Escadron

la  lecture  attentive  des  romans  avait  fait émerger mais que ce  parcours hors roman effectué par Claude Simon  lui‐même  nous  permet  de  clarifier.  Le  premier  a  eu  lieu  le  12  mai  en  Belgique sur une voie de  chemin de  fer ;  son escadron,  alors qu’il  était de  l’autre  côté  de  la  Meuse  au  lieu‐dit  Lez  Fontaine,  légèrement  au  nord  de  Natoye, a été attaqué. Un sous‐officier, le maréchal des logis Ostertag, a eu  le réflexe d’emmener les cavaliers en contrebas sur un ballast de chemin de 

sous-officier de hussards du régiment que commandait son père. C'était un beau garçon, fils de paysans, mais portant bien le dolman bleu, ce soldat qui avait séduit la fille de son colonel. Elle l'avait vu, remarqué, aimé en regardant défiler les escadrons, sans doute. Mais comment lui avait-elle parlé, comment avaient-ils pu se voir, s'entendre ? comment avait-elle osé lui faire comprendre qu'elle l'aimait ? Cela, on ne le sut jamais. On n'avait rien deviné, rien pressenti. Un soir, comme le soldat

Allez! Rompez! Préparez-vous. Départ dans un quart d'heure. Blindé Allemand appelé "Tigre". Liouban traversé par une compagnie Allemande. Chapitre V Ils s'étaient dissimulés en bordure de forêt. Sur la route défilaient des chars, par escadrons entiers, qui fonçaient en direction de l'est, s'enfonçant dans la terre de Russie ainsi que des poignards. Des motocyclistes, des camions chargés d'hommes, de munitions et de vivres, suivaient. Le coeur serré, les jeunes soldats mesuraient l'ampleur

lorsque les violences et les actes de pillage ou de destruction de biens étaient le fait des participants aux manifestations des « patriotes », les forces de l’ordre auraient fait preuve de passivité ou de complaisance83. De plus, les rondes des « escadrons de la mort » ont fait plusieurs victimes84, essentiellement dans les milieux proches de l’opposition ou supposés 81. Lire à ce sujet le rapport de la mission d’urgence des Nations unies sur la situation en Côte-d’Ivoire (S/2003/90). 82. Suite à

turn-over permet de supporter des conditions de détention beaucoup plus difficiles sans explosion (...). C’est une réalité pénitentiaire, car si l’on dépasse les normes dans les maisons centrales en mettant deux ou trois détenus par cellule, malgré un escadron de CRS, on ne tiendra pas longtemps l’établissement ". Au fond, ce sont des rapports de force qui expliquent que les taux d’occupation sont bien souvent de 80 ou 90 %, voire moins, dans les établissements pour peines alors qu’ils peuvent atteindre

fourmis reposent sur la chasse, ce mode de vie implique donc une migration continue à la recherche de nouvelles sources de nourriture. Ces déplacements sont effectués sous forme de raids dont les plus impressionnants chez Eciton burchelli lance des escadrons serrés de 15 mètres de large sur 2 à 3 mètres de long qui se déplacent de manière non organisés jusqu'à l'apparition d'une direction préférentielle qui formera une sorte d'arborisation aux nombreuses ramifications. Les fourmis chassent alors ce

façon de combattre de ces chars : d’abord, ils les font voler de tous côtés en lançant des traits ; la seule crainte qu’inspirent les chevaux et le bruit des roues jette d’ordinaire le désordre dans les rangs ; puis, quand ils ont pénétré entre escadrons, ils sautent à bas de leurs chars et combattent à pied. Cependant, peu après, les conducteurs sortent de la mêlée, et placent leurs chars de telle sorte que, si les combattants sont pressés par le nombre, ils puissent se replier commodément sur eux

interdits de la religion musulmane, la similitude avec des événements survenus en 199611 semblent indiquer une résurgence de l’action de groupes intégristes musulmans. Selon la presse mauricienne, ces attentats auraient été perpétrés par des escadrons de la mort composés de tireurs d’élite entraînés en Afghanistan ou au Pakistan. Ils répondent à la logique d’un intégrisme musulman s’appuyant sur des réseaux transnationaux et contestant la logique d’une sphère publique neutre, voire le principe

http://www.reseau-canope.fr/poetes-en-resistance/accueil/ Bêtise de la guerre Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile, Berceuse du chaos où le néant oscille, Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons, Toute pleine du bruit furieux des clairons, Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie, Hideuse, entraîne l’homme en cette ivrognerie, Nuée où le destin se déforme, où Dieu fuit, Où flotte une clarté plus noire que la nuit, Folle immense, de vent et de foudres armée, A quoi sers-tu, géante, à

contrastes, les exemples, de l’opposition de l’incompatibilité des idées, et s’élève au besoin jusqu’au sublime. « Je l'ai vu, tout couvert de sang et de poussière, /Porter partout l'effroi dans une armée entière. / J'ai vu par sa valeur cent escadrons rompus ; / Et pour t'en dire encore quelque chose de plus, / Plus que brave soldat, plus que grand capitaine, / C'est... / De grâce, achevez ! » - Gradation : Consiste en une série (ou énumération) de mots ou groupes de mots ayant la même nature