Erechthéion

d'Athéna 3-Erechthéion 4-Statue d'Athéna Promachos 5-Propylées 6-Temple d'Athéna Niké 7-Eleusinion 8-Téménos d'artemis Brauronia 9-Calchotèque 10-Pandroséion 11-Maison des Arréphores 12-Autel d'Athéna 13-Autel de Zeus 14-Hérôon de Pandion 15-Odéon d'Hérode Atticus 16-Stoa d'Eumène de Cardia 17-Sanctuaire des Asclépius 18-Théâtre de Dyonisos Eleuthereus 19-Odéon de Periclès 20-Téménos de Dyonisos Eleuthereus 21-Aglauréion | Parthénon | Ancien temple d'Athéna | Erechthéion |

Le mythe de la fondation d'Athènes Une version du mythe prétend qu’Athéna n’était pas la fondatrice, mais seulement la déesse qui lui donna son nom et en devint la protectrice. Cette légende raconte, que lorsque la ville qui deviendra Athènes avait à peine été fondée, le Destin décida qu’elle deviendrait riche, prospère, et la ville la plus puissante de toute la Grèce. Alors Athéna décida de la prendre sous sa garde. Mais, Poséidon la désirait aussi sous sa protection, puisqu’elle était proche

époque archaïque et classique· « Ville haute »· Génération de Périclès : édification du Parthénon et des nouveaux Propylées, symboles de l’Athènes triomphante (troisième quart du Ve av J-C)· Rôle de Cimon· Fin Ve av J-C : fin des travaux avec les Érechthéion et temple d’Athéna Nikè au temps de Nicias· Plutarque : permettre au citoyen ne disposant du revenu du soldat ou du marin de travailler sur les chantiers publics pour « toucher sa part des fonds publics »· Adversaires de Périclès : reproche dépenses

d'Athéna 3. Érechthéion 4. Statue d'Athéna Promachos 5. Propylées 6. Temple d'Athéna Nikè 7. Éleusinion 8. Brauronéion 9. Chalcothèque 10. Pandroséion 11. Maison des Arrhéphores 12. Autel d'Athéna 13. Autel de Zeus 14. Hérôon de Pandion 15. Odéon d'Hérode Atticus 16. Stoa d'Eumène II de Pergame 17. Asclépiéion 18. Théâtre de Dionysos 19. Odéon de Périclès 20. Téménos de Dionysos Eleuthéreus 21. Aglauréion 11 Chronologique de construction de l’Acropole Erechthéion 421-407

financiers et donc de prestige que le commanditaire de gauche). U 2/ L'ordre ionique : A l'austérité de l'ordre dorique succède la grâce de l'ordre ionique. Les colonnes sont plus sveltes et on toujours une base. Tantôt c'est la base attique (Erechthéion) tantôt c'est la base ionique ( Victoire aptère).La base attique est formée de deux tores séparées par une scotie à cause de l'ombre que projette le tore supérieur. Le chapiteau est un exemple de l'expression de la fonction de chaque membre de l'architecture

Hatchepsout (succession de terrasses dont les murs de soutènement sont masqués par portiques de piliers coupés en centre par rampes d’accès + sanctuaire dans la falaise – intégration de l’architecture au site) LE MOND GREC * Colonne ionique (Erechtheion) : base ionique attique = 2 tores (convexes) entourant 1 scotie (concave) ; haut du fut de la colonne : frise de palmettes et fleurs lotus ORDRE DORIQUE * Temple : 1) Opisthodome 2) Naos 3) Antes 4) Péristasis 5) Pronaos

ParthénonParthénonCarte de la GrèceParthénonLe Parthénon se situe en Grèce à Athènes.Le Parthénon se trouve dans la vieille ville haute, fortifiéeI. Introduction :Bâtiments entourant le Parthénon :Les temples d’Héphaïstos, de Déméter et d’ArtémisLe théâtre de DionysosAgora d’AthènesII. Petite histoire de sa construction C’est Périclès qui propose la construction du Parthénon et engage en premier les travaux. Il fera partie des monuments qui rendent l’Acropole connue : Propylées, temples d’Athéna

le temple d'Athéna Nikê (« Victorieuse »). La citadelle de l'ancienne Athènes, perdant son caractère de forteresse, fut dotée de monuments nouveaux : le Parthénon, les nouveaux Propylées (conçus et réalisés par Mnésiclès de 437 à 432), le nouvel Erechthéion (421-406). Athènes allait imposer son hégémonie (domination) à la Grèce entière, grâce à la maîtrise de la mer. Périclès, clairvoyant, comprit que cebtte hégémonie devait reposer sur la prospérité et sur la paix. Athènes, épuisée par trente ans

Bibliographie Roland Etienne, Athènes espaces urbains et histoire des origines à la fin du II siècle après J-C, hachette Querel Picard, Athènes cité archaïque et classique Les passeports de l’art : l’Acropole d’Athènes, éditions atlas  Érechthéion   

finance. Grâce au trésor de la ligue de Délos, utilisé en partie pour reconstruire Athènes, incendiée par les Perses peu avant la bataille de Salamine, l’Acropole se couvre, à l’initiative de Périclès [biog. p 45], de monuments somptueux (Parthénon, Erechthéion…) destinés à célébrer la puissance de la démocratie athénienne [doc 4 p 45]. Le principal divertissement des Athéniens est le théâtre, activité civique et religieuse [doc 3 p 47], les pièces, jouées lors des fêtes en l’honneur de Dionysos (les Dyonisies)