Étang

ainsi que dans la mélancolie symbolisant la mort. Emile Verhaeren nous présente le paysage à la manière des peintres flamands. Il nous expose un tableau très sinistre avec beaucoup de tristesse qui se ressent dans de sombre couleur : ‘’ un pâle étang ‘’ , ‘’ glisse une lueur ‘’ .Il ajoute a cela un décor sinistre ‘’ horizon mort ‘’ , ‘’ nature éteinte ‘’ . Ce poème se passe un soir d’hiver tout est gris . Il ne parle pas de lumière mais de lueur , c’est d’ailleurs le seul élément positif très

dans ses bras contre sa poitrine, doucement et infiniment ». L'ambiguïté du miroir verdâtre et de l'étang est maintenue jusqu'à la fin. Au début du récit le personnage se voit avec une face de noyé, la teinte verdâtre nous fait penser à l'eau d'un étang puisque tout au long du récit Cela nous laisse croire qu'il n'y a pas de fin heureuse. Part conséquent, l'auteur désire qu'on s'interroge sur cette fin heureuse ou malheureuse. Par ailleurs, il utilise des verbes de mouvement et d'action qui nous

présentée dans une posture de solitaire. Dans chacun de ces cas, cette solitude vous semble-t-elle voulue ou subie ? Justifier. II. L'eau : Elle apparaît sous plusieurs formes – relever plusieurs passages où elle est mentionnée (pluie, gel, neige, étang, larmes ?). Analyser, pour chacun des cas, l’aspect symbolique de ces différentes formes. III. TOILE DE FOND HISTORIQUE : Quels éléments historiques apparaissent dans le roman ? CITATIONS : Relevez 10 citations courtes qui vous ont marqué.

printemps Avril met aux buissons leur robe de printemps Et brode aux boutons d’or de fines collerettes, La mouche d’eau sous l’oeil paisible des rainettes, Patine en zig-zag fous aux moires1 des étangs. Narguant d’un air frileux le souffle des autans2 Le liseron s’enroule étoilé de clochettes Aux volets peints en vert des blanches maisonnettes, L’air caresse chargé de parfums excitants

I. Pêche en mer : 1. Ressources exploitées : La pêche est l'activité consistant à capturer des animaux aquatiques (poissons, mais aussi crustacés, céphalopodes...) dans leur milieu naturel (océans, mers, cours d'eau, étangs, lacs, mares). La disponibilité alimentaire est un facteur critique qui détermine la répartition et l'abondance des populations marines. Même si les interactions entre les stocks de poissons et le reste de l'écosystème marin restent encore mal connues par la communauté scientifique

blessures, ne remarqua pas que les roses prenaient leur élan pour le frapper avec toutes les ronces qu’elles pouvaient amasser. Atteint en plein fouet par le coup violent, le nénuphar fut projeté dans le ciel et atterrit misérablement près d’un petit étang. Meurtri physiquement et mentalement, le pauvre nénuphar désespéré laissa ses larmes couler librement le long de son corps. Quand soudain, il sentit de fines gouttelettes caresser son dos et ses mains endolories, il se retourna et découvrit trois jolis

de grande quantité de poissons (10 millions de tonnes de carpes, 1.5 million de tonnes de Tilapia) sans utiliser de grandes quantités de farines de poissons. Ces élevages sont souvent intégrés à des systèmes d'élevage de volailles où de porcs, les étangs sont enrichis avec les effluents des élevages (qui peuvent aussi bien être très modernes et très intensifs que familiaux). L’aquaculture peut cependant contribuer à l'eutrophisation et une anoxie locale des eaux, voire à une prolifération de planctons

fallait peu de chose à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait ! Le clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats

comme reflet de l’âme A) La nature, une force puissante 1° Champ lexical de la nature a) «les  vents » (l.4), « les eaux » (l.4), « un désert » (l.5), etc. → La nature est omniprésente. 2° Personnification de la nature a) « un étang désert où le jonc flétri murmurait » (l.14) et « Levez-vous vite, orages désirés » (l.20) → La nature est une force incontrôlable. C.A : René associe la nature à une force qu’il ne peut pas contrôler et qui l’entoure en tout temps.

fontaines, et n'ont pas de queue de poisson. Durant l'été, elles aiment se tenir assises sur la margelle des fontaines, et se peigner leurs longs cheveux avec des peignes d'or ou d'ivoire. Elles aiment également se baigner dans les cascades, les étangs, et les rivières, à la faveur des jours radieux d'été. On dit que celles qui ont les cheveux couleur d'or possèdent de grands trésors qu'elles gardent dans leurs beaux palais immergés. On attribue l'alimentation en eau des fontaines aux larmes des