Essai sur l'inégalité des races humaines

et les femmes enceintes mais principalement les Juifs et le peuple Tzigane. Environ des milliers de personnes furent victimes de ces expériences. Lors de la défaite allemande, le monde découvrit avec horreur et incrédulité l’ampleur de ce désastre humain. Un tribunal spécial fut crée pour juger les médecins coupables d’avoir mené de telles expériences. Il s’agissait du tribunal de Nuremberg qui élaborera à la suite des procès ce que l’on dénomma le « Code de Nuremberg ».

même un danger qu’il faut à tout pris éviter car cela reviendrait à perdre notre identité, ce qui nous constitue, qui nous différencie et fait notre fierté. La civilisation européenne ne se rend pas compte que la différence apporte beaucoup à l’être humain. D’autant plus que dans les sociétés dite « primitives » les conflits et tous les problèmes tel que l’alcool, la drogue, l’argent sont inexistant. Chacun peut apprendre de l’autre, notre réflexion est précieuse, et la considérer comme néfaste et

hitlérienne de la guerre des races, venant de l´adjectif «Völkisch » :« das Volk » signifiant le peuple et le suffixe «isch»« qui a la qualité de». Le racisme est la prétention d´infériorité d´un homme ou d´un groupe humain par ses origines, sa nationalité ou son ethnie. Il est issu de la notion de race qui, du fait de sa polysémie, permet le passage d´ une idée raciste à une autre, stratégie raciste a une autre. Il met l'accent sur les différences biologiques des êtres humains. Les préjugés racistes

CLAUDE LEVI-STRAUSS RACE ET HISTOIRE 1952 CONTEXTE HISTORIQUE : En 1952, l’Unesco a publié une série de brochures consacrées au problème du racisme dans le monde. Claude Lévi-Strauss rédige pour l'occasion un essai, Race et Histoire. Le racisme est une question qui préoccupe l'Unesco depuis l'entre-deux guerre, période durant laquelle nous assistons à une augmentation des problèmes de race, dont le point culminant fut l'extermination des Juifs et Tziganes durant la Seconde Guerre Mondiale

bases du racisme contemporain (Gobineau, Essai sur l’inégalité des races humaines). Cette prétendue supériorité sert la légitimation de l’expansion territoriale de l’Europe, l’affirmation de la mission civilisatrice de l’Europe venant alimenter la bonne conscience des colonisateurs. L’emprise sur les territoires colonisés est politique mais aussi économique (grandes compagnies à chartes minières, compagnies de plantation, de Chemin de fer…), et humaine (travail forcé pour les colonisés, emprise

Société d’Anthropologie Française, auteur en 1935, d’un célèbre ouvrage intitulé : L’Ethnie française, reprend à son compte les idées de son prédécesseur et définit l’ethnie comme « regroupement naturel comprenant la totalité des caractéristiques humaines ». Pour lui « l’ethnie englobe donc la race ». Comme on peut le constater, l’ethnie ne relève donc pas d’une essence immuable, mais c’est un concept en perpétuelle construction, tant il est vrai que très peu de travaux ont abordé cette question.

et les descendants des indiens. Pour d’autres, la pensée anthropologique haïtienne a commencé son trajet à partir de 1885 avec la parution du fameux ouvrage d’Antenor Firmin intitulé ‘’De l’Egalite des races humaines’’ en réponse à Arthur Gobineau qui avait écrit ‘’De l’Inégalité des races humaines’’. Ensuite, cette pensée allait être alimentée et approfondie par un panorama ethnologique à partir des années 1930, avec des anthropologues comme Jean Price-Mars, Jacques Roumain et autres qui se réclamaient

unisse les individus Il existe une conception dite objectif ou subjective La conception objective de la nation : -La langue pour les nationaliste flamant -pour les nationaliste catalan -La religion -La race Gobineau : «essai sur l’inégalité des races humaines» 1853 Débouche sur le illeme Reich. La conception subjective de la nation : Dans la seconde moitié du 19éme siècles Ernest Renan : «qu’est ce qu’une nation ? 1882 «Ce qui constitue une nation, ce n’est pas de parler la même langue

conséquence des autres. Ces théories imposent des théories raciales qui vont trouver un écho au 19ème siècle avec le mythe des Aryens. Gobineau développe son point de vue dans son ouvrage « Essai sur l’inégalité des races humaines ».Pour lui, tous les hommes ne se valent pas. A l’origine, les Aryens, des humains qui par leur sang sont supérieurs aux autres. Ils seraient à l’origine des plus grandes civilisations, grecs et même égyptiennes !De part leur migration. Il insiste sur le métissage, sur le

De plus au 19e sicle nous sommes dans une conception raciste de l’humanité , l’homme croit en l’inégalité des races «  Inférieurs / Supérieurs » , cette croyance est même soutenu par les scientifiques ( schéma , théorèmes .. ) Les Européens se considèrent comme la race « supérieure » considèrent qu’ils ont une mission civilisatrice c’est-à-dire de rependre la civilisation aux peuple , aux races qui ne la connaissent pas . « White Man burden » R.Kipling ce qui veut dire le « Fardeau de l’homme