Etude Personnages Le Menteur

Le Procès : étude de l’incipit du roman Lecture analytique des trois premières pages (jusqu'au bas de la page 27 : « …il était encore libre »). Théâtralité. « On avait sûrement calomnié Joseph K., car, sans avoir rien fait de mal, il fut arrêté un matin ». Début in medias res. L’arrestation de Joseph K. est signalée dès la première phrase. Aucun préambule, ni descriptif, ni psychologique, ni explicatif. Franz Kafka s’écarte délibérément de la tradition littéraire du roman, telle qu’elle s’est établie

quoi la scène étudiée constitue-t-elle une scène d’acmée ? * Quels sont les arguments, les valeurs promues, et les sentiments des deux personnages ? * Analysez la structure du passage. * Etudiez les registres utilisés dans le passage. * En quoi cette scène est-elle classique ? * Etudiez la versification et la musicalité du texte. 4) Etude de l’extrait * L’argumentation * Bérénice : elle utilise la persuasion en jouant sur les sentiments, car elle est en position

[pic] SOMMAIRE : INTRODUCTION I. BIOGRAPHIE II. BIBLIOGRAPHIE III. STRUCTURE DE L’ŒUVRE IV. ETUDE DES PERSONNAGES V. EXPLICATION DES MOTS VI. ETUDE DETAILLEE VII. RESUME GENERAL VIII. RESUME PAR ACTE IX. INTERET DE L’OEUVRE X. CONCLUSION INTRODUCTION Le Cid est une pièce de théâtre (tragi-comédie[1]) en vers (alexandrins essentiellement) de Pierre Corneille dont la première représentation eut lieu le 5 janvier 1637[2]. Tragi-comédie, le Cid est

en racontant l'histoire de Johan Suter. Le passage se situe au moment où, fermier paisible du Missouri, Suter est intrigué par ce que les gens de passage lui racontent de l'Ouest. Ce texte se présente comme un monologue intérieur dans lequel le personnage exprime une curiosité avide. Quelle est la narration de ce texte ? Il n’y a pas d’action, mais seulement des possibilités de récits. Dès lors, après s’être demandé ce que c’était que l’Ouest, on verra comment le mot est un déclencheur de récits

dépens des autres. Il ne prend jamais en compte les besoins et les sentiments des autres, sauf pour s’en servir, manipuler sa victime, l’isoler et l’amener à faire ce qu’il veut. Il est égocentrique, exige de l’autre la perfection. C’est aussi un menteur. Généralement habile avec la parole, il se sert largement du double sens des mots pour manipuler, se positionner en victime pour se faire plaindre ou rendre l’autre volontairement mal à l’aise. Même s’il n’a aucune valeur propre, il utilise la morale

menaçant de la prédiction) - l’énumération des thèmes essentiels de l’inspiration baudelairienne (aspiration à l’infini) - la sensualité diffuse et inquiétante (plaisir et souffrance) - l’amplification dans la reprise terme à terme des mêmes prédictions (étude des variantes) - le rythme et ses effets d’incantation dans le discours (répétitions, groupements binaires, expansions ternaires, groupes croissants) - le renversement final ironique en forme de déclaration galante qui vaut comme explication de l’amour

serment amoureux C’est d’ailleurs la version la corrompu, celui du rapport plus baroque de l’oeuvre qui a enfant – parent, celui du été choisie, la plus riche du menteur, que Corneille n’a pas point de vue alexandrins, mais m a n q u é d e t r a i t e r d a n s aussi la plus théâtrale, la plus d’autres pièces. Clindor, le concrète. personnage principal, n’est pas un homme d’honneur, ce n’est donc véritablement pas 4 Rés.:02/640.82.58 www.varia.be Contact : Isabelle Colassin/Monica Gomes Croquis

Français. Étude de fables de Jean de la Fontaine. Jean de la Fontaine était un poète fabuliste du XVII ème siècle. C'est à travers ces nombreuses fables qu'il faisait communiquer ces points de vue, ces opinions. Notamment connut pour représenter les hommes par des animaux, il dénonçait la société de son époque. Appartenant au courant du classicisme, on retrouve chez la fontaine les principaux sentiments de ce courant comme la perfection, l'équilibre et la foi en l'homme idéal. Jean de la Fontaine

l'Italie où il sera consul avant de mourir d'apoplexie en 1842. Il est surtout l'auteur de deux chefs-d' œuvre du romantisme, Le rouge et le noir, et 'La Chartreuse de Parme dont les personnages en quête du bonheur doivent affronter la société que Stendhal juge médiocre, ainsi que leurs propres faiblesses. III-Etude de l’image de couverture : La première de couverture représente un jeune homme aux cheveux noirs avec de grands yeux et un visage fin. Sur l’image le fond est neutre et l’homme est

l'obsession du cadavre de Camille après l'avoir été par sa passion pour son amante, a perdu toute maîtrise de lui-même. Tout se passe à cet égard comme si la fiction du jeune Zola était le lieu où se déployait l'inavouable de la théorie et, dans le personnage de Thérèse, le lien entre mensonge et féminité offre comme l'image inversée de « la virilité du vrai ». Mais ici, la fiction n'offre qu'un exemple de ce que la théorie elle-même n'hésite pas à énoncer ouvertement chaque fois qu'elle discerne chez