Etat Providence Selon Keynes

(dans les ports, ou des biens spatialement déterminé). Pendant longtemps, les budgets publics sont restés très restreints, n’assurant que les frais engendrés par la guerre, la justice, l'administration générale (Cour, diplomatie,…). Ainsi, certains Etat ont pu ne pas avoir vraiment recours à la fiscalité, bénéficiant des « ressources du domaine ». - forme normative ou réglementaire ou qualitative = normes juridiques s'imposant aux agents (législation). A la différence de la présence budgétaire

Thème : La croissance I – Le concept de croissance Quoi ? Selon la définition bien connue de François Perroux, la croissance économique correspond à « l'augmentation soutenue pendant une ou plusieurs longues périodes d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en termes réels ». La croissance économique est donc définie comme l’accroissement durable de la production globale d’une économie. C’est donc un phénomène quantitatif que l’on peut mesurer à travers l’augmentation

Autrement dit la valeur d’un bien n’a rien a voir avec la quantité de travail incorporé dans ce bien. Ex : le vin de porto, prend de la valeur avec le temps sans que l’on y incorpore plus de temps de travail. Marx est qualifié de classique par Keynes, car il adhère à la valeur "travail". Marx introduit une distinction entre le travail humain et la force de travail. Pour un chasseur de castor, s’il met 10 heures de travail pour tuer une bête, le prix de celle-ci sera d’un équivalent monétaire de

production. La signification du travail varie selon le système de valeurs. Par ex : le travail était considéré comme une souffrance mais aussi comme un enrichissement. Le travail est un élément essentiel dans la vie de l’homme d’où les études faites par l’ergonome. Il est indissociable de l’homme. Chaque civilisation a sa vision du monde donc les conceptions qu’on a de la vie de la société interfère et sur l’idée qu’on peut en avoir. Il varie aussi selon le cadre législatif. La diversité des conceptions

France le bon élève de l′Union européenne. Tout a changé avec l′élection de Nicolas Sarkozy qui, dans la droite ligne d′un Reagan voyant dans la réduction forte des prélèvements le moyen infaillible de relancer la croissance, réduisait les impôts d′Etat de plus d′un point de PIB, les ramenant de 14,6 % du PIB en 2006 à 13,3 % du PIB en 2008. Grâce à quoi, à nouveau, la fameuse barre des 3 % était franchie, le déficit public atteignant 3,4 % du PIB… Et c′était sans compter sur la crise qui, non contente

plus ou moins acceptées. Pourquoi ? Parce qu’il faut bien répartir la richesse. Il faut donc trouver des critères. En attendant d’atteindre l’abondance (ou un autre principe d’organisation de la société), nos sociétés admettent certaines inégalités selon un principe de méritocratie. Et dans le même temps des systèmes de redistribution des revenus sont mis en place par l’Etat pour tenter d’atténuer les inégalités perçues comme un frein à la croissance. La mobilité sociale qui est un des moyens à disposition

: Les économistes socialistes Chapitre 8 : Les néo-classiques Troisième partie : La crise du capitalisme Chapitre 9 : De la Belle époque à la crise de 1929 Chapitre 10 : La pensée économique dans l’entre-deux guerres Quatrième partie : De l’Etat providence à la mondialisation Chapitre 11 : L’évolution économique depuis 1945 Chapitre 12 : Les théories macroéconomiques contemporaines Bibliographie 5 Première partie L’ère préindustrielle 6 Chapitre 1 Du néolithique à la révolution industrielle

graphique p.40 DIA POINT METHODE: analyse de graphique Q : unité utilisée ? def de croissance éco ? tendance générale ? distinction de ruptures ? différences entre Etats ? croissance = augm durable de la production, donc de richesse d'un Etat. se mesure par PIB, par PIB/hab et auj par RNB. >quelles sont phases de cette croissance dep 1850 ? 1) la lente croissance de 1850 à 1945 cf graphique : une partie du monde ne connait pas croissance, qq pays seult concernés et augm plus lente que

le FMI ont acquis à ces deux occasions une nouvelle légitimité, avec le résultat que ce qui pouvait apparaître alors comme une nécessité, soit mieux coordonner la ligne de conduite des États et des institutions, est venu dans la pratique créer un état de fait, à savoir que les questions de sécurité sont désormais découplées, voire largement occultées par les considérations économiques. Que l'OCDE, le FMI et la future OMC se trouvent maintenant placés en position de concurrence quant à la définition

peuple » (Livre 73.) « L’or est la mesure pour évaluer ou calculer le prix des marchandises. » (Ch. Tch’eng Ma.) « Un bon souverain contrôle la valeur des biens. » (Livre 75. Le pouvoir du gouvernement.) « L’économie d’un Etat est basée sur le grain mais la politique d’un Etat bien dirigé sera d’utiliser la monnaie comme moyen de contrôle » (Livre 76.) « Pour contrôler toute l’économie par la monnaie, la quantité de monnaie qui doit circuler doit être calculée en fonction de la quantité de terres