Éveil spirituel

est, car l’artiste exprime par le biais de l’art, des émotions, des pensées : bien qu’étant une réalité matérielle (il y a une peinture réelle, ou n’importe quel support), l’œuvre transcende la simple réalité matérielle ; il s’agit d’une pièce spirituelle car d’elle émane, non pas la simple répétition d’un quotidien monotone mais bien la une purification des idées de ce dernier. De manière plus proche du sujet (les personnes), Freud envisage l’art comme un défouloir humain, qui sert d’exutoire

grande composition murale, pour le pavillon espagnol de l’Exposition Universelle de Paris. L’actualité politique va créer le facteur déclenchant de l’œuvre de Picasso : le bombardement par les Nazis de la ville de Guernica (capitale historique et spirituelle du Pays basque espagnol) le 26 avril 1937. Malgré le fait que Picasso vive à ce moment là en France, il fut énormément touché et choqué en apprenant par la presse que l’Espagne avait été bombardée par Hitler afin de tester de nouvelles armes (bombes

Leurs hymnes solennels emportés par le vent. " • Baudelaire est sensible à l'infini du ciel. Il y a une qualité d'ascendance : "rêvant" est une ouverture de l'imagination, "hymnes solennels" rappelle "La Vie antérieure". L'univers est un univers spirituel. La sonnerie des cloches, qui est une perception auditive, est le point de départ de l'ascension. Vers 5-6 : " Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde " • L'atelier connote une activité

sang semble caractériser la terre tandis que la couleur bleue ( que l’on retrouve dans « bleue hauteur », « algues bleues », « vol bleuté ») fait allusion au bleu du ciel mais aussi au rêve. Le combat n’est pas seulement physique, il est aussi spirituel. Césaire, nous dresse un portrait héroïque de Louis Delgrès. En effet, Louis Delgrès apparait comme un sauveur « qui aux remparts s’entête » en plus, il réveille le peuple, ils sortent du « rêve », il projette le peuple « hors du sommeil ». Louis

Faut-il se fier aux apparences ? On entend souvent dire qu’il « ne faut pas juger un livre à sa couverture » lorsque le bon sens commun veut nous faire comprendre que les apparences sont trompeuses et qu’il ne faut pas s’arrêter sur des préjugés. D’ailleurs, bien souvent l’expérience nous a prouvée que les apparences n’étaient pas totalement fiables. C’est notamment vrai avec l’idée de la platitude de la Terre, qui parce que l’horizon est droit, a convaincu de nombreuses personnes jusqu’à

Le Clézio, à l’occasion de la réception du prix Nobel en 2008, s’est demandé pourquoi on écrit. En regardant l’histoire des écrivains français, il faut avouer qu’à cette question il n’existe pas une seule réponse : Hugo se prenait pour le guide spirituel du peuple tandis que Flaubert s’occupait rigoureusement de critiquer la société ; Dreyfus et Sartre par contre, se sont engagés à assumer de nouveau un rôle social positif. Il faut que nous nous demandions donc en quoi consiste ce rôle aujourd’hui

la simultanéité des sentiments. – JE utilisé avec un présent de l’indicatif de vérité générale : durée des verbis indéfinie (voire infinie ? ) – V.2 : reprise des 2 éléments énoncés plus haut mais avec des éléments naturels (le feu et l’eau) éveils de nouveau sentiments – V.3 : JE objet antithèse entre les sensations tactiles de l’auteur (molle et dure) : formation d’un parallélisme hyperbolisée par trop – V.4 : nouvelle antithèse entre ennuis et joie, antithèse hyperbolisé par grand.

sont-ils tous sensibles a ce qu'ils nomment la beauté? Quelle satisfaction peut-elle leur apporter? Se manifestant d'abord par les sens, la beauté ne s'adresse-t-elle qu'a ceux-ci, ou bien concerne-t-elle l'esprit? Si tel est le cas,à quel domaine spirituel vient-elle faire, plus ou moins directement, écho, de façon à nous satisfaire? Premièrement, nous allons nous intéresser au diverses formes sous lequel la beauté apparait... Les différents types peuvent être ceux-ci : Nature, corps, oeuvres

clôt le poème : ...la gourde Où je hume à longs traits (= gorgées) le vin du souvenir. (à la fois ivresse et satiété, idée de plénitude, de jouissance comblée) Transition : La chevelure est donc moins associée à la femme qu'aux sensations qu'elle éveille et suscite chez le poète ; grâce aux synesthésies, le poète va pouvoir concevoir un ailleurs idéal qu'il fait apparaître dans ces 7 strophes. II - Un ailleurs idéal le poème transfigure la relation amoureuse : aucune référence au réel, si ce n'est

République) affirment un nouveau souffle à la littérature, et particulièrement à la poésie. En effet, le décadentisme, mouvement qui s'oppose au naturalisme (mis en lumière par Émile Zola, figure phare de 1890, année du début de l'affaire Dreyfus), éveille un nouveau lyrisme. Esthétique du morbide et du maladif, utilisation de nouveaux thèmes comme l'inceste, l'exaltation d'un érotisme et passion pour la putréfaction des corps jusqu'à leur moisissure puis leur mort, le décadentisme ouvre une vision