Esthétique Du Discontinu

Bordeaux une exposition au titre pour le moins interpellant: «Comme jamais !». Rassemblant environ 80 œuvres de différentes époques et de médiums variés (peintures, dessins, sculptures), elle propose en effet de présenter au public des «surprises esthétiques», en présentant les œuvres «comme jamais». Née d'une volonté de permettre au public de profiter des collections permanentes pendant la période de rénovation et de fermeture du musée (du 1er octobre 2011 au printemps 2012), cette exposition invite

assonances & sens : « paissant lentement s’empoisonnent »  musicalité, continuité  Mélancolie… - Juxtaposition d’éléments : // esthétique cubiste « Hoquetons », « harmonica » = enfance « Yeux », « paupières » = lyrisme traditionnel  Aspect disparate (// Marie Laurencin = peintre)  Histoire d’apparence simple, prosaïque, mais qui introduit en réalité une vision de l’amour pessimiste

la technologie. D'abord dans l'électro-mécanique, puis par l'informatique musicale. abus de langage que de parler des Nouvelles Technologies Musicales; on peut cependant parler des Dernières Technologies Musicales Pourquoi y a-t-il eu des crises esthétiques musicale et quel est le lien de la technologie avec ça. Cette dernière n'est pas apparue d'elle-même, elle répond à des besoins qu'ont éprouvé les compositeurs (aide à la composition, remise en cause du système tonal, etc.) ********************

s'apparente, ce passage met en évidence une nouvelle conception du roman. Diderot y formule les principes d'un réalisme paradoxal qui renouvelle les rapports du lecteur et de l'écrivain et les conditions de l'illusion romanesque. 1. Un récit discontinu La discontinuité du passage est créée par : 1.1. Les interruptions incessantes du Romancier Par quatre fois, ses discours viennent interrompre le récit ou les interventions des personnages. La trame de l'histoire est émiettée, la tension romanesque

la forme du discours, défini ainsi par Descartes (1637) : « Je ne mets pas Traité de la méthode mais Discours de la méthode, pour montrer que je n’ai pas dessein de l’enseigner, mais seulement d’en parler. » • Elle peut prendre une forme plus discontinue, ce sont les Pensées de Pascal. Les sermons de Bossuet, Sermon sur la mort, Sermon sur l’ambition, rappellent à l’homme sa petitesse face à la grandeur de Dieu. • Le XVIIe siècle est aussi l’époque des grands moralistes. Ils traitent de l’homme

L’effervescence du départ (« Le 15 septembre » à « sans discontinuer ») «  Le 15 septembre 1840, vers six heures du matin,  la Ville-de-Montereau, près de partir, fumait à gros tourbillons devant le quai Saint-Bernard » - Point de vue adopté égal à celui d’un roman de Balzac, point de vue omniscient : indications précises de date et de lieu. - Le temps est doublement précisé : jour et heure. - Pour les lecteurs des années 1869, l’histoire que rapporte le roman est récente => normes du réalisme

l’enfance - « filles de leurs filles » : temps qui passe - Parallèle entre assonances & sens : « paissant lentement s’empoisonnent » musicalité, Mélancolie… - Juxtaposition d’éléments : // esthétique cubiste « Hoquetons », « harmonica » = enfance « Yeux », « paupières » = lyrisme traditionnel ð Aspect disparate (// Marie Laurencin = peintre) è Histoire d’apparence simple, prosaïque, mais qui introduit en réalité une vision de l’amour pessimiste

rentre à Paris, Apollinaire se lie aux milieux artistiques : il est ami de Picasso et a une liaison avec le peintre Marie Laurencin. C'est en 1913 qu'Apollinaire connaît le succès avec Alcools. La même année, Les Peintres cubistes, méditations esthétiques, un manifeste de défense de la peinture contemporaine est publié. En novembre 1914, Apollinaire s'engage dans la Grande Guerre. Blessé, il meurt en 1918, après avoir publié ses Calligrammes, emporté par une grippe infectieuse. Presentation

physiques |Visage et corps, gestes et attitude, vêtements | |Psychologie |caractère, habitude et manies, langage, ambitions, valeurs morales et esthétiques | |Histoire personnelle |Généalogie, biographie | |Fonction sociale |Milieu d’origine

n’est ici que le retour de Frédéric dans sa ville natale, Nogent-sur-Seine. Portrait d’un jeune homme romantique, cette page est aussi teintée par l’ironie du narrateur. Analyse linéaire L’effervescence du départ (« Le 15 septembre » à « sans discontinuer ») « Le 15 septembre 1840, vers six heures du matin, la Ville-de-Montereau, près de partir, fumait à gros tourbillons devant le quai Saint-Bernard » - Point de vue adopté égal à celui d’un roman de Balzac, point de vue omniscient : indications