Estampe

vague de Kanagawa, Metropolitan Museum of Art, New York (USA). Les Trente-six vues du Mont Fuji sont une série de 46 estampes réalisées par Hokusaï (1760-1849) et dont les dates d’édition s’étendent entre 1831-1833. Elles représentent le mont Fuji depuis différents lieux, suivant les saisons. Date de création : vers 1830-1831 Dimension : 24,8 × 37,0 cm Technique / Support : estampe, gravure sur bois  L’estampe japonaise est un travail d’équipe, le dessinateur fournit son modèle au graveur qui transpose

terme inventé en 1872 par Philippe Burty (critique d’art) dans la revue Renaissance littéraire et artistique et fut connu en Europe en 1862 lors de l’exposition de Londres et de celle de Paris en 1867 où l’on présenta divers albums, porcelaines, estampes des artistes de l'Ukiyo-e provenant du Japon. Le mouvement devint dès lors d’une réelle influence en Europe, de grands peintres du mouvement impressionniste comme Manet, Whistler ou encore des peintres comme Tissot furent séduit par le japonisme

VAN GOGH et le modèle japonais Certains artistes se contentèrent de l'attrait de l'exotique et d'accessoires kitsch, en plaçant bien en vue dans leurs tableaux une table basse ou une estampe. D'autres vidèrent leurs représentations de tous les éléments dénotant un genre particulier pour retrouver la pureté de l'intérieur japonais qui, selon eux éliminait tout ce qui était superflu. Rares furent ceux qui parvinrent à forger un mode de vie s'inspirant du modèle nippon. Van Gogh était l'un d'eux. Durant

manuscrit d’un cours de P. de La Ramée, joint à un recueil de pièces imprimées.] ● Estampes, cartes et autres documents iconographiques Delmas, (Jean-François), « Estampes et textes imprimés sur tissus de soie. Catalogue raisonné de théses et d’exercices publics XVIIe-XVIIIe siècle », Bulletin du bibliophile, 2005 (n° 1), p. 85-142. [Recense les thèses de : Paul-François Blondeau de Fussey (20 juillet 1653) [n° 7], cote : Estampes 44 ; Pierre Coqueau (5 juillet 1665) [n° 16], cote : Inv. 21 ; François-Louis

le Japon. Les artistes européens découvrent, parmi d’autres merveilles, les estampes des peintres de l’ukiyo-e (Scènes du Monde flottant) aux expositions universelle de Londres (1862), et de Paris (1867, 1878 et 1889), ainsi que chez des collectionneurs privés comme Samuel Bing, et Félix Bracquemond. Désormais, l’inspiration venue de l’Orient imaginé ou rencontré se transforme en influence : en étudiant les estampes d’Utamaro, de Hokusai, de Hiroshige ou de Eisen, les peintres impressionnistes

talents, réinventant sans cesse les associations de l’image et du texte. Maurice Sendak Max et les maximonstres Delpire, 1967 BNF, Littérature et Art, 4-Y28826 (7) © Delpire Éditeur André Hellé Le Petit Elfe Ferme-l’œil A. Tolmer, 1924, D. R. BNF, Estampes et Photographie, TB-492-4 Livre-objet, ce coffret contient le livret écrit d’après un conte d’Andersen, décoré par Hellé, et la partition musicale de Florent Schmitt. L’histoire raconte en dix tableaux les rêves du petit Hialmar qui découvre – grâce

japonisme et les impressionnistes Le japonisme désigne l’influence de l’art japonais des estampes sur les peintres impressionnistes vers la fin du 19ème siècle. Après 1860, l’Extrême Orient, et en particulier le Japon, devient une source d’inspiration pour les peintres français et européens qui opèrent une révolution dans leur art. Désormais, l’inspiration venue du Japon se transforme en influence : en étudiant les estampes d’Utamaro, de Hokusai, de Hiroshige ... Les peintres impressionnistes trouvent des

parisiens.Tous étaient chaleureusement accueillis. Vincent van Gogh écrivit à son frère Théo: il y a chez Bing un grenier, là il y a un tas de dix mille crépons, paysages, figures, crépons anciens aussi. Bing organisa la fameuse exposition sur les estampes japonaises à l’École des Beaux-Arts de Paris en 1890. Il publia également la revue mensuelle, le Japon artistique que l'on trouve aujourd'hui regroupée en trois volumes. Il ouvrit en 1895 un magasin à l'enseigne emblématique: l'art nouveau

être promus, jusqu’au combat acharné du grand magasin contre les petites boutiques, symbole de « l’œuvre invincible de la vie, qui veut la mort pour continuelle semence» (Au Bonheur des dames, chapitre XIII). a Le Bon Marché, intérieur, 1879 BNF, Estampes, Va 270 j folio Un des modèles du Bonheur des dames. Au Bonheur des damesAu Bonheur des dames Je veux dans Au Bonheur des dames faire le poème de l’activité moderne. Donc, changement complet de philosophie : plus de pessimisme […]. En un mot, aller

l'art japonais sur les artistes occidentaux. Le japonisme commence grâce aux collectionneurs d'arts japonais, qui exposent les œuvres qu’ils possèdent. Les premiers exemplaires d'estampes en Europe sont montrés à Paris ainsi qu’à Londres. Ces estampes (gravées sur blocs de bois et imprimées sur feuilles de papier) représentent les sujets les plus divers : portraits de belles femmes, acteurs de Kabuki, lutteurs Sumo, mais aussi paysages, scènes de vie, scènes de guerre, animaux ou encore fleurs