Espace Et Temps Dans Phedre

que le message. Façon de transmettre l’info façonne l’info. Ex : l’imprimerie : a changé échelle, accessibilité de l’info dans l’espace (plus d’endroits fixes, mais pensée mobile), « fidélité » (fixation par l’écrit), ubiquité, sauvegarde dans le temps, modification de la compo de l’info. Médias chauds (radio, presse) ≠ froids (télé, téléphone) : activité/passivité. Pour Mchh, supports ont bouleversé l’histoire. Révos de supports/changement de technique changent l’homme & la civi. Ex : ND de Paris

Fontenelle, Histoire des oracles, IV. Aldous HUXLEY (1894-1963), Le Meilleur des mondes (1932) L'un des étudiants leva la main ; et, bien qu'il comprît fort bien pourquoi l'on ne pouvait pas tolérer que des gens de caste inférieure gaspillassent le temps de la communauté avec des livres, et qu'il y avait toujours le danger qu'ils lussent quelque chose qui fit indésirablement « déconditionner» un de leurs réflexes, cependant... en somme, il ne concevait pas ce qui avait trait aux fleurs. Pourquoi se

certains mots grecs et leurs significations ou équivalent français qui ont un rapport avec le théâtre et plus précisément le lieu de théâtre : La skéné : Scène qui servait de coulisse et aussi à entreposer les éléments de décors. Le proskenion : Espace où jouaient également les acteurs. L’orchestra : Correspond au parterre. La thymélé : Autel de Dionysos. Les parodos : Chemins entre le theatron et le proskenion pour le passage du chœur et d'une partie des acteurs. 4/ Les auteurs grecs sont

donnent l’apaisement et le bonheur qu’il y eût un sens, démêlé de l’écheveau des jours.   Michel Deguy commente quelque part cette scène du film de Mnouchkine. Elle se déroule tout le temps de l’air du génie du froid de Purcell, et la montée impossible des marches le scande tragiquement dans un usage autre du temps par un usage autre de l’espace et du mouvement.   Mais ce qui me touche considérablement, ce sont les visions qui viennent à Molière, précédées par le regard qu’il porte sur ses amis

le rôle du metteur en scène n'a cessé de prendre de l'importance au point qu'on en oublie parfois aujourd'hui l'auteur. La représentation théâtrale incarne donc le texte en le faisant vivre dans un espace concret et réel, la scène. De même, la forme de cet espace scénique, qui évolue avec le temps, conditionne la représentation, et donc le sens même de la pièce. Les choix et les interprétations du metteur en scène peuvent infléchir le sens de la pièce, voire le changer totalement. Il peut respecter

théâtre est un « texte troué », selon Ubersfeld, et voilà ce qui rend nécessaire l’intervention d’un metteur en scène pour le compléter. En effet, le texte, présenté sous forme de dialogue, ne dit pas forcément tout. L’absence d’un narrateur donne espace au lecteur d’interpréter les péripéties que les personnages n’évoquent pas explicitement, en utilisant la technique de la double énonciation ou celle du monologue. De même, les didascalies, c’est-à-dire, les indications que donne l’auteur pour la

SEQUENCE 4 : LE THEÂTRE Objet d’étude : Le théâtre, texte et représentation Séance 1 : Rappel Tragédie -> 5 actes Comédie -> 3 actes Unité de temps -> 24h Unité de lieu -> plateau unique (autrefois) Unité d’action -> une action principale Vraisemblance -> la pièce doit être crédible, ne pas choquer (nu) Unité de thème -> Comédie : registre comique Tragédie : registre tragique I. Les genres du théâtre p.482 1) Sous genre de la comédie Comédie classique : cf :

(liberté- fatalité.). Le dénoument est "tragique" et finit toujours sur la mort du protagoniste toujours manipulé par des forces qui le/la dépassent (le temps, l'espace, les dieux, la raison). L'effet de la tragédie doit inspirer la terreur, la pitié et crée chez le spectateur une catharis, sorte de purification des passions humaines. Exemple: Phédre de Racine. La Comédie est associée aux XVIIe et XVIIIe siécles. Les personnages sont de condition sociale plus modestes que dans la tragédie, souvent

doit d'abord y croire. De ce fait, si l'illusion est dévoilée, les pièces tragiques telles que Œdipe Roi (430-415 av. JC) de Sophocle, où Œdipe se crève les yeux après avoir réalisé qu'il avait tué son père et épousé sa mère, ou Phèdre (1676) de Racine, dans laquelle Phèdre, amoureuse de son beau-fils Hippolyte et victime de ses pulsions, ne fait que semer la malheur autour d'elle, ne peuvent plus assurer leur fonction cathartique, et perdent de leur intérêt. Peut-être le plaisir n'est pas uniquement

enceinte. Son accouchement se situe au chapitre 8 (dans un roman de 14 chapitres), juste après cette découverte bouleversante. Extrêmement déprimée, elle a même songé au suicide. L’accouchement se déclenche avant la date prévue. Et la malade, de temps en temps, poussait une faible plainte. Pendant deux heures, on put croire que l’événement se ferait longtemps attendre ; mais vers le point du jour, les douleurs reprirent tout à coup avec violence, et devinrent bientôt épouvantables. Et Jeanne, dont les