Érotisme

d’autres caresses, comme un avenir proche à d’autres mains. A travers les représentations de mains, la femme rêvée, aimée, est bien une invitation à la liberté. Cependant, les mains montrées, nommées ou simplement suggérées renvoient aussi à un érotisme plus trouble. Dans « Belle Main », les bras tendus de la femme semblent se multiplier pour devenir les doigts d’une main géante. Ce thème de mutilation, de blessure, se retrouve également dans « L’Espion ». Ce dernier ne perce pas vraiment la main

pour revivre : « Le remède miracle accord cadeau confiance » ( «  Des Nuages Dans les Mains » ) Objet de la passion amoureuse, elle incarne la vie, abolit la solitude et le désespoir. Cet amour qu'elle inspire va bien au-delà de son existence, son érotisme. Transition : Quels caractéristiques la figure féminine peut-elle bien avoir pour devenir si attrayante, passionnate et intriguante pour que les Surréalistes l’utilise comme modèle ? Pouquoi peut-on dire qu’elle dépasse sa condition humaines 

aisselles, les bras. Vers 25 : jambes (membres inférieurs), les mollets, les pieds. Vers 30 : le cou et la gorge, les seins, le ventre puis fait le tour . Vers 39 : le dos, la nuque, les hanches, les fesses puis le sexe (renouveau du blason avec érotisme) Le poème se finit sur les yeux. On a une écriture structurée , organisée et libérée. Le recours à la forme traditionnelle du blason permet à Breton d'évoquer le corps féminin mais aussi de laisser se déployer par le biais de rapprochements

société parisienne en transition, qui commence sa modernisation peu à peu dans la ville et dans les mentalités de ses citoyens. Néanmoins, c’est aussi l’image d’une culture encore attachée au classicisme de ses aînés. En ce sens, Courbet dévoile un érotisme en transition dans sa peinture La Femme au Perroquet (1866). Son sujet concorde avec les canons artistiques qui régissaient sur la représentation du Nu en représentant une figure corpulente, exprimant un idéal de beauté. Néanmoins, ce n’est plus

l'allégorie qui fait de la femme une porte ouverte vers l'Idéal. I Le chat comme métaphore de la femme A/ Les éléments du sonnet référant à l'animal réel : B/ L'humanisation du chat : le processus comparatif C/ Le chat porteur de rêves II Érotisme et sensualité : le chat comme objet de désir A/ Les sèmes de la sensualité B/ Le rapport charnel C/ Le chat phallique III Le sonnet enivrant : une ascension vers l'idéal. A/ L’espace du poème : le poème comme « lieu » B/ Du bon usage

la vie) | ''bébé'', ''fillette'', ''voyou'', ''frêles atours'' | Synesthésie | ''gazons verts'', ''yeux'', ''je regarde'' ''par le chant des trombones'' (version burlesque du chant des sirènes), ''riant'' ''rose'', 'caresse'' | Érotisme - | ''rose'' = fleur à la bouche = amour aux lèvres poète = sensualité érotique, il les déshabille du regard ''alertes'', ''leurs yeux tous pleins de choses indiscrètes'' = pleines de vie, provocantes ''le cou'', ''sous le corsage'', ''le dos''

le torse du modèle féminin photographié, les fleurs se substituent aux vêtements. Le blanc prend des tons de chair (comme les fleurs d'ailleurs, comme le pantalon de l'homme allongé), la photographie se fait plus charnelle, mais discrètement, sans érotisme. Les seins du tableau sont juste évoqués et aussitôt masqués par les fleurs dans la photographie : des fleurs qui deviennent une métaphore de la charge sensuelle du corps. La chair se fond dans ce qui habille, et c'est le vêtement qui récupère la

se trouvent dans les lettres à Lou (correspondance 1914-1918) Toutes les formes poétiques (sauf prose) y sont représentées L’amour et la guerre sont étroitement liés car ils sont alors l’essentiel de la vie du poète Les thèmes principaux Amour, érotisme, beauté de la femme Amour achevé, désespoir, colère, incompréhension, douleur, regret Guerre, front, armée, horreur des batailles, ambiance entre soldats Sublimation de la mort et de l’amour Femme / sentiment amoureux Lou est en réalité Louise

l'imagination des femmes d'autrefois, il est fasciné par un objet, enfin dominé par un fantasme. Il apprécie la chevelure parce qu'elle est «la seule partie vivante de la chair qui ne dût point pourrir». On est en présence d’un cas de fétichisme, d’un érotisme macabre, puisque l'amour pour une morte inconnue passe par un objet transitionnel. Et la chevelure lui procure un bonheur total, parce que, justement, il ne se heurte à aucun obstacle matériel. Intérêt philosophique Maupassant ne procède pas

entre sexualité et violence a été directe. Dans la morale chrétienne, la sexualité en dehors du mariage était considérée comme dangereuse et condamnable. Avec la révolution sexuelle, les attitudes ont changé et un lien fort entre non-violence et érotisme a été établi. La paix correspond à une sexualité devenue pacifique et idyllique. Dans les années soixante-dix, un nouveau changement intervient quand les féministes découvrent le viol, l'inceste et les abus sexuels: violence et sexualité sont à nouveau