Exemple De Diérèse

où : ▪il s’agit d’un alexandrin (=un vers classique) répondant à une certaine tradition poétique mais le poète annonce un renouveau poétique. ▪Effectivement, la diérèse sur l’adjectif « anci/ en » montre que le passé s’efface + La présence de l’attribut du sujet « las » met en évidence le désir de rupture d’Apollinaire. ▪Le poète surprend

tels que « épanouie » (vers 8), « éveillée » (vers 18) ou encore « éblouissant » (vers 29) tout au long du texte souligne la notion de joie et de bonheur retrouvé. On retrouve le baiser au vers 9 qui amène à l’acte sexuel qui est accentué par une diérèse au vers 13 avec le mot « Pénétration ». De plus il y a une énumération des différentes parties du corps féminin au vers 11, le poète met même le mot « Cœurs » au pluriel pour y mettre un amour plus fort encore. Par les termes « sève sacrée » et « nid »

que le mot choc est répété. Le bruit parcours l’ensemble des quatre quatrains. Le poète précise même v 13 «  qu’il est bercé ». Ce poème se clos sur une sensation auditive avec le mot bruit qui est qualifié de mystérieux qui est entre outre une diérèse qui a un but d’allonger l’adjectif qualificatif pour mettre en évidence l’univers sonore. * Le chant est désigné par métaphore, on entent le bruit des bûches le chant désigne également le poème lui-même. Ce rythme saccadé des vers renvoie au martèlement

D'AUTOMNE1Quelques notes pour la lecture linéaire de CHANT D'AUTOMNE BAUDELAIRE, Les Fleurs du malINTRODUCTION L'automne constitue un thème privilégié des auteurs romantiques comme Chateaubriand, Lamartine, par exemple, qui ont célébré ses charmes délétères. C'est dans la même veine que Baudelaire écrit son "Chant d'automne", 56° poème du recueil des Fleurs du mal publié en 1857 , extrait du chapitre

poursuit avec un champ lexical de l’obscurité comme le montrent les termes « l’ombre » (v. 9), « s’éteignant » (v.16) et « rembrunies » (v. 14). Finalement, on constate que le poète utilise les couleurs de la nature pour exprimer ses émotions, par exemple, « jaunissant » (v. 4), « rouillé » (v. 6). Cette expression des sentiments à travers la nature contribue à relater la monotonie du quotidien du poète. Deuxièmement, le poète exprime la monotonie qu’il ressent à travers le temps qui passe

y a 3 figures de style: - il y a une diérèse ( allongement d'un syllabe dans un mot) dans le mot "constellations" pour montrer l'espace et l'extension de ce mot. - il y a une synecdoque (remplacement d'un mot par un autre) entre "manteau" et "bure" ; la matière (bure) remplace la chose (manteau) - il y a une métaphore: "constellations" qui est un mot plus "grand" qu'étoile. Les constellations sont des groupes d'étoiles, nommés par les hommes (par exemple: la Grande Ourse). Si les hommes ont créé

Le refrain et les répétitions: une forme-sens fondée sur la circularité et lesrépétitions•Les enjambements jouent un rôle important dans le poème car ils rompent avec la tradition et brouille les pistes (processus chère au coeur des cubiste). Par exemple lesV1 et 2 en forme un ou les vers 1, 2 et 3 en forme un autre ce qui donne des verspolysémiques car le sens change. Pour le premier il y a association des thèmes del’eau et de l’amour alors que pour le 2ème l’amour est le COI du verbe souvenir cequi

ouvertement rendu à un art qu 'il aime, en somme n . Mais ces références ont valeur de symboles, tels les instruments dont se servent les « donneurs de sérénades » pour charmer « les belles écouteuses » dans les tableaux du xvme siècle 12. Un seul exemple : les « do, mi, sol, la, si » de « Sur l'herbe », notes égrenées par quelque indifférent, forment une mélodie interrompue sur une sensible, la note instable par excellence, celle qui appelle (dans le système tonal) une tonique; et c'est précisément

lentement dans mon âme; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. Analyse : I) La montée de la crise A. L'ambiance angoissante On peut remarquer plusieurs champs lexicaux, comme par exemple celui de l'obscurité avec « noir » (v4), « nuits » (v4) , « chauve-souris » (v6), ainsi que celui de l'enfermement avec « couvercle » (v1), « cachot » (v5), « prison » (v10), « barreaux » (v10), mais aussi celui qui relève du bestiaire animal : « infâmes

eu un heurt entre eux ». 6-La diérèse et la synérèse Dans un groupe de deux phonèmes vocaliques successifs dont le premier est constitué des voyelles i, o , u, ou ou, on assiste à deux opérations : 1- soit les deux phonèmes sont prononcés d’une seule émission de voix et on parle de synérèse (signifiant en grec « resserrement ») : hier, palier, foin, enfouir… 2- Soit les deux phonèmes sont dissociés en deux émissions de voix et on parle de diérèse (signifiant en grec « division »)