Étiologie

Problème | Etiologie | Signe | Objectifs | Action | Résultat | Risque douleur | Opéré il y a 11 joursCicatrice de laparotomie + 2 orifice avec mèches sur flanc gauche et droit Ulcère jambe DEscarre talonsDébut d’escarre dorsal | Eviter la douleur | TTT antalgique : 2 dafalgan 500 mg M ;M ;S | Pas de douleur | Risque infectieux | Cicatrice de laparotomie à l’air libre2 plaie méchées | Cicatrice de laparotomie rouge, léger œdème, douloureuse | Eviter l’aggravation de l’infection | Nettoyage de

créatinine sanguine 15mg/l (alors que la norme est de 3 à 10mg/L pour les enfants) et une thrombopénie qui est une diminution du taux sanguin de plaquettes (la norme étant entre 800 000 et 1 000 000). Les risques réels ou potentiels sont : Problème Etiologie Signes Objectif Actions Résultats Syndrome hémolytique et urémique Non connue - Diarrhées sanglantes - hyperthermie à 39,5°C - Perte d’appétit - Augmentation de la créatinine - Anurie - Hypertension artérielle : 137/98 - Soulager l’enfant Rôle sur

autre. Quant au critère d’exclusion [Critère E], son principal défaut est d’éliminer d’emblée les schizophrénies secondaires. Qu’un tableau clinique qui satisfait à tous les critères diagnostiques d’une schizophrénie puisse être rapporté à une étiologie neurologique (ou médicale) suffit à faire renoncer au diagnostic de schizophrénie. Or il apparaît de plus en plus évident qu’avec l’amélioration actuelle des procédés d'investigation génétique et neurologique, un nombre toujours plus croissant de

aller alors jusqu'à mettre en question l'existence même de la religion, dans la perspective d'une étiologie de l'illusion? La raison n'est-elle pas capable de réinscrire la religion, comme phénomène, dans un ordre causal, et de dénoncer par là son origine purement humaine? N'est-ce pas même un devoir que de le faire pour dénoncer l'enfermement des hommes dans des croyances qui les aliènent? III/ Etiologie de l'illusion religieuse 1/ L'illusion religieuse Il s'agit de considérer la religion comme

organogénétique = Etiologie organique Le trouble est dû à une perturbation innée (prédisposition génétique) ou acquise (dérèglement chimique) du système nerveux (excès ou carence de certains neurotransmetteurs, de certaines hormones) Ex. Toc: Gènes + déficit d’inhibition ! Pour montrer que le dérèglement est la cause du trouble et non sa conséquence, il faut montrer que 22 réparer ce dérèglement réduit le trouble 11 2. L’approche psychologique ou psychogénétique = Etiologie psychogène Différentes

deux types de définition : soit il est associé à la conséquence sociale d’une déficience intellectuelle, soit le handicap mental est associé à un désavantage résultant d’une maladie mentale. 1. La déficience intellectuelle. A. Etiologies de la déficience intellectuelle. On peut distinguer trois ordres de facteurs pouvant provoquer une déficience intellectuelle : les facteurs organiques, les facteurs psychologiques, et les facteurs environnementaux. Ils interviennent majoritairement

de la déglutition. Coma profond (stade 3): Absence totale de conscience, troubles des fonctions végétatives. Coma dépassé (stade 4): Etat de mort cérébrale, les autres fonctions vitales ne sont maintenues que par des moyens artificiels. Etiologies Les différentes causes: Compétence Aides soignantes: Identifier les variations de l'état de conscience et prévenir l'IDE de vos observations et les noter. Etre attentif à la personne qui peut présenter une certaine anxiété face à ce qui

Pour cystite aigue E.coli et S. saprophyticus ≥ 105 UFC/ml Pour cystite aigue Autres germes ≥ 104 UFC/ml Pour pyélonéphrite, prostatite ≥ 104 UFC/ml Pour infection nosocomiale M. Archambaud , D. Clave, DCEM 1, 2008 4 ETIOLOGIE DES INFECTIONS URINAIRES (IU) IU communautaires Escherichia coli (80%) Proteus mirabilis Klebsiella – Enterobacter – Serratia Staphylococcus saprophyticus Staphylococcus aureus Enterococcus faecalis Bactéries rares IU nosocomiales *

du à une lésion cérébrale minimale (BDM), que l'on ne pouvait mettre en évidence avec les techniques disponibles. Cependant cette idée est critiquable sur la constitution des groupes cliniques. Des travaux récents (1999) renforcent l'idée d'une étiologie neurologie : chez le jeune hyperactif l'activité cérébrale du lobe frontal présenterait une activation atypique. Les chercheurs se centrent sur une pathologie cérébrale et une altération du système dopaminergique. Dopchié avance qu'il sagit d'un

à 37°C (souvent des IgG +/- complément, souvent anti-Rh). On retrouve plutôt des tableaux d’hémolyse chronique.    - AHAI à auto-anticorps froids : anticorps dont l’activité optimum est à des températures < 22°C (souvent des IgM)/p> II) Etiologies A) AHAI à auto-Ac chauds - idiopathique dans 50% des cas  - secondaire       - lupus érythémateux disséminé (20% des AHAI secondaires) : recherche un lupus devant toute AHAI (surtout si thrombopénie auto-immune associée : syndrome d’Evans)