Étang

rectiligne de la Gironde à l'Adour, le vent édifie des dunes vives, que l'homme est parvenu à fixer depuis le xviiie s. ; ces dunes isolent des étangs dont les eaux s'écoulent vers le bassin d'Arcachon au nord et vers l'Océan par des courants ou boucaus, au sud. Les Landes sont bordées par un bourrelet de hautes dunes, drapées de pins, qui dominent vers l'est des étangs, tels ceux de Hourtin et de Lacanau. Le Bordelais est peu élevé : au nord de la Dordogne et sur la rive droite de la Gironde, les bas plateaux

évoquée du début jusqu’à la fin, « étangs », « champs », « alouettes », … De plus la forme, versification, est commune aux autres poèmes. Enfin comme le poème précédent et les poèmes suivant le genre poétique de ce poème est lyrique. L’intérêt de ce poème est qu’il coïncide parfaitement avec la problématique, en effet ce poème est connu pour avoir permis à Charles Baudelaire de s’évader. Élévation, Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes

mangea puis grandit, grandit. Ce n’était plus un labrador à l’air sympathique mais une créature dévorant tout sur son passage (mieux valait l’éviter !!!!) Malgré sa grande taille et sa grosseur, il sautait avec légèreté et finit par arriver devant un étang. Son flaire très développé le conduisit vers une odeur familière. Tout un groupe de grenouille pondaient leurs œufs. Il se joignit à elles et fit de même. Une nouvelle espèce animale était née, celle du ligrerat.

des phrase de Narcisse jusqu’à la mort de ce dernier. Une des victime du dédain et de l'indifférence de narcisse se plaint a la déesse de la vengeance. Le verdict est prononcé. Au cours d'une chasse, la déesse pousse Narcisse a boire au bord d'un étang. Narcisse alors tombe amoureux du reflet de son visage que lui renvoie l'eau , il est incapable de se détacher de se reflet . Narcisse oublie de boire et de manger et prend racine au bord de l’étang et se transforme peu a peu en le fleur qui porte

pour leur chauffage : le prélèvement était modeste et les « entailles » se recomblaient très vite. L’invention du grand louchet en 1786 à Thézy Gimont permit d’ « industrialiser » la production en creusant plus profondément. C’est à l’origine des étangs actuels qui font le bonheur des pêcheurs et des promeneurs.

bien éduqué Marche les pattes écartées Comme fait papa Comme fait maman Mais ne marche pas les pattes en dedans Remuant sa petite queue Mettez vous à la queue leu leu. Un poisson au fond d’un étang Un poisson au fond d’un etang Qui faisait des bulles (bis) Un poisson au fond d’un étang, Qui faisait des bulles pour passer le temps Bip bip bipbilibilibip bip (bis) Un oiseau vint près de l’étang Regarder les bulles (bis) Un oiseau vint près de l’étang Regarder les bulles que c’est

d’été. Mais, il était parti sans manger et il commençait à avoir très faim, donc, il tenta de manger quelques pissenlits qu’il trouvait çà et là sur son chemin. Mais le goût amer des fleurs fit grincer les dents de son estomac. Soudain, il vit un étang dans lequel se baignait un homme. Richard, intrigué s’avança et s’aperçu qu’il s’agissait d’un curé. Sa soutane reposait près de l’arbre. Il poursuivit son chemin quand il croisa une petite maison dont la fumée qui sortit de la cheminée indiquait

entre 1668 et 1670 et représentait un épisode extrait des « Métamorphoses » d'Ovide. En effet, Latone, ses enfants, Apollon et Diane étaient tourmentés par des jets de boue lancés pas des paysans Lyciens qui refusaient de leur permettre de boir à leur étang. Ils firent appel à Zeus qui vint à leur aide en transformant les Lyciens en grenouilles. On choisit cet épisode mythologique en raison de la révolution de la Fronde qui s'est produite pendant la minorité de Louis XIV. Bassin d'Apollon :

Impression, soleil levant | | 1875 | Femme à l'ombrelle | | 1877 | Gare Saint-Lazare | | 1880 | Bouquet de soleils | | 1887 | La barque à Giverny | | 1891 | Les meules | | 1894 | Cathédrale de Rouen, harmonies bleu et or | | 1899 | Etang aux nymphéas, harmonie verte | | 1917 | Autoportrait | |

voix De lourds nuages menaçants, ouatinés de gris, enserrent une moiteur immobile. La touffeur suspend le temps, les mouvements, la vie. L’orage, espéré à force d’être attendu, n’en finit pas de s’éveiller. Elle quitte les abords du minuscule étang limoneux. La place du village est presque déserte en cette fin d’après midi d’automne. Le château de Talleyrand projette son ombre menaçante, assombrissant davantage l’atmosphère ambiante. Elle longe la Rue Principale. En face de la Mairie