Etre Conscient Est Ce être Libre

le processus de la censure. Selon Freud, il y a des actes conscients que nous ne pouvons pas vraiment expliquer en faisant appel seulement à la conscience. L’hypothèse de l’inconscient serait donc d’expliquer des choses inexpliquées comme la censure mais aussi expliquer mieux ce que l’on expliquait avant. Cette théorie a été constituée au 19ème siècle. Pour Sartre, la censure est un phénomène de la conscience puisque tout doit être explicable en faisant appel à la conscience. Nous pouvons

désigne un voyage où nous n'arrivons jamais à « bon port »: se perdre, désorienté, s'égarer en chemin. Dès lors, errer renvoie au vocabulaire de l'erreur. Et il semble en effet qu'en désirant, nous nous trompons régulièrement d'objet (comme si l'objet conscient de notre désir n'était qu'un leurre). Un premier problème se pose d'emblée, concernant la valeur (illusoire ou non) de l'objet du désir. Peut-on connaître l'objet de nos désirs ? Le désir sait-il ce qu'il cherche ? Et par là même, peut-il atteindre

son existence n’avait pas encore conscience de soi, il ne se considérait pas encore comme un individu, comme lui-même : Il n’était pas encore lui-même. Enfin, on ne peut jamais complètement devenir soi-même car l’expression de soi ne peut être entière et libre de toutes influences. Finalement, peut-il y avoir à affirmer que chacun devient soi-même ? Affirmer que chaque individu puisse devenir soi-même à partir d’un certain moment de son existence paraît tout à fait absurde. En effet, un individu

poser : qu'il est doté d'une identité : il est un JE qu'il est en situation de maitrise par rapport à lui-même ( cause de ses pensées et de ses actes) et par rapport au monde (connaissance théorique et domination technique) qu'il est donc LIBRE (doté d'autodétermination) Cette maitrise de soi et du monde lui sont conférés par la conscience et la raison (définir l'homme comme sujet c'est dire que son essence réside dans la conscience et dans la raison) Ainsi refuser cette définition

un outil à notre libre-arbitre, ou au contraire un empêchement ? Un corps peut-être toute substance matérielle que l'homme peut percevoir et qui existe en dehors de lui. Mais il désigne également le corps humain dont les propriétés physique font l'objet d'étude. Il peut de même être un espace occupé par la pensée de chacun. Il se peut que le corps soit un instrument pour la liberté, mais de quel liberté parle-t-on ? Que l’on accepte la conception de la liberté comme libre-arbitre que l’on trouve

se déroulant hors de la sphère consciente dans l'esprit d'un individu. Ensuite, une pulsion endogène est une pulsion qui prend naissance à l'intérieur du corps. Débutons maintenant l’analyse, la découverte de l’inconscient est à la source même du déterminisme, en effet Freud soutenait que derrière toutes nos pensées et toutes nos actions, c’est l’inconscient qui les contrôle. En analysant ce que Freud soutenait, on en vient à la conclusion que l’homme n’est pas libre, l’homme est programmé par son

LE SUJET Le sujet regroupe différente notion : - La conscient - L’inconscient - Le désir - L’autrui - La première personne est la manière particulière de parler à soi-même et de soi-même. Cette question est d’abord apparue sous forme de confession (journal intime) avec Augustin, Rousseau et tout les romantiques. (cf : cours sur la dialectique). - La réflexivité c’est la réflexion consciente, il y a deux aspects : * La construction de soi par sois c’est-à-dire

heure de gloire. Pourtant l’Homme étant capable de rêverie, on peut partir du principe qu’elle a une utilité, et peut-être même, des vertus. On considère alors que la rêverie est une chose à laquelle tout le monde peut accéder comme nous le fait remarquer Henri Michaux dans l'extrait Façons d'endormi, façons d'éveillé, il nous dit dans ce texte que la rêverie est une chose libre à laquelle tout le monde peut accéder et qui est un art pur, d'ailleurs nous le voyons dans la sculpture nommé Le Rêve

l’Homme est un être solitaire, de ce faite, il se place aux antipodes de la société et ainsi de toutes ses règles. Cet homme nous est décrit comme un être bien différent de la vision commune de l’homme civilisé, moderne, sociable. En effet l’auteur nous le montre comme l’évolution d’un animal plus intelligent mais également beaucoup plus cruel et indéniablement violent ( « l’homme sauvage, libre et vagabond » , « la rancune, la cruauté, le besoin de la persécution »). Pourtant l’Homme être originairement

respectant rien ni personne, comportement égoïste voire inhumain, considérer souvent comme inconscient et sans morale. Mais qu'est-ce que l'inconscient? La moralité peut-elle éviter certaines dérives , comme le crime? L'individu inconscient est-il conscient de ces actes? Beaucoup de questions se pose quant à ce caractère d'inconscience, qui serait selon Freud acquis et assimiler à la conscience. La conscience implique la responsabilité, et donc le choix selon Bergson. Dès lors, l'inconscient serait-il