Érinyes

famille ne s’enquiert que des revenus qui semblent suffisants pour manger (chapitre 26). Lorsqu’ils peuvent être injustes, les hommes le sont. C’est pourquoi outre le respect, la crainte est nécessaire pour que la justice soit possible proclament les Érinyes dans Les Euménides. Le respect, c’est le fait de viser le juste en tant que tel sans se soucier de soi. La crainte elle a celui qui craint pour objet. Autrement dit, on souffre d’un mal physique qui peut nous atteindre, mal qui n’est pas vécu comme

et Athéna qui avaient élevées les filles de Pandaros depuis sa mort en firent les frais. Profitant de l'absence des déesses qui étaient allées sur l'Olympe discuté du mariage des jeunes filles elles enlevèrent leurs protégées pour les données aux Erinyes comme servantes Le phenix : doué de longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître après s'être consumé sous l'effet de sa propre chaleur. Il symbolise ainsi les cycles de mort et de résurrection. Pégase : La naissance de Pégase est étroitement

destination finale, symbolisée ici par la mort. Hermione ne fait ainsi que lancer la bête qui va finir par avoir trois des quatre personnages impliqués, à savoir Pyrrhus, Hermione (qui finiront tous deux par mourir), et Oreste, qui sera rattrapé par les Érinyes, entités divines créées par le dieu du remords et incarnant celui-ci dans le monde des mortels, d'abord présentes dans L'Orestie, légende dont est issu le personnage d'Oreste. Ici, elles entraînent le personnage vers la folie. La seule à en rescaper

et, chassé de Thèbes, erra en mendiant dans la contrée, accompagné de sa fille Antigone, qui, seule, lui était restée fidèle. A la fin de sa vie, l'infortuné trouva asile en Attique, auprès de Thésée. A Colonne, petit bourg non loin d'Athènes, les Erinyes l'entraînèrent dans la mort. Toutefois, Thésée accorda une sépulture au corps de cette victime de la plus terrible des fatalités, car il était dit que le tombeau d'Oedipe serait un gage de victoire pour le peuple athénien. 4/Qui était Antigone 

UserHighlightvais m'expliquer. Vous autres, réfléchissez, Argiens, et jugez bien mes paroles, chacun. Souvent, ces paroles, les Achéens me les ont répétées, et ils m'invectivaient. Mais ce n'est pas moi qui suis coupable : c'est Zeus, et le Destin, et l'obscure Érinys, qui, à l'assemblée, m'ont jeté dans l'âme un aveuglement sauvage, quand, à Achille, j'ôtai moi-même sa récompense. Mais que faire

alors que celui ci entretient aussi une liaison avec Clytemnestre. Agathe femme volage nous rappelle les comédies de Marivaux et Molière avec ses passions aristocratiques nous renvoyant aux comédies bourgeoises. Il caricature aussi les terribles Erinyes antiques en les métamorphosant en petites filles insolentes « les Euménides ».En plus, ces dernières apportent du comique et de la légèreté à la pièce car elles parodient les rôles des autres personnages qu'elles tournent au ridicule comme avec Oreste

Oreste à la fin de la tragédie de Racine, Andromaque (1667) prolifération (répétition rapide) du son [s] évoque le sifflement des serpents → renforce la question angoissée que pose Oreste, meurtrier de son rival Pyrrhus → renvoie à l’image des Érinyes (dans la mythologie grecque, trois divinités vengeresses : Tisiphone (la Vengeresse du meurtre), Mégère (la Jalouse) et Alecto (l'Implacable), représentées couronnées de serpents) → visuellement : ‘‘S’’ lettre forme de serpent Registre → pathétique :

par Oreste à la fin de la tragédie de Racine, Andromaque (1667) prolifération (répétition rapide) du son [s] évoque le sifflement des serpents → renforce la question angoissée que pose Oreste, meurtrier de son rival Pyrrhus → renvoie à l’image des Érinyes (dans la mythologie grecque, trois divinités vengeresses : Tisiphone (la Vengeresse du meurtre), Mégère (la Jalouse) et Alecto (l'Implacable), représentées couronnées de serpents) → visuellement : ‘‘S’’ lettre forme de serpent Registre → pathétique :

en indivision; c'est sur elle que les hommes établiront, grâce au sacrifice 20 , les rites du 16. Du sexe jeté à la mer naît Aphrodite, mais, des gouttes de sang répandues sur Terre, surgissent les Erinyes, ces déesses implacables attachées aux meurtriers de leur propre sang. La parenté des Erinyes avec la race de Khtios est d'autant plus frappante que le texte hésiodique enchaîne avec la séquence concernant les enfants de la Nuit (v. 211 et s.) : voir Vernant (J .-P.), "Cosmogonies et mythes de

barque de Phlégias, quatrième gardien de l'Enfer. Là se dresse la ville de Dité (sixième cercle), dans laquelle sont punis les pécheurs conscients de leur péché. Devant la porte fermée de la ville, les deux amis sont bloqués par les démons et les Érinyes ; ils n'entreront que grâce à l'intervention de l'archange Michel et verront alors comme sont châtiés ceux « che l'anima col corpo morta fanno » (« qui font mourir l'âme avec le corps », c'est-à-dire les épicuriens et les hérétiques parmi lesquels