Ethique Des Vertus

du public ? À cette question, nous apportons une réponse reflétant les forces et les faiblesses des médias et relativisons leur rôle dans la protection de nos institutions démocratiques. En seconde analyse, nous verrons quelles sont les incidences éthiques du recours aux médias comme mécanisme de transparence des organisations publiques. Notre réflexion sera appuyée par de brèves illustrations et de multiples références. Elle se terminera par une conclusion démontrant l’importance d’élargir le

moins de retenue ; il ne doit pas même craindre d'encourir l'imputation de certains défauts sans lesquels il lui serait difficile de se maintenir ; car, à bien examiner les choses, on trouve que, commeil y a certaines qualités qui semblent être des vertus et qui feraient la ruine du prince, de même il en est d'autres qui paraissent être des vices, et dont peuvent résulter néanmoins sa conservation et son bien-être. Chapitre XVII De la cruauté et de la clémence, et s'il vaut mieux être aimé que craint

FICHE DE LECTURE Eloge du soin, une éthique au coeur de la vie. AUTEUR : Philippe SVANDRA Date de publication : Février 2009 Editeur : Seli Arslan dans la collection «Perspective soignante» Nombres de pages : 284 Genre : ESSAI N° ISBN : 9782842761493 Philippe SVANDRA, 53 ans, a occupé les fonctions d'infirmier puis de cadre de santé à l'hôpital Paul Brousse de Villejuif. Titulaire d'un DESS d'éthique médical, il a été formateur à l'institut de formation des cadres de santé au CH de

humaine par rapport à la société animale ? Dans le domaine scientifique lorsqu’il est question de différencier ce que la technique a produit de ce que la nature a fait naître ? Ou encore dans le domaine moral afin de distinguer ce qui est d’origine éthique de ce qui est lié à la nature ? Mais dans chacun de ces domaines, n’est-ce pas surtout une certaine contingence du naturel et de l’artificiel qui semble devoir être observée, laissant de fait le sens de la distinction entre le naturel et l’artificiel

moyens, en se passant de l'approbation d'autrui, de savoir conserver son autonomie intellectuelle jusqu'à ce que les idéologues qui se couvrent du manteau de la science se rendent compte que l'ère de la supercherie est révolue. La compétence devient la vertu suprême de l'Africain qui veut désaliéner son peuple ». Par cette nouvelle vision des choses, on a perdu nos repères et c’est par tâtonnements qu’on essaie de se retrouver sur le bon chemin de l’esprit patriotique. Jusqu’à la nourriture qui a fait

MATIÈRES TABLES DES MATIÈRES 3 INTRODUCTION 4 Comment reconnaître un problème éthique? 4 MISE EN SITUATION 4 DESCRIPTION DU CAS CHOISI 5 JUSTIFICATION DU CARACTÈRE ÉTHIQUE DU PROBLÈME 6 Formulation du dilemme et de l'enjeu 6 LE DILEMME 6 TABLEAU 1: LE DILEMME 6 L'ENJEU 7 TABLEAU 2: L’ENJEU 8 SOLUTION SPONTANÉE 9 Bibliographie 9 INTRODUCTION Comment reconnaître un problème éthique? Un problème éthique provient d'un malaise que l'on ressent devant une action, qui pour soi, provoque

vertueux. « la vie heureuse est la vie conforme à la vertu, et cette vie est sérieuse et appliquée ; elle ne se contente pas de vains amusements. » Aristote. La vertu est une conduite de soi-même qui vise à chaque instant le bien, le juste et l’utile. Et parmi les vertus qui conduisent à la sagesse, Aristote place l’amitié au premier plan. « L’amitié est en effet une certaine vertu […] Elle est ce qu’il y a de plus nécessaire pour vivre car

et lui donne une force obligatoire et une certaine opposabilité à tous les citoyens de la société dans laquelle il devra s’appliquer. Le droit est donc toujours et nécessairement lié à l’Etat dans une conception pure du droit [Hans Kelsen] en vertu de laquelle, il y a entre le droit et l’Etat, une sorte de consubstantialité, la coercition étant de ce point de vue l’essence même de l’Etat et du droit, même si à certains égards, on semble ici faire une analogie entre l’essence d’une chose et

devient alors parallèlement immoral et asocial en se faisant l’ennemi du contrat de confiance et d’honnêteté qui permet une relative stabilité de la société. 2). La vérité comme attribut de l’homme sincère et juste - Selon Comte-Sponville : la vertu qui consiste à dire la vérité quand on la connaît ( « la bonne foi », associée à une idée de sincérité (donc valide dès que l’on dit ce que l’on pense être vrai à tort ou à raison, c’est par conséquent l’intention qui rend notre action morale) - Dans

de l'entendement, le Traité politique et l'Abrégé de grammaire hébraïque). Philosophie [modifier] L'Éthique [modifier] La fin ultime de la philosophie, selon Spinoza, c'est la constitution d’une authentique éthique du bonheur et de la liberté. Décrite en particulier dans l' Éthique, mais aussi dans les autres œuvres, l'éthique spinoziste consiste d'abord à concilier déterminisme et liberté. Une telle proposition, va à l'encontre de la croyance au libre-arbitre, qui n'est que méconnaissance des