Exemple De Diérèse

de ce rêve, de cette femme, qui revient « souvent » mais dont on ne sait rien (« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant »). Le poème est de plus construit sur des contradictions qui renforcent ce sentiment de mystère. Dans la strophe 2, par exemple, Verlaine semble être très proche de cette femme,  comme si il la connaissait par cœur. Pourtant, il ne sait rien d’elle, elle reste inconnue, même si elle est « chère » à son cœur, on ne sait rien de son physique. Ce sentiment peut embrouiller le

disposition typographique qui lui confère à statut particulier. Les blancs typographiques qui donnent au texte ce caractère fragmenté, brisé qui renvoie au titre de l’œuvre : Lambeaux. Les lignes 2, 3 et 4 constituent trois vers : deux octosyllabes (avec diérèse dans va / ill / ante) suivis d’un alexandrin qui donne une ampleur lyrique à la désignation des mères. Cette disposition spécifique à la poésie se retrouve en fin de texte dans l’ultime phrase à la ligne 21. IL s’agit d’une série de versets[1] construits

1er vers est paradoxal car les 1ers mots du poème sont «  A la fin » => Il a derrière lui un passé qu'il rejette. + On ressent sa lassitude « tu es las... » Un sentiment de honte « la honte te retient » ==> Un désir de changement. Une diérèse allonge ce « monde ancien » + c'est un alexandrin => Un désir de nouveauté par encore réalisé. Au début du poème on est «  ce matin » « Bergère O Tour Eiffel » = Une image ancienne qu'il actualise avec «  Tour Eiffel »==> Il remet en question

concision. C’est ainsi que cette écrivain nous présente les personnages. Par exemple a la ligne 9, « au bec retors, a la tranchante serre », nous repérons tout de suite, les « sauvages » de l’histoire. Cette description intensifie le contraste entre les vautours et les pigeons, dont ces derniers sont représentés par un « col tendre et fidèle ». Le fabuliste nous met en avant ce contraste, lorsque nous lisons la diérèse « compassion ». Celle-ci insiste sur le mot dans la présentation, et laisse clairement

qui n’est pas dominé par la fatalité Fatalité : c’est un fait irrémédiable contre quoi l’homme ne peut rien Déictique : pronoms, indices spatio-temporels. Tragédie : c’est un genre littéraire dans lequel domine la fatalité, la mort par exemple dans Antigone Sonnet : C’est une poésie qui comprend deux quatrains et deux tercets. Quatrain : c’est une strophe de 4 vers. Tercet : c’est une strophe de 3 vers. Alexandrin : vers de 12 syllabes Didascalies : les didascalies sont

fragilise. Cependant, la femme est double, derrière son apparente douceur, elle reste néanmoins dangereuse. *danger « Charme » : étymologiquement --} envoutement, un envoutement maléfique. A cela s’ajoute le terme : « Mystérieux », renforcé par la diérèse sur le « i ». Mise en relief d’un deuxième versant chez la femme, caché, d’où le danger. Enfin le nom « traître » rappelle l’ancien testament, et le péché originel. C’est donc une « nouvelle Eve », qui tend à égarer l’homme, une femme synonyme de

hémistiche on est dans un imparfait de durée. La régularité de l'alexandrin est importante et c'est elle qui va mettre en évidence les contrastes et les irrégularités. En plus de la coupe a l'hémistiche on est aussi des coupe secondaires par exemple 1/5//6 2/4//6 6//5/1 --> C'est ce que l'on appel un alexandrin disloqué : CF:" nous séparer , qui moi ? Titus de Bérénice? Vers 623-624 --> stichomythie, on a un morcèlement du vers, la dislocation du vers va être le fait de

riche, autour de toi ne flotte aucun AROME, et la beauté seraine de ton corps DEROULE, mate, ses impecables accords. 2 - le contre rejet : désigne l'élément court, lié syntaxiquement au vers suivant qui est donc mis en relief à la fin du vers exemple avec Verlaine, encore : Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'AUTOMNE Faisait voler la grive à travers l'air atone. les rimes et les sonoritées : 1- les rimes a) richesse ou qualité des rimes : Rime pauvre : un seul son commun ( ex

auteurs utilisent des vers imparisyllabiques (nombre impair de syllabes) comme l’heptasyllabe (7 syllabes) par exemple. Comment compter les syllabes ? Le décompte des syllabes doit être fait avec soin. Il faut pour cela tenir compte de trois particularités : le –e muet : le –e muet (final) ne se prononce que s’il est suivi d’une consonne. Il ne se prononce jamais en fin de vers. la diérèse : on prononce en deux syllabes ce qui se prononce habituellement en une seule. Ex. « li-on » pour « lion ». la

«déjà»  montre que le temps a passé trop vite – Mallarmé à 51 ans - avec la première place au banquet qui devient la dernière. Poliment, il laisse la place aux autres, avec un compliment : «Vous» au début du vers, une métaphore valorisante : «fastueux», en diérèse, l’allitération en [v], et l’harmonie vocalique qui leur donne finalement toute la place : ils se développent en enjambement sur 2 vers, avec les deux gutturales sourdes claquant en rappel à l’ordre. Les convives forment un groupe heureux, à l’abri