Euphemisme

est amoureux » (Néron à Narcisse) Une Enumération : Liste de mots se rapportant à une même idée. Exemple : « Cosette montait, descendait, lavait, brossait.. »/« Dans mon jardin, il y a des fraises, des cerises, des pêches et des bananes. » Un Euphémisme : L’euphémisme est une figure très connue qui consiste à remplacer une expression littérale (idée désagréable, triste) par une forme atténuée, adoucie. S’oppose à la litote. Exemple canonique : « Il a vécu. » pour « Il est mort ». -> Positive la

qui occupent sérieusement les femmes » l.1-2). On remarque l'antithèse « amusement » - « sérieusement » qui montre que sa vie est futile. C'est aussi une femme à la vie débridée car elle trompe son mari, « je n'ai pas trop gardé ma parole » l.25, euphémisme pour : j'ai trompé mon mari. Cependant c'est une femme cultivé qui a réussi à passer « d'un trône à l'autre » l.5, comme en témoignent ses lectures ( elle lit Montaigne, Plutarque et saint Paul et connaît par cœur les vers de Molière). 2). Une

diable, la mort, le péché Citation : «Qui fut tout, et qui ne fut rien. » (v.29) Nom : Antithèse Mécanisme : Opposition Effets : Chagrin, désespoir, regret de Cyrano Citation : «Vous voyez, le rayon de lune vient me prendre !» (v.31) Nom : Euphémisme et Antiphrase (ironie) Mécanisme : Atténue Effets : La tristesse, la mort 2ème idée directrice : Le duel de Cyrano contre la mort (l.43-l.87) Citation : «Elle vient. Je me sens déjà botté de marbre, / - Ganté de plomb ! / Il se raidit. / Oh

valeurs d'emploi de "nous". Le Lexique - Quels sont les champs lexicaux qui s’opposent ? - Quelle est la part de l’implicite dans les idées directrices ? - Quelle est l’importance des figures de rhétorique (comparaison, métaphore, paradoxe, antithèse, euphémisme, périphrase) dans l'argumentation ? L’organisa-tion de l’argumen-tation - Quelles sont les thèses en présence ? Sont-elles formulées explicitement et à quel endroit dans le texte? Quelle est la thèse de l'auteur ? - Quels sont les différents arguments

baïonnette » apparaissent ainsi comme les vrais coupables de la boucherie et non pas les hommes qui les utilisent. Ils apparaissent comme les sujets de verbe au passé simple « renversèrent », « ôta », et « fût » qui sont utilisés ici comme des euphémismes qui nient l’horreur de la guerre. * L’emploie des termes modalisateurs « à peu près », « environ », « quelques neufs à dix milles », « millions d’hommes », « une trentaine » montre le mépris de la vie humaine. L’expression « le tout » ajoute

style décalé et euphémisme « ôta du meilleur des mondes »  justification de la bataille : « environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface  (IP2)La guerre est une situation de conflit sans sens et absurde. (IS1) cruauté de la guerre (P1) le campe lexical du corps : «  cervelles, bras, jambes, mamelles » violeence de la mort « criblés de coups », « égorgées », « éventrées », « brûlées » style d’oxymore « boucherie héroïque » style de périphrase et de euphémisme « là des filles

que », « semblable à », « pareil à »…). Exemple : Elle est blonde comme le blé et son regard est pareil à celui d’une statue. Remarque : Ne pas confondre l’outil de comparaison « comme » avec la tournure exclamative « comme elle est belle ! ». Euphémisme : atténuer le sens d’un mot en employant un autre mot ou une autre expression. Exemple : « s’éteindre » pour mourir Enumération : fait d’énumérer des éléments d’une description. Exemple : Hier, au supermarché, j’ai acheté du pain, du jambon et

faire mieux ressortir le contraste. « Il y a antithèse lorsqu'on choisit les tours qui rendent l'opposition plus sensible » (Condillac). 3. Antiphrase Manière d'employer un mot, une locution dans un sens contraire au sens véritable, par ironie ou euphémisme (ex. C'est du propre!). 4. Comparaison Rapport établi explicitement (par comme, tel, plus, moins...) entre un objet et un autre dans le langage; figure de rhétorique qui établit ce rapport. 5. Métaphore Procédé de langage qui consiste à employer

Exemple : « Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger « Comparaison : rapprocher deux termes différents, mais ayant une caractéristique, mais ayant une caractéristique commune (comme, ainsi que, tel que, pareil à, avoir l’air de, ect.) Euphémisme (masculin) : affaiblir une idée pour la rendre moins rebutante. Exemple : « les non-voyants » pour « les aveugles. Gradation (ascendante et descendante) : exemple « Va, cours, vole et nous venge ». Hyperbole (féminin) : agrandissement ou diminution

Concession : On accorde à son adversaire pour mieux le contrer Certes, le feu était rouge, mais celui des piétons l’était aussi ! Ellipse : Enlever, sous-entendre des mots nécessaires grammaticalement. Pierre mange des cerises, Paul des fraises. Euphémisme : Embellissement, adoucissement d’une phrase trop crue. Pays en voie de développement (Pays sous développé) Gradation : Mettre des mots dans un certain ordre (crescendo, …) Il a mis le feu au journal, à la table et même à la pièce ! Amplification :