Etre Heureux Est Ce Seulement Ne Pas Souffrir

autre joie que l'égoïste satisfaction de comprendre, de voir, de deviner et de souffrir sans fin de la connaissance de notre éternel isolement. Tu me trouves un peu fou, n'est-ce pas ? Écoute-moi. Depuis que j'ai senti la solitude de mon être, il me semble que je m'enfonce, chaque jour davantage, dans un souterrain sombre, dont je ne trouve pas les bords, dont je ne connais pas la fin, et qui n'a point de bout, peut-être ! J'y vais sans personne avec moi, sans personne autour de moi, 4 sans

Le problème posé par le texte concerne le travail. Il s'agit pour Nietzsche de savoir si le travail est une fin en soi ? Pour lui, certains hommes travaillent par plaisir de ce qu'ils font, et il leur est impossible de travailler sans plaisir, seulement pour le gain d'argent. Lenoir donnera d'autres arguments que ceux de Nietzsche, pour prouver que le travail est une fin en soi. Sans le travail, que ferions-nous ? Mais aujourd'hui, l'argent n'est-il pas plus important ? Nietzsche entame sa réflexion

« Le temps peut permettre d'effacer certaines douleurs, certains visages, certains sons, certains regard et peut être même certains sentiments. Mais parfois il suffit d'un seul mot pour que l'objet de notre oublie refasse surface dans l'océan de la mémoire. | « Mais le temps passe, et les choses changent. Elles s'éloignent et partent, et je ne peux pas courir derrière elles. Alors je m'attache à ceux que j'ai encore, et j'attends de voir comment tout va finir. Même si plus le temps passe, plus

nécessaires pour l’atteindre : pour atteindre le bonheur, et donc l’absence de trouble, c’est-à-dire le plaisir, il faut calculer et mesurer les plaisirs et les peines de manière à en obtenir la meilleure combinaison possible. NB : le texte pouvait aussi être découpé en quatre : L.1-6 : exposé de la thèse du texte, que la suite sert à justifier : la classification des désirs, et surtout sa considération, est nécessaire au jugement de ce qui est favorable « à la santé du corps et à l’ataraxie de l’âme

citadelle le déprécie immédiatement. La métaphore prêtant à Clélia des traits divins commence lorsqu’il lui attribue la possibilité de posséder les oiseaux tel une déesse à qui ses créations appartiennent, car le pronom personnel « les » ne semble pas seulement désigner les oiseaux enfermés mais tous les oiseaux qu’il entend chanter y compris ceux qui sont libres. L’adjectif céleste qualifiant sa physionomie renforce la métaphore, de même que son interrogation « daignera-t-elle m’apercevoir ? » qui l’élève

ANNENKOV – Que dis-tu ? Ils sont libres, au moins. STEPAN – La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. J'étais libre et je ne cessais de penser à la Russie et à ses esclaves. Silence . ANNENKOV – Je suis heureux, Stepan, que la parti t'ait envoyé ici. STEPAN – Il le fallait. J'étouffais. Agir, agir enfin... Il regarde Annenkov. Nous le tuerons, n'est-ce pas ? ANNENKOV – J'en suis sûr. STEPAN – Nous tuerons ce bourreau. Tu es le chef, Boria, et je t'obéirai

certaine dignité dans ses propos et va plus loin que simplement la blâmer. En effet, en partageant avec elle son introspection, lui reprochant non seulement de l’avoir trahi mais d’avoir été la cause de la destruction de son amour-propre, il montre la profondeur de ses blessures. Enfin, l’honnêteté du Prince et sa capacité de pardonner à la Princesse non seulement le crédibilise, mais démontre son amour sincère et sa maturité, culpabilisant d’autant plus la Princesse. Tache Écrite Madame

La Violence Dans Le Hockey Depuis près de 100 ans, le hockey est notre sport national. Non seulement le hockey est un sport de passion, de compétition et de travail d’équipe, c’est également un sport très violent. Plusieurs joueurs internationaux sont blessées chaque saison dans des bagarres. Que ce soit des égratignures, un membre brisé, ou encore une commotion cérébrale, les hockeyeurs sont de plus en plus agressifs. Est-ce correct de tolérer la violence dans le hockey? Je crois qu’il faut

L’Enjeu des retraites Introduction L’affaire semble entendue et ne pas souffrir de débat : il y a un problème des retraites. Un problème démographique, d’abord : avec le passage d’un actif pour un retraité à un pour deux d’ici cinquante ans, la question ne serait « ni de droite ni de gauche, mais arithmétique », comme dit Mme Parisot. Un problème comptable, ensuite : les déficits actuels et surtout prévus seraient tels qu’il faudrait dans l’urgence « sauver le régime par répartition » en réduisant

autre joie que l'égoïste satisfaction de comprendre, de voir, de deviner et de souffrir sans fin de la connaissance de notre éternel isolement. Tu me trouves un peu fou, n'est-ce pas ? Écoute-moi. Depuis que j'ai senti la solitude de mon être, il me semble que je m'enfonce, chaque jour davantage, dans un souterrain sombre, dont je ne trouve pas les bords, dont je ne connais pas la fin, et qui n'a point de bout, peut-être ! J'y vais sans personne avec moi, sans personne autour de moi, 4 sans