Espace européen de la recherche

les espaces des industries aéronautiques et aérospatiales européennes: une production en réseaules espaces des industries aéronautiques et aérospatiales européennes: une production en réseau Les industries aéronautiques et aérospatiales sont des activités de haute technologie. Elles regroupent les entreprises dont l'activité est liée à la conception, la construction et la commercialisation d'aéronefs (avions, hélicoptères, drones) et d'astronefs (véhicules spatiaux, lanceurs, satellites), pour un

régionales s’inspirent largement du concept de Drucker. Ainsi, le GII (global innovation index) qui mesure l’innovation, la recherche et le développement dans 130 pays permet de mettre en évidence les pays qui développent un modèle de société de la connaissance : Suisse, Suède, États-Unis, Pays-Bas et Royaume Uni sont les pays les plus innovants. Au sein de l’Union Européenne, le traité de Lisbonne (2000) se donnait pour objectif de faire « l’économie de la connaissance la compétitive

(sous sa forme fiduciaire), l’harmonisation européenne se poursuit avec les moyens de paiement. Le 28 janvier 2008, un espace unique de paiements en euro voit le jour, appelé SEPA. Il permet l’utilisation de moyens de paiement identiques dans les 31 pays de la zone SEPA. Les consommateurs de cette zone SEPA peuvent effectuer des paiements dans les mêmes conditions, et aussi facilement que dans leur pays. L’objectif recherché est de créer un espace de paiement unique au sein duquel les individus

peuvent être valorisés ou non en fonction de la société et de facteurs techniques Ressources : les richesses éventuelles offertes par un milieu et exploitables à un coût acceptable Site classé : Seuil : espace relativement bas permettant de relier deux unités géographiques. Territoire : un espace approprié par une société, limité par des frontières et soumis à des lois ZEE : zone éco excluse, bande de 200 miles marins (370km) à partir des côtes. Le pays qui la possède dispose de droits économiques

L’Europe RHENANE Introduction : EDC p 198-199 du manuel. Pbk : quels sont les atouts, les contraintes et les évolutions de l’espace rhénan pour rayonner aux échelles européennes et mondiales ? I/ Le cœur de la mégalopole européenne 1.1 Les métropoles organisent le territoire Des densités élevées : exceptées dans les régions alpines, les densités d’occupation des sols s’élèvent entre 200 et 500 habitants au km². L’armature urbaine se caractérise par un semis de 60 villes de plus de 100 000 habitants

région Bourgogne se définit d’abord par ses contrastes. Elle se compose d’un cœur vide et de périphéries actives. En effet, le centre de la région est occupé par les hautes terres du Morvan et les plateaux des bordures du Charolais et du Nivernais, espaces ruraux dépeuplés, isolés, qui peinent à valoriser leur activité d’élevage bovin pour la viande (Charolais) et de tourisme (Parc Naturel régional du Morvan). •  La population et les activités se concentrent sur des axes urbanisés : le sillon industriel

début du siècle, due pour l’essentiel à un solde migratoire positif. La région qui a depuis fort longtemps un accroissement naturel modeste, est très attractive, qu’il s’agisse d’actifs polarisés par la métropole bordelaise ou de retraités à la recherche d’un cadre de vie agréable. 2 Une région organisée par un réseau urbain original •  L’agglomération de Bordeaux domine largement la région ; elle concentre le quart de ses habitants. Éloignée de Paris, elle s’est imposée sans grande concurrence

METROPOLISATION ET RESEAUX URBAINS L’espace européen (comprenant l’espace français), est structuré par un ensemble de flux développés depuis le XIXe siècle par le phénomène du développement des échanges (marchandises – hommes – financier….). Ces échanges s’organisent autour des viles, de plus en plus nombreuses, favorisant le développement de la métropolisation et favorisés par le développement des infrastructures de transport. Problématiques : - Comment s’établissent les hiérarchies

l’université, la recherche et l’industrie * Aujourd’hui, ce « modèle » est organisé en trois secteurs (les micro-nanotechnologies et les logiciels, les biotechnologies et les sciences du vivant.) * L’attractivité et la compétitivité de « l’écosystème » reposent sur l’excellence de son pôle scientifique, sur le regroupement en une seule et même place de grands instruments de recherche européens et sur la très forte synergie entre les entreprises et les acteurs de la recherche. Minalogic s’adresse

G2 Q3 Les systèmes productifs entre valorisation locale et intégration européenne et mondiale Dans la seconde moitié du XXe s. des économistes (Allan Fisher, Colin Clarke et Jean Fourastié) élaborent la théorie des trois secteurs qui divise l’économie entre : · Le secteur primaire caractérisé par l’extraction des matières premières· Le secteur secondaire qui regroupe les activités de fabrication· Le secteur tertiaire qui rassemble les activités de service