Évangélisme

(1467-1536), moine très érudit, un grand lecteur, éditeur et traducteur (de la Bible par exemple) et auteur d'ouvrages en proses (philosophique et religieux). A eu de l'influence sur Rabelais, Montaigne, Marguerite de Navarre. Principale œuvre (évangélisme) : VOIR LIVRET. De nombreuses découvertes durant cette période : scientifique, géographique,... Tous les savoirs communiquent. La littérature aussi est revue. 2. Périodisation : 1ère période jusqu'au guerre de religions. Apogée et construction

obligatoire. => Scission avec le latin de l’église, les textes deviennent compréhensibles pour tous. - Luther et Calvin lance la Réforme protestante. => La connaissance des Textes provoque la remise en cause de l’interprétation de l’église : Evangélisme et Protestantisme. - Guerres de religions. => Naissance d’une littérature religieuse. - Apparition des Grands mécène : Laurent de Médicis, les bourgeois Hollandais, les nobles français. => C’est grâce à l’argent fournit par les mécènes que l’Humanise

soi-même. « que tu formes ton style ». actif : l’élève ne subit pas, il prend son savoir en main. Lecture : attitude volontaire Savoir : n’est plus une accumulations de connaissance, mais une réflexion sur ce savoir. Morale. Evangélisme : enseignement moral chrétien, contact personnel avec Dieu, loin des inventions de la religion Conclusion : Renouvellement de l’enseignement : étude plus approfondie, raisonnement de l’élève. Lettre = idéal pédagogique humaniste

• « Faire tout ce qu’ils voyaient faire plaisir à un seul » > parallélisme « faire tous » « faire plaisir à un seul » > la liberté n’abolit pas l’obéissance, nouvelle obéissance entre personnes égales = évangélisme, courant catholique de l’époque de Rabelais (importance de la religion dans cette œuvre) • Antithèse « l’un ou l’une d’entre eux » / « tous » > unité du groupe, l’un fait une action, les autres la

laisse une grande part à la pratique et à l’expérimentation. Ses méthodes pédagogiques sont basées sur l’apprentissage dans la joie : on n’apprend bien qu’en se distrayant. La Religion : Rabelais est un fervent partisan de l’« Évangélisme ». Ce mouvement humaniste veut épurer la religion catholique et s’oppose aux ambitions temporelles des papes. Il proclame la nécessité de prendre l’Écriture comme seul fondement du christianisme et d’abandonner les institutions créées par les hommes

En 1553, Rabelais meurt à Paris dans des conditions non expliquées. 1564, onze ans plus tard, le cinquième et dernier livre de Pantagruel est publié à titre posthume. Ses idées religieuses : Rabelais est un fervent partisan de l’« Évangélisme ». C'est un mouvement humaniste qui veut épurer la religion catholique et qui s’oppose aux ambitions temporelles des papes. Il proclame la nécessité de prendre l’Écriture comme seul fondement du christianisme et d’abandonner les institutions créées

image avantageuse de lui-même et de ses prises de position au sein de la République des Lettres. La fin de sa vie, sera marquée par sa réelle envie de rester libre et de ne pas prendre partie dans la religion Chrétienne, entre catholicisme et évangélisme. Une polémique apparaitra entre Luther et Erasme. Tous deux défendront leurs idées sur le changements de la religion, et s’attaqueront dans divers livres. En 1521, Erasme s'installe à Bâle, il y mourra le 12 juilliet 1536, tourmenté par la crise

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Personne dévote : personne qui est attaché à la religion et à ses pratiques. - Dévotion : veut exprimer attachement à la religion et ses pratiques/adoration/devoirs religieux. - Crucifix : croix sur laquelle est crucifié Jésus. - Evangélisme : la contestation qu’il suscite donnera naissance à la réforme et au protestantisme.

ne prendra sa forme finale qu’en 1552, juste avant sa mort. Enfin, François Rabelais meurt en 1553, à Paris après une vie riche en surprises et en rebondissements. 2 Ses idées religieuses Rabelais était un partisan de l’« Évangélisme », un mouvement humaniste qui veut épurer la religion catholique et qui s’oppose aux ambitions des papes. Il proclame la nécessité de prendre l’Écriture comme seul fondement du christianisme et d’abandonner tous ceux que les hommes avaient institués