Existe T Il Une Hiérarchie Entre Coutume Et Traité

Droit privé Le droit privé c’est l’ensemble, des règles qui régissent les relations entre les particuliers. Distinction entre le droit et les droits. Le droit régit les relations entre les personnes, dans le respect exercé par l’ordre public. C’est le droit objectif. Le mot droit en second lieu peu être utilisé pour désigné telle ou telle prérogative, dont peut se prévaloir une personne en particulier, dans le droit de propriété, le droit de créance. (Le versement d’une somme d’argent)

un art. Les positivistes au 19ème siècle, le droit est une science, c’est une discipline qui consiste à établir des règles qui gouvernent au sein de la société. On va analyser les règles applicables dans la société. On analyse ce qui est, ce qui existe, donc c’est une science. Le raisonnement juridique est proche du raisonnement scientifique, ils ont tous deux la même ambition, déterminer par avance les règles applicables. Décider au préalable la solution à la difficulté. Les règles juridiques sont

fait constatable entre États. Étude : histoire et influence propre. §1 - Nation. Italie : unité linguistico culturelle. Allemagne : unité ethnico raciale. France : vouloir vivre ensemble. Histoire commune et volonté de la continuer (Ernest Renan - D. Schnapper). Pas limité à relation entre États. Il existe nations sans État, ONG, forces religieuses,… §2 - RI. Relations entre corps politiques.  relations entre individus, entre 2 personnes de corps politiques.  relations entre individu et État

seigneurie, « la coutume », ses coutumes étaient différentes selon l'endroit où l'on se trouvait, le droit n'était pas unifié. La révolution Française a unifié le droit grâce au code civil, droit uniforme pour tout les habitants du territoire. Cependant, Qui va l'écrire? Sur quoi se baser ? Quelle sera la source d'inspiration ? Comment se code civil est-il construit ? Napoléon va confier la construction du code civil à une commission de 4 grands juristes, qui vont faire une transaction entre les règles

La loi et la coutume D’après une célèbre phrase de Jean BODIN, « la loi peut casser les coutumes et la coutume ne peut déroger à la loi ». L’expression de « source du droit ». Cette métaphore renvoie à l’existence de points d’émergence de la règle juridique qui révèleraient en même temps ce qui fonde le caractère obligatoire de celle-ci. Et l’incertitude s’introduit aussitôt dans les esprits entre ce qui révèle la règle de droit et ce qui la fonde. D’où le risque de voir proliférer, au-delà des

traditionnellement le droit constitutionnel, le droit administratif et le droit des finances publiques. Le Droit constitutionnel est l’ensemble des règles juridiques régissant les rapports entre les pouvoirs publics. Le droit administratif est l’ensemble des règles régissant les rapports entre les administrations, et entre les administrations et les particuliers. Enfin, le Droit des finances publiques régit les finances de l’Etat et des collectivités publiques. Le droit privé qui nous intéresse plus particulièrement

de majorités renforcées au sein des assemblées investies spécialement du pouvoir de révision. Une constitution est dite souple lorsqu’elle peut être modifiée facilement c’est à dire selon la procédure législative ordinaire. Cette théorie de la hiérarchie des normes ne peut s'appliquer que pour les Constitutions dites "rigides". Dans un État à Constitution "souple", la Constitution est généralement élaborée, votée, et révisable par l'organe législatif habituel, de la même façon qu'une loi ordinaire

rappeler que le roi est censé être au sommet de la pyramide des fiefs ; il est en haut de la hiérarchie et par conséquent n’est subordonné à personne. Toutes les terres du royaume sont censées être soumises à son autorité. Toutefois, la féodalité est un barrage à cette souveraineté. En effet, la féodalité est l’ensemble des relations féodo-vassaliques qui s’appuient sur un système d’obligations réciproques entre deux hommes, en principe égaux : le seigneur (senior, le plus âgé en principe) et le vassal

l'intérêt public. Ce but en réalité est séculaire puisqu'on en revient au but de l'Etat même. Un certain nombre de besoins ne relève pas de l'initiative privée et pourtant sont vitaux pour la communauté toute entière (défense nationale, santé . . .). On entre dans la sphère de l'intérêt public. A travers cet intérêt l'action administrative s'identifie comme étant désintéressé puisque l'administration a pour mission première et principale de satisfaire l'intérêt général. L'intérêt général est un ensemble

qui n’ont pas reçus un tel pouvoir, en l’absence d’un pouvoir officiel : le juge ne créé pas la règle de droit et pourtant il le fait. -> Il existe des sources officieuses du droit (=la jurisprudence) ou sources informelles. Les auteurs ne s’accordent pas sur les sources du droit, ni sur la catégorie à laquelle appartient une source (ainsi de la coutume tantôt rangée parmi les sources informelles, tantôt parmi les sources formelles). Sources formelles : édictées par une autorité publique habilitée