Etienne De La Boétie

politiques à noter ■ Des hommes engagés Le fl orentin Nicolas Machiavel dédie au duc de Médicis un traité politique : Le Prince (1513). On lui a souvent reproché son immoralité, mais cet essai est fondateur de la pensée politique moderne. Étienne de La Boétie, le fi dèle ami de Montaigne, s’intéresse aux raisons de la soumission des hommes dans le Discours de la servitude volontaire (1549) et propose un réquisitoire contre la tyrannie. ■ L’émergence d’une culture nationale Les situations politiques

marginal. Le pouvoir qui s’exerce par la persuasion : il cherche à obtenir l’adhésion à un principe, une idéologie et le pouvoir repose sur la séduction. I- Fondements du pouvoir A) L’Antiquité et la servitude volontaire, selon Etienne de la Boétie Cet auteur s’interroge sur les sociétés antiques et veut nous informer sur sa perception des formes de pouvoir dans la société dans laquelle il vit. Il écrit en 1548 « Discours sur la servitude volontaire » et critique de manière masquée le

revendiquer un "Droit des femmes". On peut voir sur le tableau représentant le salon de Madame Geoffrin quelques femmes (quatre en tout, ce qui n'est pas beaucoup, mais ce n'est pas rien) parmi les représentants des Lumières. Kant, comme Etienne de la Boétie, montre que la servitude n'est pas seulement subie par les hommes (au sens générique du terme), mais qu'elle est volontaire et qu'elle ne durerait pas si longtemps si les hommes n'y consentaient point. Après avoir comparé les hommes aux

un groupe de poètes dont fait parti Maurice Scève et Louis Labé cherchant à donner les nouvelles formes d’une poésie d’expression Française La Pléiade est un groupe de sept poètes Joachim du Bellay, Mans, Rémy, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. Les plus connus sont Pierre de Ronsard et Du Bellay. Jean Dorat prendra la place de Pelletier à sa mort en 1556. Le manifeste de la pléiade est Illustration et défense de la langue Française publié en 1549 par du Bellay. La pléiade désire

Ludovico Ariosto, dit l’ Aubigné, Agrippa d’ Belleau, Rémi Calvin, Jean Cauvin, dit Desportes, Philippe d’Orléans, Charles du Bellay, Joachim Érasme, Didier (en lat. Desideirus Erasmus) Garnier, Robert Ignace de Loyola Jodelle, Étienne Labé, Louise La Boétie le Maire, Jean Machiavel, Nicolas (en it. Niccolo Machiavelli) Marot, Clément Marot, Jean Montaigne, Michel Eyquem de Rabelais, François Ronsard, Pierre de Villon, François Musique Byrd, William de Morales, Cristobal des

violence en tant qu'elle est coercitive, c'est-à-dire en tant qu'elle contraint. L'envers du pouvoir, c'est le pur empire des forces mécaniques et sa nécessité. C'est donc toujours librement qu'on obéit et, comme nous le verrons, qu’on se soumet (La Boétie parle d’une servitude volontaire) : celui qui n'est pas libre n'obéit pas, il plie, se brise. Pour être possible, le pouvoir suppose toujours que celui que l’on fait agir puisse et surtout veuille, même très faiblement, faire ce qu’on veut qu’il fasse

la faculté de | |Montpellier | | | |1532 Médecin à Lyon – Traduction des médecins de l’Antiquité – | |Fréquente Etienne Dolet – Correspondance avec Erasme – Publication | |de Pantagruel | | | |1534-1535 Publication de Gargantua – Séjours à Rome

ETIENNE Quentin Management des unités commerciales [pic] [pic] [pic] Dossier PDUC Session 2010 Sommaire Partie I : Analyse commerciale de L’UC. A) Structure du groupe B) Présentation de l’unité commerciale C) L’étude de marché globale Partie II : Le diagnostic de L’unité commerciale. A) Diagnostic interne (forces et faiblesses) B) Diagnostic externe (opportunités et menaces) Bilan du diagnostic + Problématique Partie III : Préconisations

noblesse est exemptée d'impôts, mais ils ne se rendent pas compte que c'est une remise ne cause de leur pouvoir. Au début Charles VII va prélever 20000 livres par an, trois ans plus tard, sous Louis XVI, on prélèvera 80 millions de livres par an. Étienne de La Boetie a appelé l'impôt une servitude fiscal accepté. Progressivement l'idée va se généraliser, et être accepté car on sait que l'impôt permet de sécurisé l'état, on attend protection de l'état qui prélève l'impôt. L'impôt contre la sécurité et

aussi l’Etat moderne, ce qui est contradictoire puisqu’on arrive à une unification des normes de référence. Il y a un lien entre La Boétie et Clastres, d’ailleurs Clastres a commenté l’œuvre de La Boétie. Le Discours de la servitude volontaire est l’œuvre d’un jeune contestataire (certainement écrit en suite de la révolte de la Gabelle de 1548) Le texte de La Boétie fut, dès sa sortie une œuvre à la portée colossale. D’où le statut un peu étrange du texte, qui revient périodiquement dans la vie politique