Etat Doit Il Etre Sans Pitié

chez l’homme ne peut être éradiqué parce que son siège est biologique elle est consubstantielle a la vie psychique elle a sa racine dans un instinct primitif et tous ce que l’homme peut faire c’est de tenter de la maîtrisé de l’extérieur . Thomas Hobbes : l’être humain est naturellement violent, car il est prêt à tout pour survivre, se protéger et augmenter sa fierté.  « L’homme est un loup pour l’homme », selon la fameuse formule qu’on attribue à ce philosophe.  L’État doit donc protéger l’être

vérités ainsi que les raisons qui poussent les choses à être comme elles sont actuellement. Pour être en mesure de poser une théorie afin d’expliquer la société moderne, l’état civil, la considération de l’état de nature se voit être primordiale, en définissant ‘’État de nature’’ comme étant la situation dans laquelle l'humanité se serait trouvée avant l'émergence de la société à laquelle le développement de celle-ci met globalement fin*0. Cet état de nature, fortement hypothétique, a été considéré par

d’une personne en qui se réalise pleinement la nature humaine. Je suis donc empreint d’humanité si je peux incarner les valeurs de la nature humaine telles que la bonté, la charité, la compassion, la bienveillance ou encore l’indulgence. « L’idée » doit s’entendre ici au sens platonicien du terme. Platon fait la distinction entre le monde intelligible (le monde des idées dans lequel l’homme n’est pas aveugle à la Vérité qui l’entoure) et le monde sensible (le monde que nous connaissons sur Terre et

Sujet : Aristote dit que la tragédie doit inspirer la terreur et la pitié. Dites dans quelle mesure cette règle est respectée dans la pièce de Phèdre. Racine, pour composer ses œuvres, s'est inspiré de la principale source des règles de la tragédie classique qu'est la Poétique d'Aristote. En effet, ce dernier y décrit entre autres les émotions que doit susciter un spectacle tragique afin de parvenir à la catharsis, ces émotions étant la terreur et la pitié, et y produit la définition du personnage

ce poème, le poète nous fait part de son chagrin, pour ensuite s’attarder sur les éléments qui s’opposent. Dans son poème, le poète nous fait d’abord part de son chagrin. Ici, on analysera le lyrisme du poète, puis l’on se penchera sur son état sentimental, et, enfin, on examinera le dédoublement introspectif qui se fait en la personne du poète. Ce poème frappe d’abord par me lyrisme qu’exprime le poète. En effet, dans ce texte, on peut clairement parler de lyrisme élégiaque

faible dévoilerait un acte d’égoïsme et d’individualisme. Mais alors qu’est ce qu’un faible ? Le faible représente toute personne qui manque de force et qui a besoin de protection cela peut aussi être un individu manquant de puissance, de ressources comme un ennemi trop faible pour tenir tête ou un état faible. Donc suis-je plus ou moins fort qu’autrui ? Dans la nature, il existe une loi qui régit le règne animal, la loi du plus fort. Il sera alors question de voir que défendre le faible bénéficie

les équilibres. Une dernière étape nous fera réfléchir au rapport de séduction existant entre le personnage tragique et l’auditeur/lecteur qui serait en partie conditionné par cet état « d’éclat ». Si l’on considère l’idée d’Aristote que le « héros tragique doit inspirer terreur et pitié » et « qu’ils sont des hommes meilleurs que nous », alors on comprend que ceux-ci soient hissés au rang de personnages de référence, exemplaires. Doté de qualités exceptionnelles

fardeau de plus. Par la suite, Euphrosine adopte une autre stratégie pour repousser Arlequin. Elle fait appel à sa pitié « Je ne suis digne que de pitié » on tombe dans le registre élégiaque qui est accompagné par le registre pathétique. On retrouve le champ lexical du désespoir : « pitié » ; « malheur » ; « compassion » ; « désespoir » ; « souffre » ; « misérable », Euphrosine demande la pitié d’Arlequin pour le rejeter, elle implore sa clémence.

les choix qu'il doit prendre. Les seuls biens qu’il connaisse dans l’univers sont la nourriture, une femelle et le repos ; les seuls maux qu’il craigne sont la douleur et la faim. Enfin Rousseau s’appuie sur la pitié. La pitié, écrit Rousseau, «nous inspire une répugnance naturelle à voir périr ou souffrir tout être sensible et principalement nos semblables ».Aujourd’hui cette thèse se manifeste durant l’enfance, car l’enfant est pure jusqu’à ce qu’il se socialise. Pour la pitié, il y à plusieurs

conflit. Dans la première phase, essentiellement négative et régressive, il s’agit de dépouiller la notion que nous avons de la nature humaine (entreprise de dénaturalisation). Elle démontre que les inégalités, la conflictualité, la servitude ne peuvent être imputées à la constitution naturelle. Dans la seconde phase, il s’agit de repérer les ruptures successives qui rendent compte des changements irréversibles ayant affecté sa constitution. Elle montre comment les inégalités sont nées dans l’état de société