Existence Précède Essence Sartre Descartes

pensée. Le monde réel n'existe qu'à travers les idées et les états de conscience. Le monde et même l'être se réduisent donc aux représentations que nous en avons. Pour Platon (427-347 avant JC), le monde des Idées constitue la vraie réalité. Descartes (1596 1650) qui peut être considéré comme un idéaliste, considère que c'est l'esprit de l'homme qui est sa véritable nature et non son corps. Le principe de l'idéalisme absolu a été résumé par l'évêque et philosophe irlandais George Berkeley (1685-1753)

une description détaillée de deux conceptions décrivant l‘époque, les principes et concepts respectifs à chaque auteurs ainsi que les différences et similitudes de celles-ci l’une par rapport à l’autre. Les conceptions de Karl Marx et de Jean-Paul Sartre seront présentées ci-dessous. La liberté, un des deux thèmes proposés a été choisi afin de comparer ces deux conceptions. La conception matérialiste de Karl Marx Karl Marx est un philosophe Allemand qui marqua le début de la période Romantique

conscient et ce que je suis, c’est ce dont j’ai conscience 1. C’est parce que nous sommes doté de la conscience réfléchie qu’en même temps qu’on perçoit qu’on perçoit qu’on s’entraperçoit et prend conscience que l’on est. « Je pense donc je suis » Descartes 2. prendre conscience de soi, ce n’est pas s’arrêter à ce dont on a une conscience immédiate, c’est porter un jugement et par là se connaître, s’identifier. Je vais me définir par ce dont j’ai conscience de moi-même : mon corps, mon caractère

p-1Approche Philosophique du concept d’Homme Des livres à lire … Descartes * Discours de la méthode & Méditation Métaphysique Sartre * L’être et le néant Tournier * Vendredi ou les limbes du Pacifique Marx * L’idéologie Allemande Saussure * Cours de linguistique général Malson * Les enfants sauvages (intro) Philosophie et psychologie ont toujours eus des rapports étroit évoluant avec

situation et la situation où il pense qu’il n’y a rien au-dessus de lui et que tout est permis. La raison permet d’avoir accès à la volonté de Dieu (intermédiaire). Le premier jalon est l’œuvre de Descartes : En général, dans l’histoire de la philosophie, on fait remonter la modernité à l’œuvre de Descartes (1596-1650). Il va se poser à lui-même comme défi de repenser toutes les catégories de la philosophie à partir de la raison. Il va proposer une méthode pour réfléchir par soi-même. Pour rompre

» consiste à lui attribuer une valeur positive ). Il questionne alors aussi bien l'idée de nature comme monde physique et vivant, indépendant de l'action humaine, que la nature au sens de ce qui est spontané et originel, c'est-à-dire une « essence » propre à chaque espèce, ou encore les dispositions et aptitudes innées de chaque individu. Il s'agit de savoir si l'on peut parvenir à une idée de la nature débarrassée de tout préjugé et de tout présupposé. ● Problématique et plan : – Notion

de la méthode, Descartes en découvrant le cogito affirme « Je pense donc je suis ». C’est en cherchant à fonder la science sur des certitudes absolues qu’il découvre ainsi l’existence du sujet, conscient de lui-même et dès lors certain de sa propre existence. Selon lui, il est possible de douter de tout, même de l’existence de notre corps et du monde extérieur, sauf de l’existence de notre pensée. La conscience qui accompagne nos pensées nous livre du même coup notre propre existence : si nous avons

Mais en plus d’exister nous nous voyons exister ce qu'on pourrait appeler la “double existence”. Hegel, un philosophe du XIXème siècle, dit que nous existons mais que nous nous voyons aussi exister dans une sorte de dédoublement de soi rendu possible par notre conscience qui agit comme un miroir. En plus de savoir qui nous sommes physiquement, nous sommes munis d'une conscience de notre pensée. Cependant, Descartes s'est rendu compte que tout ce qu'il savait était douteux. Il voulait atteindre la certitude

d’abord expliquer ce qu’est le moi. Il existe deux sortes de moi : celui ontologique, c’est-à-dire, un être immuable et non passager auquel chaque sujet rapporterait ses états, ses actes mais qui existerait indépendamment de ces-derniers, c’est ce que Descartes appelle la « chose pensante » ; et celui psychologique, soit, une conscience complexe, mouvante que j’ai de moi dans mes pensées ou dans mes actes. Le moi désigne l’objet auquel pense le sujet qui se pense lui-même, l’objet du « je » qui se pense

les raisons. Or, ces raisons, ces motivations ne sont-elles pas des causes qui prouvent un caractère illusoire de la liberté ? Agir librement , est-ce donc agir sans raison, spontanément gratuitement ? Mais une « telle liberté d'indifférence » (Descartes) est elle possible ? Est ce différent de l'insensé, de l'absurde ? N 'est ce pas au contraire l'action bien motivée par la raison qui est libre ? Agir librement n'est ce pas agir selon de vraies raison ? D'une manière rationnelle et raisonnable,