Érinyes

fut alors accueilli par son oncle. Plus tard a l'âge adulte il voulu venger son père, a l’aide de sa sœur Électre ils se rendirent a Mycènes et massacrèrent leur mère Clytemnestre ainsi que son amant.Peut de temps après Orestre poursuivi par les Érinyes, qui on le rôle de punir tout crimes humains, devin fou a cause d’elles.C’es la fin de la malédiction des AtridesZeus - Plouto Tantale - Dioné po Pélops-Hippodamie — Niobé Atrée — Thyeste Pitthée Egisthe Ethra - Egée Clytemnestre - Agamemnon

fille ; il était condamné à rouler vers le sommet d’une pente un rocher qui retombait toujours en bas. "les Euménides"  : En grec, Euménides signifie "les Bienveillantes" ; il s'agit en fait d’un euphémisme pour désigner les Érinyes (en latin les Furies), redoutables déesses de la vengeance, qui poursuivent les criminels de leurs torches et de leurs fouets là où la justice humaine est impuissante. Au nombre de trois (Alecto, Tisiphone et Mégère), elles portent une chevelure de

crève les yeux avec la broche de son épouse puis renonce à la royauté. Il est alors chassé de Thèbes. Après avoir longtemps erré avec Antigone, sa fille qui lui servait de guide, il arrive dans un lieu de culte non loin d'Athènes, où l'on vénère les Érinyes. C'est là qu'il meurt, juste après qu'Apollon lui ai promis que sa sépulture resterait un lieu sacré et bénéfique pour Athènes.

Jocaste, puis renonce à la royauté. Pour cette raison, il est chassé de Thèbes quelques années plus tard. Après avoir longtemps erré avec Antigone sa fille qui lui servait de guide, il arrive dans un lieu de culte non loin d'Athènes, où l'on vénère les Érinyes. C'est là qu'il meurt, juste après qu'Apollon lui a promis que sa sépulture resterait un lieu sacré et bénéfique pour Athènes.

"intérêt général et permanent" est de bannir l'homicide. Il est nécessaire de la fonder : Athéna créant l'Aréopage crée la justice institutionnelle qui doit relayer la justice divine contradictoire : le discours d'Apollon affronte celui des vieilles Érinyes. Seulement la seule manière de rétablir la paix est de rendre un jugement car Oreste a tué sa mère et Égisthe; parce qu'ils avaient eux-mêmes tué Agamemnon, Oreste à l'exodos des Choéphores dit ces mots au Coryphée: "oui, j'ai tué ma mère, non sans

mort de son père. D'après Eschyle, il rencontre Électre devant le tombeau d'Agamemnon ; ils se reconnaissent et décident ensemble comment Oreste doit accomplir sa vengeance. Après le passage à l'acte, Oreste , devient fou et est poursuivi par les érinyes, qui ont pour devoir de punir tout manquement relatif à la piété familiale. Électre, elle, n'est pas inquiétée par les déesses. Plus tard, Électre épouse pylade, un proche ami d'Oreste et fils du roi Strophios. Elle fait deux fils. b) Il y a Eschyle

de la reine, et renonça au trône. Il partit sur les routes, la main sur l’épaule d’Antigone, chercher un pardon problématique. A la fin de sa vie, il trouva asile en Attique auprès de Thésée. A Colonne, petit bourg non loin d'Athènes, les Erinyes l'entraînèrent dans la mort. Toutefois, Thésée accorda une sépulture au corps de cette victime de la plus terrible des fatalités, car il était dit que le tombeau d'Oedipe serait un gage de victoire pour le peuple athénien.

l’homme et lui fait ressentir. Le polythéisme ancien pouvait en ce sens opposer différents sens de la justice que des dieux différents portaient. Eschyle en témoigne, qui met en scène dans les Euménides l’opposition des anciennes divinités, les Érinyes, pour qui le crime contre son sang est le plus grave, aux nouvelles divinités que représente Apollon, pour qui la personne tuée importe en premier lieu. Pour les premières, Oreste mérite le châtiment suprême. Pour les secondes, s’il n’avait pas tué

l'épaisse nuit » (raison obscurcie) et « les ruisseaux de sang » (le crime). Il semble prendre vaguement conscience de cette situation (« Quelle horreur me saisit? »). Il a perdu son arrogance, il semble complètement égaré. - L'apparition des Erinyes, déesses de l'enfer qui personnifient poétiquement les tourments psychiques du héros sacrilège. Leur vengeance impitoyable est immortalisée par la mise de serpents qui couronnent leurs tête et la fameuse allitération qui parcoure les quatre vers

La maison est aussi le lieu du sacrifice des enfants. Médée en est finalement chassée, à la fois par le pouvoir humain de Créon et des Corinthiens, mais aussi par la souillure que représente le sang répandu : « Chasse de la maison la terrible Érinys » (Choeur 6).  crdp.ac-paris.fr, « Médée, pièce démontée. » Mise en scène de Laurent Fréchure Questions : Que doit représenter le décor ? Que représentait ce lieu pour Médée quand elle s'est mariée ? Qu'est-il devenu ? Réfléchir à un