Exemple De Diérèse

relief des sonorités ou des mots particuliers. • Prononcer clairement les connecteurs logiques peut mettre en valeur le raisonnement d'un texte argumentatif. Lire un texte en vers (poésie ou théâtre) • Il s'agit de respecter la métrique, les diérèses et synérèses dans les alexandrins. • Les passages à la ligne en poésie ne correspondent pas toujours aux pauses rythmiques. • Si un mot est rejeté au vers suivant, il faut malgré tout marquer un temps, mais très bref, en fin de vers. Lire un

la première personne « mon », « ma » associé à des termes très forts : « mon ange et ma passion » (plusieurs procédés visent à mettre en valeur cette apostrophe : la position en fin de strophe, le parallélisme dans la construction ainsi que la diérèse qui accentue le dernier mot passi-on, v. 40). Ces figures de style accentuent, là encore, le décalage ironique : ces formes précieuses et raffinées sont déplacées dans un contexte aussi malsain. En outre, l'ironie sera à son comble à la fin du

et un présent de narration « tombe » (v23) suivie d’une accumulation de nom ; la césure de cet alexandrin se trouvant après « le lait tombe » met en valeur la suite de ce vers en effet il se trouve coupé à trois syllabes suivie de neuf. De plus la diérèse sur « adieu » (v23) accentue ce passage. Enfin La Fontaine avait fait présage de cet incident en utilisant « prétendait » (v3) et en insistant sur le « légère[té] » (v4). En plus de rendre le texte vivant grâce a au personnage de Perrette et à

*Au brouillon: - Impressions - Tableau d'analyse ( repérage + interprétation ) - Problématique - Trouver 2 ou 3 grandes idées et classer arguments et exemples dans le tableau - Introduction - Conclusion ► Rédaction au propre *Plan détaillé: I-________________________________________ 1.A) Idées expliquées Exemples 2.A)_____________ 3.A)_____________ Remarques: -Expliquer le sens du mot baroque -Grands thèmes du poète -Rédiger annonce du plan -Alinéa ou

était obtenue par la versification, Les rimes, les strophes par exemple des quatrains ou un sonnet. Des figures de style, comme des assonances, des allitérations, et des diérèses pouvaient contribuer aussi à la musicalité du poème. Mais plus que la beauté de la forme poétique, la Beauté qu’il s’agisse de celle d’un coucher de soleil, ou la beauté d’une femme a, on peut le voir, toujours inspiré les poètes. C’est le cas par exemple du poème de Baudelaire, intitulée « A une passante ». Dans ce

musicale et syntaxique (dysphorie) : observer la relation entre la syntaxe et la versification : - les enjambements v.1>v.2 ; v.2>v.3 ; v.5>v.6 - les rejets et contre-rejets v.9>v.10 ; v.10>v.11 - les pauses à l’hémistiche respectées ou non - les diérèses et synérèses v.4 et v.14 - Il y a une grande diversité des rapports entre syntaxe et versification. Cette syntaxe est à l’origine de propositions très courtes. Ces segments accélèrent le rythme. Celui-ci est de fait très diversifié. - Ronsard cultive

personnifié, le «pas» du vers 4 étant «les pas du temps qui s'enfuit». La deuxième et la troisième strophes manifestent la révolte de l’être humain devant la fuite du temps et devant l’éternité de la nature, que Ronsard avait déjà exprimée (par exemple dans «Quand je suis vingt ou trente mois / Sans retourner en Vendômois....»), mais qui venait d’être ranimée par Lamartine (particulièrement dans “Le lac”) et qui est un des grands thèmes du romantisme . Au vers 5, le passage des jours, qui sont

veut faire réfléchir sur le travail du poète et la puissance de l’art, en donnant un exemple de la manière dont il procède.Onzième quatrainL'exclamation"oui"en début de vers confirme presque " joyeusement""cyniquement"la mort certaine qui attend la femme aimée qui va être décrite de façon très réaliste dans ce quatrain.On retrouve le temps

On a la présence du vocabulaire des sentiments avec la confession Vers 10. On a aussi le champs lexical de la douleur (Criaillent / Gémir). c) L'écriture. On à la présence de rimes et d'alexandrins ainsi que de vers équilibré (3;3;3;3). On a une diérèse sur ancien ce qui accentue cette continuité avec la tradition. III- La métamorphose poétique du quotidien. a) Les images. Le poète transforme les images en vivant comme nous le montre le Vers 22 avec la comparaison. On a l'idée que la ville devient

personnifié, le «pas» du vers 4 étant «les pas du temps qui s'enfuit». La deuxième et la troisième strophes manifestent la révolte de l’être humain devant la fuite du temps et devant l’éternité de la nature, que Ronsard avait déjà exprimée (par exemple dans «Quand je suis vingt ou trente mois / Sans retourner en Vendômois....»), mais qui venait d’être ranimée par Lamartine (particulièrement dans “Le lac”) et qui est un des grands thèmes du romantisme . Au vers 5, le passage des jours, qui sont