Érasme

science » ou encore Rabelais dans gargantua avec le chapitre « pourquoi les moines sont rejetés de la société » et a la fin du roman lorsqu’il décrit « l’abbaye du libre arbitre », il critique l’église, ses rites et ses règles. On voit ceci aussi avec Erasme dans éloge de la folie ou il fait parler la déesse de la folie qui critique l’église le clergé et les superstitions. Dieu ne sera plus a présent au centre des préoccupations, désormais l’être humain sera au centre de la pensée comme on le voit avec

sévères critiques et est censurée. Inscrit dans un courant humaniste, Rabelais démontre toujours dans son oeuvre une connaissance excessivement riche et un art remarquable de l'écriture. Erasme: Humaniste hollandais d’expression latine , adepte de l’évangélisme, Erasme est un grand voyageur, notamment en Angleterre ou il rencontre Thomas more , maisaussi en Italie et en Allemagne . Ayant une grande connaissance des textes sacrées, qu’il traduit ,et des textes latin et grecs

de loin à l'élaboration de ce travail. ------------------------------------------------- Plus particulièrement: ------------------------------------------------- Madame Elyane ANGENON, infirmière de coordination de transplantation à l'hôpital Erasme, ma garante scientifique, qui m'a orientée et encouragée durant plusieurs mois. ------------------------------------------------- Messieurs Alain BRISMER et Claude VANBUSSEL ainsi que tous les membres de l’ANGPC pour leur accueil et leurs témoignages

même titre que les autres créatures), il dispose de raison donc de liberté, ce qui en fait une création divine supérieure. Cette conception nouvelle résume la conception humaniste présente chez de nombreux intellectuels (Erasme, Rab elais, Montaigne… ). • Cette fresque du Pérugin (réalisée en 1482 dans la Chapelle Sixtine à Rome) reprend les grandes thématiques de l’humanisme et de la Renaissance : - l’homme apparaît au centre de la fresque (c’est

pasteur. Il meurt en 1564. Erasme: Erasme est un théologien néerlandais d'une famille d'origine modeste. Orphelin à 14 ans, il fait ses études à Paris. Il développe son goût pour l'humanité (lecture de textes anciens, de la bible ...) et veut rendre accesssible à tous les textes sacrés tout en sachant que ceux-ci sont exclusivement en latin non-compris par tout le monde. Erasme voyage beaucoup en Europe et se permet, pendant 10 ans de rédiger un "Bible simplifié". Erasme mourrat à Bâle en 1536. Evangéliste

universelle . Les humanistes soutiennent ainsi l'idée que la connaissance est la clé de la liberté (de choix, de croyance) en qu'en cela elle doit pouvoir être accessible à tous, même lorsqu'elle dépend du domaine religieux (traduction de la Bible par Erasme en 1516). On peut donc dire que ce mouvement humaniste s'oppose au dogmatisme du Moyen-Age. Humanisme et histoire. La Renaissance est une période de transition vers les temps Moderne. Celle qui la précède est le Moyen-Age, période

créature créée par Dieu (au même titre que les autres créatures), il dispose de raison donc de liberté, ce qui en fait une création divine supérieure. Cette conception nouvelle résume la conception humaniste présente chez de nombreux intellectuels (Erasme, Rabelais, Montaigne…). • Cette fresque du Pérugin (réalisée en 1482 dans la Chapelle Sixtine à Rome) reprend les grandes thématiques de l’humanisme et de la Renaissance : - l’homme apparaît au centre de la fresque (c’est une fresque humaniste) :

mathématiques. De sur croix par leur maîtrise des langues antiques les humanistes étudient les textes religieux (qui sont écrit notamment en latin), ce qu’il leur permet d’émettre des critiques et surtout des réclamations. En effet les humanistes, comme Erasme, réclament la simplification des Evangiles (de le reformuler dans une langue courante et donc compréhensibles pour tous), la simplification du culte (notamment de prier dans une langue courante et non en latin) et la lecture individuelle des textes

instruction et des femmes, ainsi que des perroquets, marmonnent leurs psaumes et leurs oraisons dominicales en latin, alors qu’ils ne comprennent pas ce qu’ils prononcent. » Erasme, Préface à la Paraphrase de Saint Matthieu, 1516. Nature, date, auteur, sujet (idée clef). 1) une parole de Dieu plus accessible Bio Erasme : 1469-1535 : surnommé le prince des humaniste : infatigable voyageur, érudit, éducateur, il a entretenu une impressionnante correspondance avec les intellectuels de son temps

croyant un simple naïf, prêt à croire n’importe quoi (citations ironiques des « Ecritures », confondues à dessein avec ce qu’il trouve par écrit ). b) Erasme pense qu’il ne s’agit là que d’une analyse des pouvoirs de la foi, qui nous permet de croire en des choses qui ne se voient pas, qui n’apparaissent pas (« de nulle apparence »). Erasme insinue que cette erreur d’interprétation provient de l’ignorance du grec par les théologiens de la Sorbonne ! (source : G. Milhe-Poutingon, Gargantua, coll