Équations de Friedmann

des anticipations parfaites sur le niveau des a prix : P = P . - Comment s’écrit alors la fonction d’offre globale ? - Déterminer le niveau de l’emploi, du produit et du prix à l’équilibre. Commenter. 5) Pour la suite de l’exercice, réécrire les équations de la question 3) en terme de logarithme : les fonctions d’offre et de demande sont alors linéaires. Les logarithmes des variables seront notés en lettres minuscules. 8 On suppose que l’offre de monnaie est une variable aléatoire. Les agents

différencie l’économie des sciences de la nature. Est-ce que l’économie suit les mêmes développements, et peut-on lui appliquer les mêmes méthodes et raisonnements ? Pour y répondre, nous allons confronter 2 approches, celle de la vérification de Milton FRIEDMAN face à Karl POPPER, celle de la réfutation. Karl POPPER est surtout connu pour avoir publié en 1935 un ouvrage intitulé « la logique de la découverte scientifique ». C’est un épistémologue (spécialiste en sciences). Il fait partie du cercle de Viennes

entre revenu et consommation. • On montrer facilement que le revenu réel total des MEN. (avant impôts et revenus des titres financiers) est égale à la production réalisée dans l’éco. Y. 13 2-1. Le comportement des Ménages (suite) •On adopte une équation affine pour la consommation : C = C0 + c (Y – T) Avec 0 < c < 1 et C0 > 0. • C0 = consommation incompressible • c = propension marginale à consommer : c = c ≠ PM C = C0 C = +c Y −T Y −T ∂C ∂ (Y − T ) • • Sm = Y – T – C = (1 – c) (Y – T) –

Zone Euro :       a La Théorie Entre La Monnaie Et L'Inflation    La quantité de monnaie en circulation -> La hausse généralisée des prix o théorie quantitative de la monnaie (I. Fisher 1867-1947) o théorie monétariste (M. Friedman 1912-2006, Nobel 1976)   Equation des échanges, base des théories monétaires (E.Fisher)     Soit : M = masse monétaire V = vitesse de circulation (constante) P = prix T = les quantités échangées (constante)   a La Politique Monétaire De La Zone Euro    Elle

physique pour la science économique). Pourtant, ses principaux apports relèvent de la physique comparative. Il pense que le rôle des mathématiques est secondaire et utilise à volonté les métaphores, ce qui est critiqué par Samuelson mais loué par Friedman. Marshall est présenté comme le théoricien de l’équilibre partiel, en opposition à Walras, celui de l’équilibre général. Alors que Walras se réfère à deux biens, dans une approche monétaire qui permet d’en faire abstraction, afin de présenter un

income. More specifically, using M1 as explanatory variable in the inflation equation, we found that in the long run, a one percent increase in M1 would raise inflation by 0.76 percent, a one percent depreciation of the BIF on the parallel markets would raise inflation by 0.28 percent and a one percent increase in real income would reduce inflation by 0.64 percent. Using M2 as explanatory variable in the inflation equation, a one percent increase in M2 would raise inflation by 0.72 percent; a one percent

frontières de l’Etat ! On observe un relatif recul de l’Etat dans les années 80 qui résulte du développement d’un courant libéral (diffusion des idées importantes keynésiennes qui orientent la politique), remise en cause des politiques conjoncturelles (Friedman qui impose sa politique monétaire). Les années 90 traduisent un renouveau théorique. Les auteurs se regroupent dans une nouvelle macroéconomie classique. Certaines dépenses de l’Etat ont une influence positive sur la croissance, justifient l’intervention

L’analyse de la fonction d’investissement A) La fonction affine Y=ax+b I= -br+I0 -br : b=delta I/delta r b>0 I0 : investissement autonome (réaliser en fonction d’une demande prévue) III) Les équations de l’IS C= cY+C0 I= -br+I0 Y= C+I Og=Dg g : global Y=cY+C0-br+IO Y-cY=-br+C0+I0 (C0+I0 = demande autonome) Y(1-c)=-br+CO+I0 Y=1/(1-c) *(-br+C0+I0) K=1/(1-c) Y= k(-br+C0+I0) Y=-kbr+k(C0+I0) r r2 r1 IS 0

Puisqu’il y a dichotomie entre le réel et le monétaire, alors T est déterminé par les dotations  initiales etc., V est donnée; reste un lien entre M et P, à contrôler. C’est  ce que Friedman dira dans les  années 1970: l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire; c’est dire que la hausse  du prix (P) ne vient que de la hausse de la quantité de monnaie en circulation (M). Friedman admet  une influence de la politique monétaire sur la production à court terme et se démarque d’un  quantitativisme pur. Une offre de monnaie 

leurs fonds. La contraction des dépôts qui en résulte et le souhait des banques d’accroître leurs réserves pour se prémunir contre les retraits de fonds aboutit alors à une contraction cumulative des prêts et des dépôts, comme le montrent fort bien Friedman et Schwartz (1963), qui favorise d’autres faillites bancaires et provoque une panique générale au sein du système bancaire. Comme nous l’avons vu précédemment, les banques ont un rôle spécifique au sein du système financier car elles sont très bien