Éros

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non plus, vais pas faire les quatre coins. Ou alors ma grand-mère m’a raconté des sornettes depuis toute petite. Je continue à chercher « la pharmacie du coin » en remontant le trottoir. Toujours rien, à part cette grand tour, un Eros center certainement, un Female Eros Center : des studios, des studios de rencontre, rencontre de femmes. C’est merveilleux d’avoir un rhume un vrai rhume d’amour, merveilleux. Je pense à un bonheur interdit, je conserve toujours le souvenir d’un sourire, d’une voix

princeps dans toutes les provinces de l’empire. On peut supposer qu’il tenait à l’origine une lance dans sa main gauche. Il tend le bras droit ce qui pourrait représenter l’Imperator haranguant ses soldats après une victoire. À ses pieds se trouve Éros, dieu de l’amour et fils de Vénus, chevauchant un dauphin, qui est en fait utilisé comme contrepoids, la statue originiale étant en bronze ce supplément était donc absent, cette méthode était fréquemment utilisée sur les statue en marbre. D’après

de la pyramide des besoins, alors que le désir n'est qu'inconscient. LE DESIR COMME MANQUE 1) Platon et le mythe d’Eros Dans le Banquet, Platon approche l’essence du désir (Eros) comme un manque existentiel, une pénurie, une incomplétude. Eros est fils de Poros et de Penia. Poros est un dieu de la richesse. En tant que tel, il ne désire rien puisqu’il a tout. Penia, est la pauvreté, l’indigence même. Or elle n’est même pas consciente de cette pauvreté,

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une immensité vide ou aucune régle ou ordre ne peut regner. Du Chaos surgira Gaia (la Terre), Eros(le Désir), le Tartare (les Enfers) ainsi que Erebe (les ténèbres des Enfers) et Nyx (Nuit) Ces deux dernières divinités engendrèrent notamment l'Ether (l'air) et Hemera (le Jour) Gaia enfanta seule Ouranos (le Ciel), les Hautes Montagnes puis Pontos (le flotMarin). Un premier ordre se met en place. Eros, forte puissance créatrice, peut agir et unir le Ciel et la Terre. Les premiers enfants de Gaia

désirons ce qui nous manque. Platon a admirablement posé le problème dans le mythe où il raconte la naissance d’Eros, ce demi-dieu qui personnifie l’amour, le désir. Eros serait le fils de Poros, dieu de la richesse et de l’abondance, et de la mendiante Pénia. C’est donc un démon, qui tient le milieu entre les dieux et les mortels. Eros ne peut être de nature purement divine : les dieux ne désirent pas, puisqu’ils sont comblés. Mais le désir ne peut être non plus, comme la pauvre Pénia, pure indigence

| |- La forme de la tragédie, selon Alain ("Système des Beaux-Arts: Du tragique et de la fatalité."): l'accélération du temps | |- La matière de la tragédie (idem): la passion (Eros-Thanatos) dans "Bérénice"; la "pitié" et la "frayeur" du spectateur (selon Aristote). | |