Évêque

les sacrements[1]. Parmi eux, les plus nombreux sont les prêtres, appelés curés quand ils ont la charge d’une paroisse[2]. Les évêques, qui ont autorité sur eux, dirigent les diocèses[3]. Certains évêques choisis par le pape deviennent cardinaux. Surnommés princes de l’Église, ces derniers élisent le pape, qui est lui-même le chef de toute la chrétienté. En effet, comme évêque de Rome, le pape est le successeur de Pierre, qui était le chef des apôtres. Le clergé régulier Il est constitué par

culte des saints et des reliques ainsi que le dogme de la transsubstantiation. Sur le plan disciplinaire, il crée les séminaires diocésains, destinés à former les prêtres) L'Église catholique se caractérise par la reconnaissance de l'autorité du pape, évêque de Rome et successeur de saint Pierre. Cette branche du christianisme regroupe l'Église catholique romaine et les Églises catholiques orientales. En tant que religion chrétienne, elle se fonde sur la vie et les enseignements de la vie de Jésus-Christ

3 L' Église de Constantin à Charlemagne (325-800) 3.1 Constantin et le basculement de l'empire romain dans le christianisme 3.2 Structure de l'Église 3.3 Conciles, Arianisme, donatisme… 3.4 L'Église et les Barbares 3.5 Pape, moines et évêques 4 L'hégémonie de l'Église en occident (800-1300) 4.1 La séparation des Églises d'Orient et d'Occident 4.2 Cluny et le foisonnement d'ordre religieux 4.3 Césaropapisme et affirmation de la papauté 4.4 Poursuite et essoufflement de l'effort

qui s'installent viennent d'Orient. Ils sont de langue et de culture grecque. Leur présence est attestée dès le 2ème siècle. Le premier chrétien dont on ait gardé trace est Irénée, le 1er évêque chrétien. Il aurait évangélisé la Bourgogne. Au cours du 3ème siècle, les églises se multiplient et Reims possède un évêque au milieu du 3ème siècle. Dès lors Rome commence à réagir et organise des persécutions officielles. La première est due à l'empereur Valérien en 257-258. En 303, l'empereur Dioclétien

l’autorité de l’Eglise, qui est, selon J Picq le point de départ du prototype d’Etat crée par l’Eglise, n’a pas fait consensus puisque les empereurs se sont battus pour garder leur autonomie. Dans l’Empire germanique, Otton Ier a le pouvoir d’investir les évêques, en dehors, ce pouvoir est partagé entre les rois, les ducs et les comtes. J. Picq pense la chrétienté comme facteur d’unité et donc d’Etat via les universités, les personnes morales… cependant à l’époque carolingienne, Charlemagne veut la renovatio

L'Europe au Moven Âge, Paris, A. Colin, 1969. *apostolique : qui émane du pape, descendant des apôtres, successeur de St Pierre. A) Recherche : Recherchez les définitions des mots suivants figurants dans le texte : abbé, diocèse, laïcs, évêque, monastère. Qui était Robert de Molesme ? Qui était Bernard de Clairvaux ? B) Analyse du texte: 1 – Qui souhaite créer un nouveau monastère ? 2- Auprès de qui obtiennent-ils l’autorisation ? 3 – De quelle manière s’engagent-ils à vivre 

Extrait du premier recueil de législation ecclésiastique, rédigé par le concile d’Antioches, ou concile des évêques sous Constantin II au 4e siècle. (341)· Refuser règle de synode de Nicée (assemblée ecclésiastique) faite par rapport à paque et reconnue ss C II laïcs = excommunié + repoussés de l’église · Si célébration avec les juifs car corruption + perversion : pour évêques + presbytre (conseillers) + diacre (assistants) = éloignés de l’église (pas totalement coupables)· Mm pour ceux qui

du souverain vient du sacre, qui lui est conféré par l’archevêque de Reims. L’Église prétend que Dieu lui donne autorité sur les souverains eux-mêmes., que ceux-ci contestent. Les conflits concernent la conduite des souverains, la nomination des évêques. Outre l’excommunication, le pape détient l’arme de l’interdit qui fait trembler les rois : elle lui permet d’exclure le roi ou tout autre fidèle de la participation aux célébrations spirituelles. b) L’Église édicte des règles sociales L’Église

siècle le Pape n'était qu'un évêque. Le Pape a une apôtre du christ (1er évêque), il avait une supériorité moral et c'est le successeur de St Pierre. L'Église est l'héritière de l'empire romain. Lorsque l'empire romain est devenu chrétien au IVième siècle APJC, l'État romain installe un évêque par cité. Avant que le pape devienne le chef, les décisions sont prises lors d'un concile (vient du latin consilium , assemblée des évêques). Le pape devient le

barbares, soit païens soit ariens, fait décliner l'obédience conciliaire fidèle aux dogmes de Chalcédoine, de Constantinople et de Nicée. En fait, l'église était donc dans le grand besoin de combattre cette hérésie païenne et arienne. Saint-Rémi, évêque de Reims, avait donc tout intérêt à convertir Clovis au christianisme, afin qu’il protège l’Eglise. Ainsi, il écrit à Clovis dès son avènement, incitant d’abord Clovis à protéger les chrétiens sur leur territoire. On sait que les contacts entre