Ex vivo

d'art manifeste une liberté qui va à l'encontre d'un mode de pensée comme celui des dévots. Par conséquent, Molière a satisfait la morale traditionnelle en châtiant Dom Juan. Le problème est traité matériellement par un coup de théâtre, un Deus ex machina dans la tradition antique. Le dénouement rétablit l’ordre social et moral en châtiant le coupable. Mais Dom Juan meurt comme il a vécu, c’est-à-dire dans l'éclat fantastique d'un moment fait de provocation, d’absence de renoncement et d’absence

 directement dans l'action, sans préambule (voir exemple in Bordas 1°, p. 503 : ​ Lorenzaccio​ )    L' intrigue ( ou 1'action) .  L'ensemble des événements qui se succèdent depuis 1"'exposition" jusqu'au "dénouement". Dans  une œuvre dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de ​ Cinna​  (1640) de Corneille :  Emilie, fille adoptive de l'empereur Auguste, conspire contre celui­ci afin de venger son père.  Cinna, son amant, doit tuer Auguste. Mais Cinna est partagé entre son amour pour Emilie et son  estime pour Auguste

pour finir une conclusion. D'une part le théâtre a pour but principale de nous divertir , grâce a la mise en scène et le jeux des acteur, pour faire voyage et divertir le spectateur,les moyen utilisé sont divers et variés comme par exemple le deus ex machina qui a pour but de faire voler l'acteur,les rideau ,l'éclairage pour que les spectateurs puissent sortir de la routine. La mise en scène est donc un moyen de divertir. Grâce aussi au registre qui sont tournée vers le divertissement, exemple

l'enfer: champ lexical. du feu 
*souffrance : interjection, ponctuation très dense 
*didascalie: mise en scène spectaculaire. 
-->Mélange de châtiment chrétien et de foudre païenne • Commandeur: homme tué, père des jeunes filles, ou Dieu le Père (Deus ex Machina) 
Dénouent = vengeance divine • [Refus des commandements: • 1:croire en Dieu (Acte II Scène 1 : «Je crois que 2 et 2 sont 4») • 4: honorer père et mère (Acte IV Scène 5 : «et mourrez le plus tôt possible») • 5: ne tuera point (Le commandeur)

« Le spectre représente le temps avec sa faux à la main » Ce combat va opposer l’être de l’instant et du passage, au représentant de la permanence et de l’éternité. La statue du commandeur marque ici le point d’orgue merveilleux de la scène : cf Deus Ex Machina (locution latine signifiant « dieu issu de la machine ». Elle est surtout employée dans le vocabulaire théâtral au sujet d'une personne qui arrive, d'une façon impromptue, à la fin de la pièce et par qui le dénouement s'effectue.) B.La statue

temps qui s’est écoulé et de la mort. Dom Juan s’oppose au repentir, il ne capitule pas et défend ses ardeurs jusqu’à sa mort, son épée symbolise l’orgueil. La statue du Commandeur est aussi un élément du surnaturel important, il a le rôle du Deus ex machina, Dieu qui venait régler les conflits humais dans le théâtre antique. Il fut très utilisé dans les œuvres d’Euripide. Cette scène non seulement teintée de tragique et de comique est aussi marquée par l’outrance du baroque. III. De nombreuses

Mais cela ne sera pas suffisant pour l’empêcher de nuire. Molière voulait mettre en garde la société contre la toute puissance de l’hypocrisie religieuse quand elle manipule les dévots sincères et les institutions religieuses. Par son dénouement Deus ex machina, Molière s’adressait au Roi, dont seul le pouvoir pouvait arrêter celui de la cabale.

quand il ne pense plus à eux. Seul Sganarelle demeure mais son dernier mot réduit les liens qui l’unissaient à Don Juan à une pure relation mercantile (de commerce).De plus l’intervention du surnaturel et d’utilisation de machines spectaculaires (deus ex machina) ne correspond pas à l’esthétique classique (souci de vraisemblance).II) Un dénouement ambigu.La statue du Commandeur est le lien entre Don Juan et Dieu. Dans la version de Tierso di Molina son rôle est plus important. Le diner chez Don Juan

Nul mieux que lui ne sait se faufiler à travers un enchevêtrement d'aventures d'apparence inextricable pour aboutir, sans fatigue et sans défaut, au dénouement logique et naturel. Il est obtenu grâce à Cador qui joue dans la nouvelle le rôle de « deus ex machina », Voltaire ayant recours à lui quand il s’agit de régler une situation embarrassante. L'amour est le ressort qui déclenche les événements, et les événements à leur tour déclenchent des réflexions. Mais Voltaire ne retint que les épisodes

toute l’intrigue lorsqu’elle sera appelée «  Marcel » révélant alors que Gabriel vit avec un homme. Marceline est qualifiée à un moment du roman de « divine » ce qui nous amène à penser qu’elle réalise une d’intervention presque sous forme de « Deus ex machina » et qu’elle va tomber le masque à la fin du roman, répondant ainsi à l’intrigue sur l’homosexualité de Gabriel. Dans l’adaptation de Malle, cette partie du roman est totalement éludée car Marceline reste Marceline ou plutôt Albertine (qui