Est Il Facile De Penser Librement

Penser est-ce la même chose qu’avoir une opinion? D’emblée on peut remarquer le caractère provocateur du sujet, car penser ou avoir une opinion ne nous semblent pas être des « chose(s) » terme qui renvoie à la matière, mais au contraire des activités de l’esprit. Cependant, s’arrêter au terme « chose » ce serait passer à côté de l’analyse de l’expression « la même chose » qui peut viser soit «  l’identité » c'est-à-dire que deux réalités seraient de même nature, ou un rapport «  d’égalité » qui

Dans une vie d'homme, il est possible de faire des tas de choses, comme écrire, lire, pensée, apprendre ou même encore croire. Un homme peut choisir de croire selon les situation qui s'offrent à lui. Il peut penser croire ou bien ne pas croire. Mais selon les situations, les croyances se trouvent nuancées, et l'homme peut décider de croire ou non en quelque chose. Est-il donc possible pour un être humain de ne pas croire? Tout d'abord qu'est-ce que la croyance? Et pourquoi croit-on ou ne croit-on

nous plier à des lois et des conventions. Naïfs sont ceux-là qui espèrent ne pas s’y soumettre, car on ne désobéit pas à une loi: on obéit à une autre. S’ils ne tombent écrasés, ils vivent avec une liberté des plus illusoires. Faire son devoir librement est un exercice de sa liberté, la désobéissance est une forme d’esclavage. Cependant, l’obéissance ne peut-être pratiquée par un individu seul. L’obéissance suppose un ordre, émanant d’une autorité, et une durée. Toute obéissance n’est pas bonne

Le sport, quel qu'il soit, peut être une pratique dangereuse, il inclus un dépassement de soi, et parfois des prises de risque. Il arrive aussi qu'il libère l'esprit, et que le sport ne fasse qu'occuper le corps pour permettre aux penser de voyager librement. Jon Krakauer nous parle, dans cet extrait de Tragédie à l'Everest, du rapport qu'il entretient avec son corps et celui que ce dernier entretient avec son environnement. Il explique que le sportif (ici l'alpiniste) est doté d'une sorte

Les conteneurs ont des parois faites d'acier, un alliage difficile à pénétrer avec les détecteurs actuels. Les mœurs locales exercent une action directe sur la production des biens. Dans un pays où la copie est tolérée pour diverses raisons, il est facile de démarrer une unité de production. Les fabricants ont le désir d'abaisser le coût des marchandises. En cette ère de production délocalisée, il est de plus en plus coûteux de vérifier l'origine des produits. Un appareil de complexité moindre contient

Ainsi, la liberté est le signe de la puissance de notre volonté. La liberté de volonté réside dans son indépendance par rapport à l’instinct, la passion et le désir. La liberté de volonté est la manifestation du libre arbitre. Nous disposons librement de notre volonté. Le libre arbitre c’est donc pouvoir se décider sans cause. Bossuet a écrit : « Le libre arbitre est la puissance que nous avons de faire ou de ne pas faire quelque chose ». Mais, la volonté peut-elle choisir de ne pas suivre la

À chaque numéro, la rédaction d’ Archistorm sollicite une personnalité de l’architecture pour commenter librement l’actualité. « L’ORDINAIRE EXTRA » C hr o niq ue d ’une r é f lex ion d’ un a r c hitecte pa r N ico l a s M ic he lin Nicolas Michelin. Silo, Champaign, États-Unis, photo et © Nicolas Michelin Nicolas Michelin ACTUS _ TRIBUNE ’architecture change, ou du moins, est obligée de changer. Les modifications dans la façon de concevoir les projets, qui inter viennent depuis

Commentaire de texte Sartre Sartre a été le premier représentant de l'existentialisme en France et maître à penser de l'après-guerre. Son talent était tellement prestigieux qu'il en reçut, comme récompense, le prix Nobel de littérature, qu'il refusa. Dans  L’existentialisme est un humanisme, Sartre expose les principes de l’existentialisme ; le texte proposé en est un extrait. Le thème de ce texte est la liberté des hommes. La thèse de Sartre se traduit par la cause mais aussi par les conséquences

et qui n’est pas touché par les mœurs de sa société, peut être considéré comme un individu complètement libre, puisqu’il n’est pas soumis à la peur de mal faire ou d’être condamné d’un geste considéré comme « tabou » par sa société. Il est libre de penser à ce qu’il veut et d’agir comme bon lui semble. Or un nourrisson ne peut pas réellement être définit comme un sujet, puisqu’il n’a pas pris conscience de lui-même et du monde qui l’entoure et il n’a d’ailleurs que peu d’influence dans sa situation

pense que l’humain est constitué d’un corps qui a lui-même son propre attribut essentiel celui de l‘occupation d‘un espace. Et que tout les corps vivants (Homme ou animaux)sont des machines qui ont été penser et crée par dieu. De plus l’homme possède une âme qui pour Descartes est constitué de la penser(l‘attribut essentiel) de l‘âme. Donc Descartes est en totale contradiction avec Sartre puisque il affirme que l’homme n’est constitué que d’attribut essentiel venant de dieu. Il fait donc partit des