Evolutionnisme

sciences (physique, chimie…) sont transposables à l’étude des phénomènes sociaux croyance en la rigueur de la science, dans la possibilité d’un physique sociale. Pour lui, les actes des hommes dans l’histoire sont le produit d’un déterminisme et évolutionnisme strict qui sont le résultat de 3 facteurs : * La race : caractéristique d’un milieu social déterminé, transmis par hérédité (ethnie). * Le milieu : apprentissage d’une langue, contribue à fabriquer des individus qui sont à l’image du

originelle. L’oxygène vient d’organismes vivants qui ont rejeté de l’oxygène qui est entré dans l’atmosphère. On résout la contradiction en disant que l’on n’a pas la même terre ni la même atmosphère. 5°) Approfondissement : darwinisme et évolutionnisme L’évolutionnisme est une théorie associée à Charles Darwin, née et mort au XIXème siècle. Son grand ouvrage, celui qui le rend célèbre est L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle en 1859. Darwin n’a pas inventé l’idée de transformation

éduquent les hommes à vivre dans des conditions physiques différentes (par ex, savoir résister au froid ou à la chaleur pour les personnes vivant dans le désert). Apprendre à vivre dans des conditions extrêmes. - Ethnologie, éducation et évolutionnisme : il regarde les grandes étapes de l’évolution des sociétés à laquelle correspondent des formes éducatives (Marx, Durkheim.) - Ethnologie, éducation et diffusionnisme : va considère que l’éducation à une fonction (Malinowski). Ils regardent

(2), p. 222247. Servais, O. (2002), Les dispositions économiques des agents. Quel paradigme cognitif pour l’hétérodoxie institutionnaliste ? L’exemple de la théorie de la régulation, Journées d’étude du Centre Walras « Institutionnalismes et évolutionnismes. Confrontations autour de perspectives empiriques », Lyon, 2 et 3 décembre. Simon, H.A. (1974), La science des systèmes: science de l’artificiel, Paris: EPI éditeurs. Simon, H.A. (1957), Models of Man : Social and Rational, New York (N.Y.) : John

la fin des grands récits » ou métarécits. Il faut comprendre : l’abandon des grands récits de légitimation de la civilisation occidentale : histoire judéo-chrétienne, hégélianisme, positivisme, progressisme des Lumières, socialisme et marxisme, évolutionnisme,…qui tous prétendaient conduire l’humanité vers un salut unique et assuré. Par ailleurs, Gilles Lipovetsky définira la postmodernité comme avènement de l’individualisme démocratique (voir article « post-modernité » de Sophie Bilemdjian dans le

la culture aurait pour fonction principale l’adaptation à la nature. Pour les tenants de cette approche, il s’agit en dernière analyse de réexaminer l’évolution des sociétés en fonction de leur adaptation au milieu. Inspiré du Darwinisme, cet évolutionnisme multilinéaire va être discrédité par la génération successive d’anthropologues. Dès les années soixante, on sent un rejet de ces explications de type causal et finaliste. Néanmoins, ce type d’explication n’avait pas totalement disparu au-delà

s'en prend à Michel Leiris et Lévi-Strauss. Au premier, il fait reproche d'avoir écrit, dans sa brochure, La Question raciale devant la Science moderne : « Il est puéril de vouloir hiérarchiser la culture. » Au second, de s'attaquer au « faux évolutionnisme », en ce qu'il « tente de supprimer la diversité des cultures, en le considérant comme des stades d'un développement unique qui, partant d'un mème point, doit les faire converger vers le même but ». Un sort particulier est fait à Mircea Eliade

s’en prend à Michel Leiris et Levi-Strauss. Au premier, il fait le reproche d’avoir écrit, dans sa brochure, La Question raciale devant la science moderne : « Il est puéril de vouloir hiérarchiser la culture. » Au second, de s’attaquer au « faux évolutionnisme », en ce qu’il « tente de supprimer la diversité des cultures, en les considérant comme des stades d’un développement unique qui, partant d’un même point, doit les faire converger vers le même but ». Un sort particulier est fait à Mircea Éliade

d’un petit nombre d’individus juxtaposés les uns aux autres, petite molécule sociale, forme de société la plus élémentaire qui soit. Le clan : plusieurs hordes Société polysegmentaire : plusieurs segments, plusieurs clans Société traditionnelles Evolutionnisme de Durkheim en œuvre ici. C’est une méthode scientifique (comme lorsque l’on fait des recherches sur les atomes jusqu'à l’homme). On peut donc remonter à la forme élémentaire de la société donnée. A mesure que l'on progresse dans les sociétés

s'en prend à Michel Leiris et Lévi-Strauss. Au premier, il fait reproche d'avoir écrit, dans sa brochure, La Question raciale devant la Science moderne : « Il est puéril de vouloir hiérarchiser la culture. » Au second, de s'attaquer au « faux évolutionnisme », en ce qu'il « tente de supprimer la diversité des cultures, en le considérant comme des stades d'un développement unique qui, partant d'un mème point, doit les faire converger vers le même but ». Un sort particulier est fait à Mircea Eliade