Exemple De Diérèse

qui " inconstamment [la] mène". Les comparaisons mythologiques telles "Comme Ulysse" chez Du Bellay ou les métaphores, par exemple "sous la lame" désignant la tombe, les questions de rhétorique comme "Quand reverrai-je hélas, de mon petit village, fumer la cheminée [...] et beaucoup davantage ?", la ponctuation excessive que l'on retrouve dans le sonnet de Louise Labé, par exemple au premier vers "Je vis, je meurs : je me brûle et me noie ; ", les apostrophes telles "Las !" chez Ronsard au vers 10 ou

surprise, en lui montrant sa lassitude face à l’ancien monde qui réfère au siècle qui vient de s’achever. Mais il ne cherche pas un rejet total. En effet, ce premier vers est un alexandrin très régulier (il est tétraédrique) et est accentué par la diérèse du mot “ancien”. Ainsi, il s’ancre dans la continuité de la tradition poétique lyrique avec l’expression de sentiments tels que la lassitude. De plus, certaines métaphores comme celles entre l’avion et la croix du Christ nous montre que le poème “Zone”

partique des correspondances. Ce poème est didactique (il livre un enseignement) : il développe une méthode, celle de la synesthésie, càd des équivalences sensorielles ; les 2 quatrains st consacrés à la théorie et les 2 tercets font l'application : exemples de synesthésies. Pbtq possible : Cô le poète parvient-il à livrer un enseignement tout en donnant à son texte une grande portée poétique? Lecture analytique : §1 : v 1 : Nature : 1er mot du poème, dc importance ; elle est dotée de 3

dit « marotique », à la manière de Marot) ou EDE. Dans le sonnet régulier, tous les vers ont le même mètre, c’est-à-dire, le même nombre de syllabes. Ronsard impose peu à peu l’alexandrin au détriment du décasyllabe (utilisé par Louise Labé, par exemple) et soumet le sonnet à la règle de l’alternance des rimes féminines et masculines. Ce système de contraintes formelles oblige le poète à la concision et à la suggestion : « parce que la forme est contraignante, l’idée jaillit plus intense », écrit

de trois syllabes, et même d'une syllabe, ont cependant été parfois utilisés à toutes les époques littéraires. Les vers impairs de treize, de onze, de neuf syllabes, il faut les chercher dans la poésie de la fin du XIXe siècle (chez Verlaine par exemple.) Deux difficultés arrêtent et trompent parfois les débutants dans le compte des syllabes. Ces difficultés portent sur l'e caduc et sur la diphtongue. L'E CADUC Que ce soit à la fin ou dans le corps des mots, l'e caduc compte toujours comme syllabe

muet suivi d’un son consonantique compte. Décompte des -e: Par la Natur(e), -heureux comm(e) avec une femm(e) (Sensation de Rimbaud) - le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu’habituellement on ne prononce qu’en un seul: c’est une diérèse. Exemple: “Un bohémi-en” Jusqu’au XIXème siècle, la poésie était en vers. Au XIXème siècle, les poètes se sont libérés des contraintes portant sur la forme du poème: c’est l’invention du vers libre. La poésie peut alors prendre l’apparence de la prose

III] La leçon de la nature  V20 Forme d’introduction, importance de la diérèse, « cette » adj. démonstratif. Par le « nôtre » La Fontaine nous associe à son jugement.  V21 Retour au discours direct avec un pronom indéfini « on »  V22 à 27 Le narrateur reprend la parole, présent de narration. Série d’alexandrins. Actions s’enchaînent, rapidité de la leçon, le paysan va dormir, la nature va parler avec un exemple en 9 alexandrins + chute comique. La nature va œuvrer sur le domaine que le

éléments de deux groupes parallèles sont inversés. Le chiasme peut souligner l'union de deux réalités ou renforcer une antithèse.) Ainsi qu'une coupe à l'hémistiche (rythme 6/6) Donc le temps est un phénomène continu mais avec une distorsion. Exemple : V2 -> 6-3-3 (rythme en 6/3/3) « Demain – le soir – la nuit » Avec demain = orage V3 « puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstrués » 2/10 V4 « puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit » 3-3-6 Il y a un jeu de sonorités

parfaitement la fatalité (symbole de mort). Déictique : pronoms, indices spatio-temporels. VOCABULAIRE Vocabulaire de base au bac de français -deuxième partie- Tragédie : c’est un genre littéraire dans lequel domine la fatalité, la mort par exemple dans Antigone Comédie : C’est un genre Littéraire divertissant (rire) : Le malade Imaginaire Drame : C’est un genre littéraire qui n’est pas dominé par la fatalité Fatalité : est un fait irrémédiable contre quoi l’homme ne peut rien Antigone :

Commentaire composé: « Heureux qui comme Ulysse… », EXEMPLE DE PLAN En classe, nous avons fait le travail préliminaire nécessaire pour construire un commentaire composé. Nous avons analysé le poème en détail et avons utilisé la forme pour mieux comprendre le sens du texte. Un commentaire composé consiste à organiser les idées que nous avons dégagées du texte afin de présenter une lecture à la fois fine et rigoureuse. INTRODUCTION 1/2. Situation/ Présentation: Joachim Du Bellay a écrit Les Regrets