Etat Stationnaire Chez David Ricardo

diffèrent en cela des économistes classiques qui vont fonder le libéralisme. Si le rapport théorique n’est pas décisif, leur politique économique violemment condamnée depuis le courant libéral à fait recette et on reconnait certains termes mercantilistes chez Keynes. 1) Les Physiocrates : la richesse vient de la terre, liberté du commerce. Les auteurs Physiocrates sont : ⁃ François Quesnay (1694-1774) : Economiste français. Il fait publier un tableau économique où il y représente l’économie comme

colonialisme L’Irlande, première colonie anglaise Irlande. Émigration Déportation et génocide comme bases de la richesse bourgeoise : l’Irlande Plagiat intellectuel et parasitisme social Développement des forces productives comme principe fondamental de Ricardo dans son appréciation des phénomènes économiques. Défense par Malthus, des éléments les plus parasitaires au sein des classes dominantes. Réfutation pratique de la théorie malthusienne de la population par Darwin Deuxième partie CRITIQUE DE L’ÉCONOMIE

Pierre-Guillaume Méon Avec la collaboration de : Julien Ravet, Marie Montigny, Geoffrey Minne, Gwenael Tondreau, Thibaut Dort, HengSheng Quach Ont également contribué à ce syllabus : Oscar Bernal, Imane Chaara, Naïm Cordemans, Benoit Crutzen, Quentin David, Hafsatou Diallo, Alice Duhaut, Iason Foscolos, Renaud Foucart, Denis Herbaux, Gisèle Hittes, Alice Mc Cathie, Arnaud Lemaire, Elena Mattevi, Marie-Christine Moreels, Fulvio Mulatero, John Neve De Mevergnies, Sile O’Dorchai, Benjamin Rausch, Idesbald

..................................…. page 3 Livre II, chapitres 3 (extrait)…………………………………………………….. page 16 Livre IV, chapitres 2, 9 (extraits)………………………………………………... page 17 Livre V, chapitres 2, section iii (extrait)………………………………………… page 20 David Ricardo (1772-1823) Principes de l'économie politique et de l'impôt (1817) Chapitre I (La valeur), sections 1, 2, 3, 4………………………………………... page 21 Chapitre II (La rente).................................................................................

besoins des agents en monnaie, sans qu’il existe une couverture stricte des billets émis, par une quantité d’or détenue par la Banque Centrale. Thomas Tooke était le chef de file de cette école du XIXème siècle. Il était opposé à la currency school de Ricardo. Dans cette logique, la monnaie est endogène. C'est une vision plutôt keynésienne de la création de monnaie. Voir diviseur de crédit. Banque : organisme financier qui concentre les moyens de paiement, assure la distribution du crédit, le change

avantage absolu par rapport aux producteurs étrangers. Cela signifie-t-il que les pays n’ayant aucun avantage absolu sont exclus de l’échange international et doivent se résoudre à vivre en autarcie ? • La théorie des avantages comparatifs David Ricardo démontre, à l’aide d’un exemple, que les pays n’ayant aucun avantage absolu ont tout de même intérêt à pratiquer l’échange en se spécialisant dans la production du bien pour lequel leur désavantage est le moins important. INTRODUCTION - Chapitre

 courant  classique  trouve  ses  origines  dans  les  travaux  des  économistes  classiques  et  néoclassiques:   o  Adam  Smith  (1723  1790),     o Jean  Baptiste  Say  (1767  1832),     o David  Ricardo  (1772  1823)     Il   a   été   complété   par   les   travaux   des   économistes   néoclassiques   qui   ont   approfondi   et   prolongé   les   études   des   économistes  classiques,  notamment

Keynes dit qu’il n’y a rien eu de nouveau en économie depuis 100 ans dans son livre de 1936. Pour lui il n’y a rien eu de nouveau depuis les classiques (Ricardo, Smith, Say) alors qu’entre temps il y a eu Marx et les néoclassiques. Pour Keynes ils n’ont aucuns intérêts. Il va parler seulement des erreurs des classiques. Selon Keynes il y a 6 erreurs chez les néoclassiques : * L’emploi : les néoclassiques quand ils parlent d’emplois et de chômage sur la base du marché du travail. Pour Keynes le problème

SOLOW (1956) les capacités de production par tête augmentent tant que l’épargne par tête dépasse la dépréciation du capital par tête. Il en ressort que la capacité de production dépend positivement du taux d’épargne. Des auteurs comme Adam Smith, David Ricardo, et J. Stuart Mill pensent que l’épargne est la principale source de croissance et d’accumulation du capital. D. Romer (1986) et Lucas (1986) pensent qu’une augmentation du taux de l’épargne augmente pour toujours le taux de croissance de l’économie

profit s’accroît de manière modérée. La source de la croissance de l’accumulation chez Smith = maximisation de l’épargne (=terme actuel), l’économie. Smith pense qu’il fallait laisser les entrepreneurs chercher leur propre intérêt pour que l’intérêt collectif soit maximisé = main invisible, abstention de l’Etat. « Les intérêts des entrepreneurs sont parfois différents de l’intérêt du peuple ». David Ricardo Le concept de capital : ° le capital fixe = biens de production ° le capital