Etat Gendarme état Providence

l’individu) et le droit administrative (nous dit comment on le crée, qu’est ce qu’on met dans ces lois ex : mission etc.) tout organisme quel qui soit doit prend naissance dans le droit publique et administratif. Toutes les décisions prise par L’état providence (ensemble de fonction de l’état) sont faite dans le but de sauvegarder l’intérêt collectif (ou le bien commun) de façon directe ou indirecte. Le second sens est appelé technique : Planification, organisation, contrôle de l’administration publique

origines de l’Etat A- L’Etat pendant l’antiquité On va s’intéresser à PLATON auteur de l’ouvrage « République », il présente l’idéal de l’Etat qui est fondé sur la justice, l’Etat a un but, celui du bonheur des individus. La cité est une sorte de petit Etat, c’est le lieu où l’on vit et c’est aussi un lieu d’épanouissement, les grecques considèrent que l’Etat est souverain, c’est le pouvoir suprême ; La souveraineté est fondé sur l’autarcie (=indépendance économique), capacité de s’organiser soi-même

société Chinoise. Dans un troisième temps, il vous seras synthétisé un documentaire regardé sur le sujet. Cela seras suivi de la description de cinq concepts de sociologie rattaché au sujet de rechercher, soit: globalisation, mondialisation, l'État providence, pauvreté absolue et productivisme. Et pour finir, le cadre d'analyse du fonctionnalisme seras appliquer à la problématique de la pollution en Chine. Développement -1 (Description du thème de recherche) Cette dite industrialisation

qui se fait la gloire d’être « la cité des égaux ». Etre citoyen peut revêtir plusieurs formes d’insertion au niveau de la vie politique de la cité, ce n’est pas nécessairement dans une démocratie. Le concept de citoyen s’est développé à Rome, dit état mixte politiquement (n’est pas une démocratie), laquelle étendra ce concept. Dans les cités grecques, la citoyenneté n’est réservée qu’à certains, tandis que Rome l’étend complètement en 212 ap JC, par l’édit Caracalla, à tous les sujets qui vivent

permet à l’Etat de se doter de droits supplémentaires, car il existe nécessairement plus longtemps que ses dirigeants. Cela lui permet de prendre en charge les intérêts d’un groupe humain, en assurant ainsi sa pérennité ; dans le cas évidemment d’un Etat de droit, ce qui sous-entend son acceptation des droits fondamentaux. Naturellement, cette conception de l’Etat a soulevé de nombreuses critiques. En effet, pour beaucoup, ce dernier n’a un sens que dans la mesure où il doit permettre à l’homme d’accéder

conscient de son rôle central dans tous les domaines du droit, ne l'a jamais défini. L'homme de la rue peut à juste titre voir dans l'ordre public une notion teintée d'autoritarisme : assurer l'ordre, telle est la mission de l'Etat policier, de l'Etat-gendarme. Et qu'est-ce que l'ordre public sinon la paix civile ou encore, comme en droit administratif, la tranquillité, la sécurité, et la salubrité publique ? A y regarder de plus près, l'ordre public n'est pas une notion négative et autoritaire : il est

administrations (la justice ; la dépense nationale...), le rôle de l’Etat se limitait à ce qu’on pourra appeler l’Etat gendarme. Avec l’évolution des sociétés, les fonctions de l’Etat se sont diversifiées ainsi l’Etat est devenu producteur des biens et services ; banquier ; assureur ; industriel... On est ainsi passé d’une conception d’un Etat gendarme à celle de l’Etat providence. Le terme de la puissance est relativement difficile à comprendre, il recourt des réalités juridiques différentes mais

majorité qualifiée l’opposition du Bundesrat, alors que le bicaméralisme est égalitaire pour l’adoption des « lois fédératives » (à savoir celles qui touchent plus ou moins directement aux intérêts des Länder). Des arguments spécifiques à chaque Etat justifient le monocaméralisme ; ainsi, dans certains pays de l’Union européenne, la Chambre unique résulte de traditions locales ou d’une superficie géographique restreinte (exemple des démocraties nordiques : Suède, Danemark, enfin la Norvège et la

convertible dans les deux autres. L’usage de la monnaie se développe avec l’Empire Romain mais se réduit considérablement après sa chute en 476 après JC. Pendant le Moyen-Age, les monnaies sont définies à la fois par rapport à l'or et l'argent : chaque État, en fonction de ses disponibilités métalliques, utilise préférentiellement l'un ou l'autre métal, et se sert de l'autre comme appoint. Alors que la monnaie métallique représente déjà une certaine quantité de biens qu’on ne pourrait pas manipuler

l’idée d’être une nation va-t-elle changer le pouvoir politique pour en faire un Etat ? Sous chapitre 1 - La transformation du pouvoir politique par l’idée de nation Historiquement, il nous faut regarder comment une société politique devient une société nationale étatisée. Ce phénomène d’étatisation va se faire dans l’optique d’une unité, car la nation est une. Dans un schéma normal : une nation correspond à un Etat. Comment l’unité nationale abouti à une unité juridique et des composantes de