Estampe

Japon. Le film peut être considéré sous un angle plus documentaire. Les images qui constituent les décors dessinent un univers cohérent et réaliste, installé dans le temps de la vie quotidienne. Il y a les paysages (que l’on pourra retrouver dans les estampes japonaises) marqués par l’eau, la pluie, la végétation et les cultures, avec les lucioles, les moustiques, le cri du crapaud-buffle et des oiseaux. Il y a aussi la ville, ses rues, ses maisons fermées de panneaux coulissants ou s’ouvrant sur des

sujet même du tableau ; il y a parfois des petits personnages dans une baie ou quelque chose comme ça, mais les humains représentés sont devenus de simples motifs [secondaires], il deviennent presque le fond). Il n’est pas rare, à la manière des estampes japonaises dont les maîtres de cet art pratique la loi des séries, de voir reproduit le même motif. Variations de la lumière qui s’inscrit dans la temporalité. Dans les 2 tableaux de Claude Monet, le motif principal (celui qui est au premier

aujourd’hui, sans doute à l’époque elles étaient véritables, porte une tour avec un soldat sur son dos. Ce groupe est aussi une inspiration d’une autre œuvre d’art de l’époque, cette image de victoire se retrouve sur des vases antiques romains et dans des estampes de la renaissance. La présence d’animaux mythiques, fantastiques et exotiques à cette époque était commune. A Bomarzo, les animaux aquatiques figurent dans la décoration des fontaines, ce genre de statuaire se retrouve à la partie la plus basse du

inaccessible. Nous grimpâmes un jour jusqu'à ce livre noir ; Je ne sais pas comment nous fîmes pour l'avoir, Mais je me souviens bien que c'était une Bible. Ce vieux livre sentait une odeur d'encensoir. Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir. Des estampes partout ! quel bonheur ! quel délire ! Nous l'ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux, Et, dès le premier mot, il nous parut si doux, Qu'oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire. Nous lûmes tous les trois ainsi tout le matin, Joseph, Ruth et Booz

caresse la surface du papier pour installer sa composition comme dans un halo lumineux. Les indications plus précises et marquées de la pointe de son outil n'arriveront, très parcimonieusement, que tout à la fin. Balthus, lithographie d'une estampe Blathus, « Katia Lisant », Caseine et tempera sut toile, 1968-1976 La couleur ne prend alors son rôle que quand il y en a une autre à côté, laissant une place inavouée à l'imprévisible, à une rencontre mystérieuse. Balthus œuvre avec une extrême

indiquant d’un index un passage important ou encore un rehaussement des lettres à l’encre jaune par l’enluminure. Cela donne une impression de luxe et ceci particulièrement à Paris, car à Lyon on était davantage tourné vers une ornementation mécanique (estampes avec le métal qui crée des creux sur les pages ou la xylographie qui forme au contraire des reliefs sur la page : complètement différent de Paris où l’enluminure reste faite à la main avec des encres de qualité). - On a une écriture gothique, manuscrite

mouvements. Le Japonisme: Le Japonisme est l'influence de l'art japonais sur les artistes, premièrement français, puis occidentaux. Ce mouvement commença alors que les collectionneurs d'art japonais exposèrent les œuvres qu'ils possédaient. Les estampes furent premièrement montrés à Paris. Ce fut Félix Bracquemond en 1856 qui copia en premier des œuvres japonaises. Il choisit une œuvre de Hokusai. A partir de là, l'Art Japonais commença à être apprécier. Des collectionneurs français, et des critiques

et madame Danglars s'élançant vers l'escalier, qu'elle franchit légèrement, arriva bientôt à la salle des PasPerdus. • A. DUMAS, Le Compte de Monte-Cristo, Ch. 57, 1844. "Passage du Pont-Neuf allant à la rue de Seine", 44, rue Mazarine. BNF, Estampes et Photographie. Le passge du Pont Neuf, construit en 1823, fut détruit en 1912. Dès le début du livre, Zola décrit le passage du Pont-Neuf comme un endroit sinistre, présage de mort. Directement, on peut supposer a juste titre qu'un meutre aura

France : Japon : Cet engouement occidental donne naissance dès les années 1860 à un mouvement esthétique  « japonisme ». Les Manet, Monet et d’autres Degas sont séduits par la précision du trait et la subtilité de l’organisation spatiale des fameuses estampes japonaises ; les poètes se pâment devant la profondeur et la délicatesse des haïkus tandis que les compositeurs comme Debussy sont sensibles aux harmonies fluides de l’art musicale japonais. Inversement, Paris attire et influence maints artistes

de « privilège » ? En 1811, la naissance du roi de Rome donne enfin à la notion d'hérédité tout son sens. Napoléon peut parler de IVe dynastie. Jusqu'alors, la propagande avait surtout exalté le sauveur, l'homme providentiel, à travers tableaux, estampes, médailles, journaux et bulletins de la Grande Armée. Désormais, le glissement s'opère vers une famille. Une enquête est lancée sur la question de savoir si « l'histoire glorieuse de la IVème dynastie » est bien enseignée dans les lycées. Après les