Exclusion Tardieu

société. Etre intégré à un groupe veut dire non seulement construire son identité en intériorisant les normes/valeurs de la société mais aussi acquérir un statut en participant à des activités sociales. Ce terme s’oppose à l’exclusion sociale. Exclusion sociale : processus par lequel un individu occupe une position socialement reconnue comme extérieure par rapport à celle des autres membres de la collectivité. Lien social : ensemble de processus et de mécanismes qui font en sorte que la société

PAUVRETE ET EXCLUSION Sujet : Y-a-t’il une nouvelle question sociale en France aujourd’hui ? I) Identification de la nature du sujet : * Nouvelle question sociale : Ensemble des rapports conflictuels entre les classes sociales apparût récemment en France. * Sujet « interdépendances »  plan type 2 : 1) La relation statistique entre les phénomènes 2) L’évolution de cette relation II) Plan détaillé : La société française prend de plus en plus conscience

(précaires, jeunes, séniors)=>situation de précarité précoce ; ou encore raréfaction des emplois. D’un point économique, le marché du travail devient alors inégal (demande supérieure à la demande)=>ce qui provoque une grande pauvreté et une exclusion remarquée. * Face à cette situation, les pays doivent revoir leur politique de redistribution et les instruments classiques deviennent vite obsolètes. * L’Etat met en place de nombreuses actions pour régler ce problème de redistribution :

Pauvreté et cycle de vie 2.1.3. Profil et répartition spatiale de la pauvreté 2.1.4. L’inégalité en matière de dépense 2.1.5. Croissance économique et pauvreté : quel lien ? 12 12 12 12 15 16 16 18 19 21 22 2.2. L’ ANALPHABÉTISME , FACTEUR D ’ EXCLUSION ET L ’ INSTRUCTION , FACTEUR D ’ INTÉGRATION ET D ’ INSERTION SOCIALE 24 2.2.1. L’enseignement pré-colonial 2.2.2. L’enseignement sous le Protectorat (1912- 1956) 2.2.3. Bilan de la politique scolaire du Protectorat 25 26 27 2.2.4. La scolarisation

Selon J Bisilliat (1999) : «  le genre, dans sa définition la plus concise, veut dire le sexe socialement construit, qu’il soit féminin ou masculin.» J-P. Lachaud analyse les relations de genre en termes d’ « exclusion sociale ». Selon lui « l’approche en termes d’exclusion sociale se révèle fructueuse à maintes égards. La notion appréhende à la fois  les privations en termes de droits sociaux et matériels et prend en compte plusieurs dimensions de l’inégalité

que l’insertion ne saurait être superficielle mais doit s’enraciner dans des liens et des identités partagés par tous. C’est soulever le problème de l’appartenance à un moment où nos sociétés génèrent des phénomènes d’exclusion : exclusion professionnelle mais aussi exclusion sociale ». Il faut associer le terme de réinsertion sociale mais aussi professionnelle. En effet les deux notions de réinsertions ne vont pas l’une sans l’autre. Si le « sortant de prison » arrive à trouver un hébergement il aura

un hasard socialement arrangé. * Cela aide tous ceux qui ont le pouvoir et ceux qui le détiendrons un jour afin de se poser les bonnes questions et à trouver un certain nombre de solutions aux disfonctionnement sociales actuel : délinquance, exclusion sociale, chômage etc.... Conclusion : La sociologie peut donc être d’une grande utilité à condition de faire l’effort d’acquérir les connaissances conceptuelles, méthodologies et théoriques nécessaires. Avant d’aborder l’étude des réalités sociales

|Développement | | | |[pic] | |POLITIQUE NATIONALE DE POPULATION | |SYNTHESE DES PROBLEMES ET PRIORITES EN MATIERE DE POPULATION ET DÉVELOPPEMENT

Au vue des articles L.121-2 et L.221-1 du CASF, le public de la prévention spécialisée se définit comme « des jeunes et des familles en difficulté ou en rupture avec leur milieu ». Dans la mesure où son action se situe « dans les zones urbaines sensibles et dans les milieux où se manifestent des risques d'inadaptation sociale », la définition de ce public peut s'étendre à l'ensemble de la population occupant ces lieux (jeunes et familles). L'âge des jeunes pouvant être accompagnés par les équipes

conciliatrice. Le règlement à l'amiable : une solution souvent retenue Préconisé par l'ordonnance civile de 1667 et l'ordonnance criminelle de 1670 la conciliation se substitue à la condamnation et tend à établir un concensus évitant ainsi exclusion sociale, la ruine pour les accusés.