Euthanasie Passive

(d’après le conseil de l’europe): * Maltraitance/violences physiques : coups, brûlures; ligotages, soins brusques sans information ou préparation, non-satisfaction des demandes pour des besoins physiologiques, violences sexuelles, meurtres (dont euthanasie)… * Violence dure qui prend la forme d’une agression, moins courant qu’il y a qql années mais reste présente envers les nourrissons et enfants * Maltraitance/ violences psychiques ou morales : langage irrespectueux ou dévalorisant, absence

professionnel vis-à-vis de la fin de vie et de l’euthanasie. Je suis convaincue que le terme euthanasie fait « peur ». L'euthanasie, se traduisant étymologiquement par « la bonne mort », semble se définir aujourd'hui comme le fait de devancer la mort et renvoie à une connotation criminelle. La réalité est pourtant multiple car les textes distinguent différents types de pratiques : l'euthanasie active, passive, indirecte sans oublier le suicide assisté. Ma problématique se posera aujourd’hui sur l’euthanasie

après deux ans de débat, dépénalise l'euthanasie active. Celle-ci est définie par le Larousse comme étant « l'acte d'un médecin qui provoque la mort d'un malade incurable pour abréger ses souffrances ou son agonie », à différencier de l'euthanasie passive qui est, toujours selon le Larousse, « l'acte d'un médecin qui laisse venir la mort d'un malade incurable, sans acharnement thérapeutique ». L’euthanasie suscite un débat interminable. Afin de mieux comprendre les positions qui se font face, nous

intrinsèque de la vie humaine. Si l’euthanasie devient légal, au début cela sera traité avec beaucoup de soin, mais plus que le temps avancera, ce domaine s’élargira, et cet acte deviendra petit à petit un acte banal, comme un droit acquis. L’euthanasie passive existe déjà, car avec l’arrêt des traitements et l’aide des centres palliatifs est une voie vers la mort, mais l’ADMD tient à ce que le médecin administre directement la mort. Le pouvoir médical s'est souvent exercé à la manière d'un peu négociable

collégial et autorisation des proches ou du patient, à appliquer un traitement antidouleur «qui peut avoir pour effet secondaire d’abréger sa vie», mais non de provoquer la mort. La frontière est mince avec «le droit au laisser mourir» de l’euthanasie passive (c'est-à-dire le renoncement aux traitements médicamenteux, l'interruption de l'alimentation ou de l'hydratation artificielle ou l'administration d'opiacées ou de sédatifs à haute dose, pouvant plonger le malade dans le coma et provoquer la mort au

droits. Different du droit français ou la maternité est liée à l'accouchement,. §3 : L'illicité de l'euthanasie : Euthanasie, acte où l'on provoque volontairement la mort d'une personne pour abréger ses souffrances. Différence entre la mort naturelle et l'euthanasie, il y a toujours une action ou une omission dont l'intention première est la mort de l'individu. Action : euthanasie active : On n'admet pas l'euthanasie active qui suppose un traitement ou un acte qui provoque la mort par une injetction

siècles. Etymologiquement, « euthanasie » provient du grec Eu Thanatos qui signifie « bonne mort, mort douce et sans souffrances ». Avec l’évolution de la société, l’euthanasie peut se décliner en plusieurs formes. Il existe tout d’abord l’euthanasie active, c'est-à-dire l’administration délibérée de substances létales dans l’intention de provoquer la mort, à la demande du malade ou de ses proches. Il s’agit là de la forme la plus reconnue d’euthanasie. L’euthanasie passive, quant à elle, est le refus

pénal : euthanasie est susceptible d'être identifié à 2 infractions : 1- un meurtre = donne volontairement la mort à autrui, meurtre peut être prémédité (=assassinat) HORS l'euthanasie est programmé DONC risque pour celui aide l'autre à mourir soit considéré comme un assassin Euthanasie → risque fort d'être considéré comme un meurtre avec préméditation + circonstances aggravantes Circonstances aggravantes si personne vulnérable, c'est le cas qd euthanasie D Pénal considère facilement euthanasie comme

dans les finances britanniques, s’est occupé de l’effort de guerre. Il montre que la meilleure technique économique peut participer au bonheur des hommes : il n’y a pas de problèmes économiques, il y a des problèmes humains. Il disait : « il faut euthanasier le rentier » mais il a gagné beaucoup d’argent grâce à la bourse. Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt, de la monnaie 1936. Ses maîtres : Alfred Marshall (1842-1924) néoclassique, fondateur de l’économie industrielle et de l’idée de district

à ses revendications avec la loi de 2002 sur le droit des malades et la loi Leonetti (22 avril 2005) « relative aux droits des malades en fin de vie ». L'idée générale est de favoriser les soins palliatifs, d'interdire l'« euthanasie active » et d'encadrer l'« euthanasie passive », c'est-à-dire d'empêcher le médecin de pratiquer une « obstination déraisonnable » dans le soin des malades en fin de vie. Un équilibre est aussi recherché entre le fait d'éviter des souffrances jugées inutiles à un patient