Existe Il Des Vérité Indiscutable

était « la mère des sciences », mais dans les temps modernes, cette définition fut évoluée. Une nouvelle problématique ses poses : pourquoi la philosophie et la science qui été des frères amis sont devenus des frères ennemie ? autrement dis, s’il existe des points communs, une parente entre elle, qu’est ce qui a oppose leur objectifs et surtout leur méthodes ? En revenant à l’origine de la pensée humaine, c’est surtout l’étonnement et la curiosité qui on menait l’Homme a pose des questions

Sujet : Faut-il refuser l’évidence pour rechercher la vérité ? « Toute vérité nouvelle naît malgré l’évidence. » On pourrait appliquer cette citation de Bachelard au domaine de la science. En effet, les progrès scientifiques sont nombreux et ne cessent d’avancer et l’on pourrait se demander si l’on se contentait d’évidences, nous ne serions plus en mesure d’avancer scientifiquement puisque une évidence est une vérité qui s’impose à l’esprit sans qu’il soit nécessaire de la démontrer. Or, la science

sait que la science doit être universelle : elle doit être toujours vraie, mais aussi vraie pour tous. On dira aussi qu'elle doit être « objective », c'est-à-dire ne pas dépendre d'une subjectivité particulière, ni varier selon les individus. La vérité objective, au sens le plus large du terme, est le fait qu’aucun doute n’est possible à chaque étape du raisonnement. Pour cela la conviction personnelle, l’opinion ou la situation économique et sociale de l’individu ne doivent pas interférer. C

rationnelle, la vérité est assez souvent l’extrême opposé  de l’erreur. » Ces quelques mots de Diderot nous définissent bien ce que nous pouvons appeler le rationnel. La pensée rationnelle est donc une pensée logique qui a pour but la recherche de la vérité. Bien entendu nous parlons d’une logique dans le sens de cohérence par lesquelles on peut atteindre la vérité. Tout au contraire, l’absurde est une absence de résonnement logique. Cela ne le détourne pas de la recherche d’une vérité. Le sens d’une

représentation "héritée" d'un donné et non retravaillée par la réflexion, mais aussi des concepts, qui eux indiquent l'essence et les caractères fondamentaux de son objet. C'est donc en quelque sorte lui qui créera le jugement de son enfant, bon ou mauvais. Il existe une éducation mais l'enfance n'est pas le lieu d'une innocence vierge et totalement pure. L'enfant est en quelque sorte innocent, puisqu'en ce sens il ne possède pas de réelles connaissances, et s'il agit mal ce n'est que par simple ignorance, selon

méfiance, mais empêche tout aussi gravement le sentiment d’appartenance au même monde. Comment en ce cas rendre possible la coexistence pacifique des peuples, ainsi que les échanges commerciaux, voire scientifiques et techniques ? Ils ont certes existé de manière embryonnaire au cours de l’histoire, mais justement dans les cas où une puissance militaire et politique (Rome) ou spirituelle (l’Eglise) a su imposer aux différents peuples une langue devenant langue secondaire d’union de peuples parlant

preuve, où la vérité d’une théorie repose sur le fait que l’expérience confirme ses prédictions. Dans ce cas, seul ce qui est appuyé par une expérimentation ou un témoignage est considéré comme vrai, puisque la preuve écarte toute possibilité de doute quant à la véracité d’un discours. Cependant, l’Homme ne possède-t-il pas des connaissances dont la vérité ne repose sur aucune preuve ? La foi ou l’intuition sont des exemples de cas où l’Homme ne détient pas la moindre preuve de la vérité à laquelle

monde des Idées. Le monde sensible, c'est-à-dire le monde terrestre, constitue un ensemble matériel, superficiel et changeant que l’on connaît avec les sens. Il n’est qu’apparence. Au contraire, le monde intelligible, ou le monde des Idées, est indiscutable. Il est vrai, réel. Ramuz dresse le portrait d’un homme épris d’absolu, désarmé et gouverné par l’absurdité de la vie. Suite à l’apparition de Miss Anabella, une beauté parfaite, hors du monde, Joseph en fait son idéal, et n’a de cesse de

classes se retrouve a toutes les époques de l’humanité Allégorie de la caverne Le commun des mortels est comme un homme attaché au fd d’une caverne et qui ne percevrait qu’une faible lumière de l’extérieur CAD que l’homme n’a pas accès à la vérité par lui même. Le philosophe est celui qui s’est délivré de ses préjugés et sait utiliser la raison pour connaitre les idées pures. Il est extérieur à la caverne. Comme il est le seul a connaitre la justice, il est le seul a pouvoir organiser la cité

intolérant à l’égard des religions, nous devons défendre un espace d’éducation laïque qui tient à distance toute tentation de privilégier dans le rapport citoyen l’horizon du lien social religieux : c’est la laïcité telle qu’on la comprend en France. Il existe une morale laïque c’est-à-dire qui ne suppose aucune adhésion religieuse e qu’on doit enseigner comme telle. Il est faux de prétendre que sans religion il n’y a pas de morale !!! C – Transition critique : Cependant cette éducation laïque est-elle