, 1984) aux politiques de ciblage des variables reflétant l’objectifs de la politique monétaire (Taylor, 1993et Svensson & Rudebush, 1998) Le régime de ciblage de l’inflation est une stratégie de conduite de la politique monétaire ayant pour objectifs

provient de la quantité de travail utilisé) c’est un courant dominant jusqu’aux années 30. Les néo-classiques introduisent l’outils mathématique. Le néo-libéralisme redevient dominant dans la pensée économique de puis les 80’s. HAYEK (AUT), FRIEDMAN (GB). 2) L’école interventionniste. Cette école est représentée par J.M. KEYNES (1883-1946) Dans les années 30, la crise économique survient en plein libéralisme ; elle met en évidence les insuffisances de la pensée libérale.

banquiers. Il ne fait toutefois pas entièrement confiance dans leur zèle à limiter la création monétaire. Notamment les banques ne doivent pas prêter à long terme avec des créances à court-terme (=> limiter l’activité de transformation d’échéance, cf. Friedman 48). De plus, le prêt bancaire doit être garanti par un collatéral, un effet réel. Il faut donc que les Alexis Direr (courriel : 'nom'@ens.fr) http://elias.ens.fr/~adirer/index.html 20 Notes de cours de politique monétaire (dernière mise

tester la validité des relation de causalité en se fondant sur l'examen des corrélations (liens qui permet de mettre en évidence 2 faits qui vont dans le même sens) entre données. La tache propore de l'économétrie est d'estimer les paramètres des équations par ajustements sur les séries passées. Une fois validée ces expériences pourront être utilisées pour faire des prévisions. Un résultat économétrique n'est qu'une simple indication, il y a toujours un degrès d'incertitude. Une forte corrélation n'est