Etat Providence Selon Keynes

apparues au fur et a mesure du développement des sociétés : «  le phénomène de l’épargne ». Pour les comprendre, expliquer les économistes se rassemblent dans des écoles de pensées. Ils observent les faits et analysent, élaborent les théories selon leur idéologie. Cela donne naissance aux courants de pensée d’où «  le développement de la science économique ». Section 1 : Ecoles des physiocrates (1756-1777) $1. Les apports de François Quesnay A. le droit naturel B. La loi naturelle

politique budgétaire d’un État n’est jamais neutre : son versant fiscal, notamment, peut être défini comme un levier de consommation (une imposition moindre permet une augmentation des revenus, qui à leur tour favorisent la consommation) ou comme un soutien aux dépenses publiques (une imposition plus importante permet d’allouer plus de crédits à la santé, l’éducation, etc.). En ce sens, la politique budgétaire reflète également l’orientation politique d’un gouvernement, selon qu’il privilégie ou non

1945-1973 : Trente Glorieuses - depuis 1973 : croissance dépressive Les personnages sur lesquels il faut être capable d’écrire un cours paragraphe : (biographies en fin de manuel) - J. M. Keynes Les mots de vocabulaire qu’il faut savoir définir : - croissance économique - fordisme - Etat-Providence - Mondialisation - Société de consommation / société de communication - Pop-art / contre-culture - Crise économique / dépression - Société post-industrielle - néolibéralisme La

nations ». 2 -- Malthus. Malthus est bien connu pour son « Essai sur le principe de population » et la théorie de la population de Malthus est célèbre. Pour Malthus, la population s'accroît selon une progression géométrique (1.2.4.8.16.32 etc.) tandis que les ressources alimentaires augmentent selon une progression arithmétique (1.2.3.4.5.6.etc.). 3 -- David Ricardo. Trente ans après Adam Smith, David Ricardo écrit « Principes de l'Economie Politique et de l'impôt ». L'analyse de Ricardo

récente nuance ce rapport en démentant désormais cette corrélation absolue. En effet, depuis le milieu des années 1980, on assiste à un renouveau des inégalités dans les pays développés. Ce constat interroge et remet en cause de nombreuses thèses selon lesquelles la mondialisation permettrait un développement économique et serait profitable à l’égalité. La mondialisation se définit comme un processus d’ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaire. Ce phénomène

être appréhendé à l’aide de 3 notions (instruments d’analyse) : 1ère notion: la notion de système économique 2ème notion: la notion de type d’organisation économique 3ème notion: la notion de mode de production I- La notion de système économique : Selon François Perroux qui est un économiste français de la 2ème moitié du XXe siècle qui va reprendre l’analyse d’un économiste allemand de la 2ème moitié du XIXe siècle qui s’appelle Werner Sombart, un système économique comprend 3 éléments : o Le 1er

compréhension. Par la suite, on entrera dans le corps du texte, où chacune des sources de l’hégémonie américaine seront une à la suite de l’autre définie et analysé indépendamment de l’ensemble. Les piliers de la puissance hégémonique des États-Unis selon lesquels mon travail sera basé sont les suivantes. Il y aura tout d’abord l’organisation du travail communément appelé de fordisme. Le second pilier est un accord économique ayant eu lieu en 1944 soit accord de Bretton Woods. Le troisième et non le

société de communication. La mutation, le passage de l’une à l’autre se traduisant par des crises et surtout par une redistribution des espaces et des puissances ainsi que par des modification profondes des modes de vie avec bien sûr des différence selon le degré d’intégration des populations à la nouvelle société. Nous étudierons donc la période des » 30 Glorieuses », apogée de l’ancien système, puis le tournant du milieu des années 70 marqué par des crises et des mutations et enfin nous caractériserons

d'utilisation mises à jour entreront en vigueur le 25 mai 2012. Apprenez-en davantage. État Aller à : Navigation, rechercher Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir État (homonymie). L’État1 est un mécanisme qui permet une organisation politique et juridique sur un territoire délimité, soit en tant que communauté rassemblant les citoyens ou les sujets, soit en tant que pays. Selon la première édition du dictionnaire de l’Académie française de 1696 2 l’État peut renvoyer

appelle l'État en tant que « gouvernement d’un peuple vivant sous la domination d’un prince ou en république », ou bien le pays lui-même, c'est-à-dire l'État entendu « pour le pays même qui est sous une telle domination ». En droit international, un État souverain est vu comme délimité par des frontières territoriales établies, à l'intérieur desquelles ses lois s'appliquent à une population permanente, et comme constitué d’institutions par lesquelles il exerce une autorité et un pouvoir effectif