Ernest Gellner

l'appartenance des individus eux mm il a fallu tout un W politique et une des formes qui va prendre c ce qu'on va appeler le nationalisme. La fierté de son appartenance nationale. Ce phénomènes étudier par Ernest Gellner, et on peut résumer le propos d'Ernest sur le nationalisme en une formule Gellner il nous dit que nationalisme créé la nation. L’exaltation du sentiment national qui va créer l'imaginaire collectif de la nation. Parmi les agents de cette construction nationale on va bien évidemment trouver

Olivier Roy qualifie cette religion sans culture de « sainte ignorance », et estime qu'elle a de beaux jours devant elle63. Thèse de la sécularisation[modifier | modifier le code] « On a beaucoup parlé depuis quelques années de retour du religieux. » — Ernest Renan, 1848. La sécularisation désigne la perte progressive d'importance des religions dans la vie des sociétés modernes. C'est en Europe occidentale et au Canada que le phénomène serait le plus avancé tandis qu'il gagnerait progressivement les autres

la Nation procède de l’union des volontés en une association libre fondée sur une adhésion volontaire aux principes du contrat sociale. Plutôt qu’un corps auquel on apprtient la nation est un édifice que l’on construit avec d’autre individus. ∀☺ Ernest Renan: Il théorise cette approche, en disant que la nation « c’est un plébicite de tous les jours ». La nation est une sorte de contrat entre plusieurs individus qui décide de vivre ensemble. C’est donc un acte de volonté qui implique un choix personnel

est faite par l’Etat. La nation est un produit de l’Etat, c’est le résultat d’un processus de construction mis en œuvre par l’Etat. Pour autant, elle s’est structurée. Le fait qu’elle soit construite n’est fait pas moins un fait social tangible. Gellner disait d’ailleurs : «  Ce n’est pas la nation qui crée le nationalisme, c’est le nationalisme qui crée la nation » => Dire que la nation crée le nationalisme, c’est dire que la nation préexiste et qu’une structure de construction ne ferait que

makes any explicit claim regarding the priority of republicanism over nonintervention. 36 John Stuart Mill, "A Few Words on Non-intervention" [1859], pp. 167 and 176; "Vindication of the French Revolution of February, 1848" [1849], pp. 382-83. 37 As Ernest W. Lefever argues in "The Perils of Reform Intervention." 35 34 PATERNALISM A N D NEUTRALITY 83 necessarily follow from the morally objectionable results of recent examples of interventionary diplomacy that all interference in unjust states

peuples = notion d’impérialisme = pouvoir nazie qui annexe la Pologne. Conception du nationalisme qui a justifié le colonialisme. Pourquoi un historien à affirmer que c’est le nationalisme qui créer la nation et non l’inverse ? Cet historien c’est Ernest Gellner qui publie un livre en 1989 intitulé : « nations et nationalismes ». Traditionnellement, ce qui peut venir à l’esprit c’est parce qu’il existe des nations qui va avoir le développement du nationalisme. Alors que c’est la volonté d’un groupe à

nationale). La nation la plus célèbre en France, pour se reporter à la définition donnée par Ernest Renan [« La nation est un plébiscite de tous les jours… » ]. Cf. Une conférence donnée le 11 mars 1882 à la Sorbonne : « Qu’est-ce qu’une nation ? » Ernest Renan commence par expliquer ce que n’est pas une nation. Il utilise tout d’abord le critère de : 1. 2. 3. 4. la race (culture) la langue la religion [Ernest Renan est un spécialiste de l’Histoire des religions] la géographie Ainsi, tout ceci selon

une religion (dans laquelle on est élevé) ou tout autre trait qui caractérise une nation suivant la première définition. Cette définition recoupe par ailleurs largement la définition proposée par 9. Le nationaLisme / 19 l’essayiste Ernest Renan (1823-1892), auteur du texte classique Qu’est-ce que la nation ? (1882), lorsqu’il écrivait qu’une nation n’existe toujours que sous la forme d’un « plébiscite de tous les jours, comme l’existence de l’individu est une affirmation perpétuelle

Roland, Mythologies, Paris, Editions du Seuil, 1957. BAUDRILLARD Jean, Simulacres et simulation, Paris, Galilée, 1985. BHABHA Homi K, the Location of Culture, New York, Routledgem, 1994. BHABHA Homi K, Nation and Narration, London, Routledge, 1990. GELLNER Ernest, Nation and Nationalism, Ithaca, Cornell UP, 1983. GENETTE Gérard, Figures III, Paris : Seuil, 1973. GENETTE Gérard, Nouveau discours du récit, Paris : Seuil. Coll., 1983. GOLDSTEIN J-P., Pour lire le roman, Paris, Duculot, 1980. JAMESON Fredric

L’imaginaire national (1983), qui est à l’origine de la notion de "communautés imaginées" : ce qui constitue le sentiment national, c’est le fait de se sentir membre d’une communauté imaginée (mais pas imaginaire puisqu’elle existe). On peut aussi citer Ernest Gellner, auteur de Nations et nationalisme, qui met l’accent non seulement sur le rôle de l’école dans l’inculcation de ces constructions, mais aussi sur celui des médias. Citons encore Eric Hobsbawm, auteur post-marxiste, qui a écrit Nations et nationalismes