Erasme Prince Des Humanistes

la Flandre) se propage, dès le XVe s., un vaste courant de renouveau intellectuel, l’humanisme. Il s’accompagne de profondes transformations dans le domaine artistique, c’est la Renaissance. 1500 invention de l‘imprimerie Le Printemps Érasme (1469-1536) Thomas More (1478-1535) Éloge de la folie Utopie 1453 prise de Contantinople par les Turcs Ce double mouvement s’appuie sur une grande confiance en l’homme et en ses possibilités. Dès la fin du XVe s. l’humanisme et la Renaissance

L’éloge de la folie Par Érasme La Renaissance arrive au début du XVe siècle, elle fait naître les sciences, la littérature et la arts. Érasme prénommé le prince humaniste et théologien, est née en 1469 à Rotterdam et décède en 1536 à Bâle. Ce grand auteur à écrite plusieurs satires mais une de ses grandes œuvres fût > il s’agit d’une fiction burlesque et allégorique. Il a excellé dans le genre satirique ou la satire s’élargit et dépasse l’époque de son auteur pour atteindre la société humaine

est l’Eglise latine. Mais les XIVe-XVe siècles connaissent la division de la papauté (Grand Schisme), une querelle entre les conciles et le pape. La papauté, fixée à Rome, est restaurée, mais le conciliarisme reste fort à l’Université et chez les princes. Une Cour se développe à Rome avec le Sacré Collège (cardinaux, conseillers et électeurs du pape), la Chancellerie (correspondance, secrétariat, diplomatie), la Chambre apostolique (finances), etc. Il y a bien un Etat centralisé, moderne, avec une

jouent un rôle fondamental dans sa diffusion. I) Pour commencer → Définir le mot humanisme : ●Son sens courant : C’est une philosophie qui place l’homme au-dessus de toute autre valeur. ●Son sens spécifique : Mouvement d’esprit représenté par les Humanistes de la Renaissance et caractérisé par un effort pour relever la dignité et la valeur de l’homme. ●Lien unissant ces deux définitions : Le fait de mettre en valeur la nature humaine. → Différence entre la Renaissance et l’Humanisme La Renaissance

Érasme (1467 – 1536) Érasme (Desiderius Erasmus Roterodamus), est un humaniste et théologien néerlandais, l’une des figures majeures de la Renaissance. Érasme, « prince des humanistes », rassemble toutes les aspirations intellectuelles de son temps. Grand connaisseur des textes antiques et bibliques, homme d’influence, ce voyageur infatigable est reçu partout comme le représentant d’une République des lettres rassemblant les intellectuels munis du pouvoir d’être publiés et lus dans toute l’Europe

il serait pertinent de ce demander de quelle manière ce développe ce mouvement et quells en sont les caractéristiques. Pour cela nous verrons dans un premier temps l’époque et le contexte de ce mouvement humaniste, dans un second temps nous étudierons les idées et les principaux auteurs humanistes et enfin nous analyserons une oeuvre qui symbolise le mouvement. I) Les debuts du mouvment a. L’époque Le XVe et le XVIe siècle est une période de transition entre le Moyen Âge et les Temps Modernes

se retire dans son domaine d'Albergaccio où il écrit « Le Prince » et « Discours sur la première décade de Tite-Live. Le Prince (1513) est un traité composé de 25 chapitres, la « dédicace » et « l'exhortation » sont adressé à Lorenzo Piero de Medici. Dans le but de maintenir la principauté. Il dégage les règles propres de la politique, qui devient une discipline autonome, avec des principes et des mécanismes propres. Il démontre au Prince qu'il doit pouvoir promouvoir de « bonnes lois » et de « bonnes

seront appelés humanistes. Pour les humanistes, l'homme est placé au centre de toute question. S'appuyant sur la sagesse des auteurs antiques, ils souhaitent bâtir une société différente, désirant atteindre la perfection, que ce soit au niveau de la moralité ou des arts. Ce changement s'opère à partir des écrits anciens et non avec comme support les écritures saintes, s'opposant de ce fait à la pensée scolastique du Moyen Age.Les personnes motrices de ce bouillonnement sont Erasme, Juan Luis Vives

et conséquences. Introduction : « On ne nait pas homme, on le devient », le libre arbitre de l'homme qu’affirment les humanistes transparaît dans cette maxime du Prince des humanistes, Erasme. Se basant sur l'analyse et sur les écrits, scientifiques notamment, des grecs, latins et arabes et des nouvelles civilisations rencontrées lors des Grandes Découvertes les humanistes ont développé en Europe occidentale une nouvelle façon optimiste de penser l'Homme par rapport à la nature, à Dieu et à lui-même

seront appelés humanistes. Pour les humanistes, l'homme est placé au centre de toute question. S'appuyant sur la sagesse des auteurs antiques, ils souhaitent bâtir une société différente, désirant atteindre la perfection, que ce soit au niveau de la moralité ou des arts. Ce changement s'opère à partir des écrits anciens et non avec comme support les écritures saintes, s'opposant de ce fait à la pensée scolastique du Moyen Age. Les personnes motrices de ce bouillonnement sont Erasme, Juan Luis Vives