Etre Juste Est Ce Respecter La Lois

souvent que les lois viennent limiter notre liberté, mais est-ce vraiment le cas ? Les lois s'oppose t-elle a la liberté? A t-on le droit de s'opposé a la lois? Comment être libre tout en obéissant a une loi? Dans quel but, les hommes se donnent-ils des lois? Des lois juste permette t-elle une liberté? Doit-on parfois désobéir a une lois? En quoi l'existence des lois a un rapport avec la liberté? En quoi les lois sont-elle nécessaire a la liberté? Être libre, est ce désobéir a toute lois? Faire sa propre

Suffit-il pour être juste d’obéir aux lois et aux coutumes de son pays ? Cette question pose de nombreux problèmes. Premièrement, parlons nous ici de lois au sens des Nomoï grecques, c’est-à-dire à la fois lois positives, lois intérieures, et valeurs ? Parlons noux bien de coutumes au sens d’éducation ou des mœurs, des manières, des habitudes sociales, des conduites valorisées ou des modèles ? Ces lois, ces coutumes suffisent-elles pour définir la justice ? Deuxièmement, n'est-ce pas contraire

Suffit-il d’un ordre politique pour que la raison l’emporte ? L’être humain est un être doué de «logos» , ce qui signifie qu’il est doté d’un raison qui lui permet d’avoir la capacité de jugement, de raisonner et ainsi faire la différence entre le vrai et le faux ou encore le bien ou la mal. Depuis son arrivée sur Terre, l’Homme utilise sa raison notamment dans sa vie avec les autres car l’être humain vit avec ses semblable et est naturellement voués à cela. Avec le temps cette vie en communauté

deux notions semble bien présente. Il faut s’interroger sur la définition de ces deux termes pour comprendre un peut plus cette imbrication. Si l’on part du principe que le droit est un ensemble de lois qui définit les permissions et les interdictions à l'intérieur d'une société. Le droit peut donc être qualifié d’une série d'énoncés normatifs. Il a été décidé de normer les comportements par des règles de droit. S'il n'existait pas de telles règles, chacun pourrait porter atteinte à autrui. Ce serait

Suffit-il pour être juste d'obéir aux lois et coutumes de son pays ? La justice, ce n’est pas seulement la vertu ou la moralité. On pourrait dire, si la question était : " Suffit-il pour être vertueux ou moral d’obéir aux lois et coutumes de son pays ? " que la moralité ou la vertu n’est pas dans le comportement extérieur mais dans l’intention, et que l’obéissance n’est jamais qu’un comportement extérieurement conforme aux lois et aux coutumes. Ce comportement extérieur peut avoir une apparence

conceptuelles nécessaires pour la construction de vos arguments. Certains points seront rappelés ou développés dans les divers chapitres du cours. Etymologiquement, le mot « justice » vient du latin jus, qui signifie le droit ; la justice est donc le respect, l’observance du droit. La notion de justice a un sens moral, à l’échelle de l’individu dans son rapport aux autres, et un sens juridique, à l’échelle supérieure de la société politique. La justice est le juge de paix de la vie pratique, des conduites

obéissent aux lois du monarque, et le monarque aux lois de la nature, demeurant la liberté naturelle et propriété des biens aux sujets ». Cette affirmation de Jean Bodin issue de son œuvre principale, Les Six Livres de la République, publiée en 1576 trouve un écho percutant dans cet extrait du Dictionnaire de droit et de pratique de Claude-Joseph de Ferrière. Le Monarque crée, ainsi, des lois que ses sujets doivent suivre. Néanmoins, ces lois sont justes et encouragent le bien commun tant les lois du Prince

n’entraine-t-elle pas trop de liberté ? Rousseau montre que l’homme à une autre solution pour évoluer : de la justice, l’égalité et de la liberté. Cette pensée est appelée le contrat social par Rousseau, c'est-à-dire que la justice permet au citoyen, de tous respect avec égalité les règle choisie par eux et pour eux ce qui entraine une liberté. Mill introduit la loi qui permettra de créer une liberté parfaite. Pour lui les sociétés ne doivent veiller que sur le non empiétement de la liberté de sont voisin :

ordre dont le tenant est posé par des lois et dont la constance est assuré par un pouvoir qui contraint chacun au respect toutes ces lois. Dans cette éventualité, la loi impliquera donc nécessairement l'obéissance. Ne pas s'y soumettre annulerait sans doute la ‎loi et par conséquent '' l'ordre indispensable'' qui seul peut garantir une potentiel ''coexistence de tous les individus''. Cependant, une ‎pure obéissance aux lois ramènerait la vie en société où les lois éternel garantissent la constance dans

d’être juste si il ne les transgresse pas tout en differenciant la condition nécessaire et la condition suffisante. Kant fait la difference entre la loi de droit, de politique et la loi scientifique mais on s’intéressera ici aux lois sans sa globalité en y incorporant les coutumes au sens d’éducation ou de mœurs, des manières, des habitudes sociales, des conduites et des modèles valorisés dans son pays. Obéir en appliquant avec sagesse les lois et les coutumes de son pays suffit-il pour être un exemple